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« De l’ineffectivité de la protection sociale de la famille en Haïti : regard sur la monoparentalité », mémoire soutenu avec succès par Wideline Clerjoux   

L’étudiante Wideline Clerjoux a soutenu avec succès, le mercredi 3 mai 2023, son mémoire de sortie intitulé « De l’ineffectivité de la protection sociale de la famille en Haïti : regard sur la monoparentalité », en vue de l’obtention du grade de Licencié en Sciences Juridiques. Les résultats de cette recherche montrent l’insuffisance des textes spécifiques à la monoparentalité et l’inapplication des normes juridiques portant sur la protection sociale des familles en Haïti.

Dans le cadre de ce travail, Wideline pose le problème selon lequel les familles, de façon générale, restent livrées à elle-même sans aucune assistance de la part de l’Etat haïtien. Les familles monoparentales, de leur côté, forment le groupe le plus vulnérable. Elles représentent 60% des familles en Haïti et font face à de nombreuses difficultés, notamment : la délinquance et la domesticité. 54% d’entre elles sont pauvres. Créées par la loi du 28 août 1967, les institutions devant prendre en charge ces familles, selon l’étudiante en droit, sont atrophiées par des faiblesses structurelles fonctionnelles.

L’impétrante cherche à approfondir trois questions dans le cadre de l’étude. Elle se demande d’abord si l’application des textes juridiques portant sur la protection sociale ne devrait pas conduire à une meilleure protection des familles monoparentales. Elle se pose ensuite la question : qu’est-ce qui contrarie l’effectivité des normes juridiques portant sur la protection sociale en Haïti ? En dernier lieu, elle s’interroge sur la responsabilité de l’Etat haïtien envers la famille de façon générale et la famille monoparentale de façon particulière.

Wideline émet l’hypothèse selon laquelle l’ineffectivité de la protection sociale des familles en Haïti est due à des obstacles structurés au sein de l’Etat haïtien. Son travail vise de manière générale à favoriser une meilleure protection sociale des familles dans le pays. Spécifiquement, il cherche à : présenter les causes de la monoparentalité des familles, identifier les obstacles à l’effectivité de leur protection sociale et présenter les cadres légal et institutionnel de la protection sociale en Haïti.

Pour atteindre ces objectifs, elle a utilisé quatre méthodes – à savoir : les méthodes historique, documentaire, analytique et alphanumérique – et a divisé le travail en deux grandes parties. Chaque partie comporte deux chapitres. Dans la première, elle présente le cadre théorique de la monoparentalité et de l’effectivité de la protection sociale. Dans la seconde, elle passe en revue les obstacles à l’effectivité des normes portant sur la protection sociale des familles en Haïti.

Comme recommandation, l’étudiante propose à l’Etat haïtien de créer des emplois et d’attribuer des allocations spécifiques à la famille monoparentale. Elle pense que la protection sociale des familles nécessite un changement au niveau juridique, social et économique.

Après délibération des membres du jury, le mémoire a été accepté. Ce qui confère à l’impétrante le grade de Licencié en Sciences Juridiques. Un titre qui lui permettra de poursuivre sa carrière et de se mettre au service du développement de notre Chère Haïti.

Intelligence Collective

Les Unifaristes, nous voici!

J’ai choisi la physiothérapie comme profession en vue de permettre aux personnes qui ont perdu leur autonomie à retrouver une vie normale. Pour concrétiser ce projet professionnel, j’ai fait choix de l’Université de la Fondation Dr Aristide. A l’UNIFA, je commence déjà à acquérir les compétences nécessaires pour bien pratiquer ce métier. Je suis sûre et certaine d’avoir fait le meilleur choix.

Badin Guetine, étudiante en deuxième année à la Faculté des Sciences de Réhabilitation

 

 

J’ai fait choix des Sciences Infirmières parce que j’aime aider les autres. Pourtant, devenir infirmière n’est pas chose facile. C’est un métier qui exige beaucoup de sacrifices. Une bonne infirmière doit être aimable, courtoise, serviable, discrète, compréhensive et  brave.

Pour atteindre mon objectif, je suis prête à me consacrer entièrement à mes études et à respecter la devise des infirmières « S’oublier pour soulager ».

L’Université de la Fondation Dr Aristide, dans cette étape si importante de ma vie, joue un rôle fondamental. C’est un centre de formation qui offre aux jeunes l’opportunité de réaliser leur rêve.

Mondy Duclona, étudiante en deuxième année Sciences Infirmières

 

 

L’infirmière met l’accent sur les soins personnalisés. Elle assure la planification et la mise en œuvre des soins curatifs. L’une de ses principales tâches est de prendre soin des patients. Elle permet à ces derniers de faire de la prévention et de trouver des traitements. Pour ces différentes raisons, j’aime cette profession.

L’Université de la Fondation Dr Aristide contribue beaucoup au développement de la profession, car elle aide de nombreux jeunes à devenir infirmiers-ères. C’est l’une des raisons pour lesquelles je suis fière d’être une étudiante de l’UNIFA.

 

 

L’Université de la Fondation Aristide (UNIFA) offre une formation de qualité, adaptée à la réalité haïtienne et qui répond aux normes internationales. Elle s’engage à offrir une formation sans exclusion à la population.

Motivée par le souci de notre  réussite et de la perfection, l’UNIFA illumine nos pas sur le chemin du savoir.

Netdjie Flaure JEANNIS, étudiante en quatrième année Sciences Infirmières.

 

 

Je suis Nathalie Desroches, étudiante en cinquième année d’Odontologie.

Je me souviens quand ma mère m’a emmené voir un dentiste pour la première fois. J’ai aimé la façon dont le dentiste me soignait. Depuis ce jour, j’éprouve un amour pour ce métier. C’est de là que me vient l’idée d’étudier cette branche de la médecine.

 

 

L’Odontologie est une discipline de la médecine qui étudie la cavité buccale et les tissus atténuants. J’ai fait choix de ce métier parce que, premièrement, c’est une très belle discipline et, deuxièmement, j’aimerais pouvoir aider les gens tout en gagnant ma vie.

Loroty Loënsky LABONTE, étudiante en cinquième année d’odontologie

 

 

Je serai une professionnelle chevronnée, qui soigne très bien les malades et se soucie de leur bien-être. Le métier d’infirmière me donne la possibilité d’être là pour les autres en prenant soin d’eux, en les écoutant et leur informant sur leur état de santé.

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) enrichit mes connaissances dans ce domaine et me pousse à poursuivre mes études. Bien entendu, j’envisage déjà d’obtenir un doctorat dans cette discipline.

BELLY Cassayina,  deuxième année Sciences Infirmières.

 

 

J’ai fait choix de ce métier pour honorer la mémoire de ma mère. Celle-ci a toujours voulu que sa dernière fille étudie la médecine. Après son décès, ma grande sœur m’a conseillé de choisir l’odontologie. J’ai fini par aimer cette discipline.

En observant la situation critique de l’hygiène bucco-dentaire en Haïti, je pense que ma future profession contribuera beaucoup à l’amélioration de la santé dentaire de la population.

J’offrirai mes services dans les quartiers, les écoles et les associations de jeunes. Je participerai également à des conférences sur l’hygiène bucco-dentaire pour aider les gens à avoir un sourire agréable.

Nadine Contant, étudiante en cinquième année d’odontologie

 

 

Ce qui peut être le choix idéal aujourd’hui peut ne pas l’être demain, cette pensée s’est incrustée en moi dès mon plus jeune âge. C’est l’une des raisons pour lesquelles je pèse tranquillement le pour et le contre avant de faire n’importe quel choix. Je ne me base pas seulement sur le présent, mais je tiens également compte d’une possible évolution des choses dans le futur.

Le pays fait souvent fait à des aléas naturels qui, dans la majeure partie des cas, engendrent la mort, la perte d’autonomie, l’amputation et des cas de paralysie. Les personnes ayant perdu leur autonomie ont besoin d’accompagnement médical pour leur réhabilitation. Dans ce cas, l’intervention de physiothérapeutes est plus que nécessaire.

Je suis Stéphania Joseph, étudiante en deuxième année de physiothérapie à l’Université de la Fondation Dr Aristide. J’ai fait choix de ce métier en vue d’accompagner les personnes qui ont besoin d’aide dans ce domaine.

 

 

L’Odontologie est considérée comme étant la science qui étudie l’organe dentaire, les maxillaires et les tissus attenants. Elle prend en charge les personnes atteintes de pathologie buccale.

Elle n’a pas été mon choix au début, mais j’ai vraiment appris à l’aimer. Jusqu’à présent, je n’ai jamais regretté d’avoir choisi cette discipline.

C’est un immense plaisir pour moi de contribuer au bien-être de mes patients, en leur soulageant et en leur redonnant un sourire radieux.

L’Odontologie c’est de l’art. Vive la dentisterie !

 

 

La santé bucco-dentaire est essentielle, elle a un impact sur la santé générale. Prendre soin de la cavité buccale permet de continuer à s’alimenter normalement et à prévenir l’apparition de pathologies pouvant avoir des répercussions graves sur l’organisme.

Après plusieurs observations réalisées en classe terminale, j’ai remarqué qu’en Haïti il n’y a pas beaucoup de spécialistes en médecine dentaire. Les soins bucco-dentaires sont négligés pour plusieurs raisons, notamment un manque de sensibilisation et le peu d’argent dont détient une bonne partie de la population. Pour aider la communauté à surmonter cet obstacle, j’ai fait choix d’étudier l’odontologie.

Kimberly CARISSAINT, étudiante en cinquième année d’odontologie

 

 

Parlons un peu de l’odontologie.

L’odontologie est une partie de la médecine qui a pour mission de traiter les maladies de la bouche et des tissus attenants.

Pour ma part, j’ai fait choix de ce métier pour deux raisons. Premièrement, parce que je l’aime. Deuxièmement, parce que je veux aider ma communauté, car nombreux sont les haïtiens qui n’ont pas accès à des soins dentaires de qualité.

Je ne regrette pas d’avoir choisi l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Je suis Djervlyne ADRIEN, étudiante en cinquième année d’odontologie

 

 

Le choix de l’odontologie comme spécialité n’a pas été facile pour moi. Au départ, je voulais étudier le droit ou les sciences politiques, mais au final j’ai choisi l’odontologie.

Au cours de mes cinq années d’études, j’ai pu réaliser à quel point ce métier est merveilleux. Après le cycle d’études, l’un de mes principaux objectifs sera d’aider ma communauté dans la lutte contre les maladies bucco-dentaires.

SAINT-HILAIRE Woodly, étudiant en cinquième année d’odontologie

 

 

J’ai fait choix de l’odontologie comme profession après avoir constaté qu’il y a un manque cruel de dentistes dans le pays. Je souhaite apporter mes contributions en vue de l’amélioration de la de la santé bucco-dentaire de la population.

J’aime beaucoup la dentisterie et adore la façon dont les professeurs nous apprennent à soigner les patients.

Sophy MILORD, cinquième année d’odontologie,

 

 

Je suis Jean Justina, étudiante en cinquième année d’odontologie.

Après mes études classiques, mon plus grand rêve était de devenir un grand médecin généraliste. Mais, après avoir constaté qu’il y a très peu de dentistes en Haïti, particulièrement à Jérémie, et observé le nombre de maladies bucco-dentaires dont souffre la population, j’ai changé d’avis. J’ai donc décidé d’étudier l’odontologie.

Je compte devenir une grande chirurgienne-dentiste afin d’aider la population.

 

 

J’ai fait choix de l’odontologie pour deux raisons. Premièrement, parce que j’aime ce métier. Deuxièmement, parce qu’il y a, dans la localité où j’ai grandi, un manque cruel en matière de soins dentaires. Il n’existe dans la zone aucun spécialiste en médecine dentaire pouvant prendre en charge les patients atteints de maladies bucco-dentaires. J’ai donc choisi de m’orienter dans cette voie pour pouvoir aider ma communauté.

Widflore DEMOSTHENE, étudiante en cinquième année d’odontologie

 

 

Je suis Mickaïlovena PICARD, étudiante en 5ème année odontologie.

J’ai fait choix de la médecine dentaire, car je voulais comprendre les raisons pour lesquelles les dents changent de couleur. Je voulais particulièrement savoir pourquoi leurs racines apparaissent avec l’âge.

Les maladies bucco-dentaires m’ont longtemps intrigué. J’ai toujours aimé apprendre comment les prévenir et les traiter en vue d’apporter mon aide à la population.

 

 

Faire le choix d’un métier est l’une des décisions les plus importantes qu’un bachelier doit prendre à la fin de ses études classiques. Moi aussi, j’ai dû passer par là. Après avoir obtenu mon bac, j’ai fait le choix de l’odontologie. Une décision motivée par la situation de la santé bucco-dentaire au sein de ma communauté et le changement que je pourrais apporter comme dentiste.

J’avais l’habitude de me rendre au cabinet dentaire de mon cousin. J’admirais son travail, sa manière de côtoyer les patients et la fierté avec laquelle il exerçait ce métier. Son comportement a, de plus en plus, éveillé ma curiosité et mon amour pour cette discipline.

Osselin Sunflore, étudiante en cinquième année d’odontologie

 

 

Choisir la médecine comme filière d’études est un choix idéal et noble. Cependant, choisir où concrétiser ce rêve, afin de contribuer au développement de sa communauté et de sa patrie, nécessite une analyse profonde et rationnelle en ce qui a trait aux exigences de la discipline, notamment : un environnement académique propice, un hôpital universitaire et des professeurs qualifiés.

Il s’avère que l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA), notre Alma Mater, confère à ses étudiants les connaissances et compétences nécessaires à l’atteinte de leurs objectifs. Étant étudiant en médecine, j’ai découvert qu’être Unifariste, ce n’est pas seulement cultiver l’espoir de concrétiser ses rêves les plus chers dans son domaine, ni d’avoir le sentiment de bonheur que procure la verdure du campus. Mais être Unifariste, c’est aussi découvrir l’odeur du parfum de la dignité humaine et cultiver la mixture de la science et de la conscience.

« La dignité est inhérente à la nature humaine. Du Scientifique à l’analphabète, du Nègre au Blanc, nous sommes tous nés libres, égaux, en dignité et en droit. » « Une science sans conscience est un axone sans influx nerveux », dixit Dr Jean Bertrand Aristide.

Olritch Saint-Fleur, étudiant en quatrième année de médecine

 

 

Entrer à l’université, c’est l’opportunité de faire un choix de carrière et mûrir son projet professionnel. Sur ce point, l’Université de la Fondation Dr Aristide a été le choix idéal pour moi. Elle dispense un programme de formation en sciences infirmières correspondant à mes attentes.

A l’UNIFA, nous recevons une éducation de qualité et les bonnes méthodes pour réussir notre carrière dans le respect et la dignité. L’Université de la Fondation Dr Aristide nous permet également de vivre nos passions et de nous épanouir.

Jean Baptiste Midelyne, étudiante en quatrième année Sciences Infirmières

 

Décès

C’est avec stupéfaction que le Décanat de la FSNA a appris que BOZIL Jean Berto, étudiant en deuxième année à la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture, a vu s’anéantir son rêve de devenir ingénieur-agronome, lorsqu’il s’est éteint dans l’au-delà suite à une maladie insidieuse le Mardi 25 avril en cours.

La consternation et la désolation affectent particulièrement ses camarades de promotion à qui nous souhaitons nos condoléances. Le partage de la douleur de ses proches nous incite à leur souhaiter du courage et à leur offrir notre solidarité ainsi que nos sympathies.

La Banque de sang de l’Université de la Fondation Dr Aristide

« La Banque de sang de l’UNIFA et le sang », c’est autour de ce thème que s’est déroulée, ce jeudi, la première édition des « jeudi de l’UNIFA » du mois d’avril 2023. Le panel a été constitué de la Doyenne de la Faculté de Médecine, Dr Daphnée Benoît Delsoin, de Mme Marlène Dambreville, Responsable du laboratoire et de certains membres du personnel médical de l’Hôpital Universitaire Dr Aristide.

Selon les intervenants, quelques gouttes de sang suffisent pour maintenir l’être humain en vie. Pourtant, beaucoup de patients dans le besoin n’ont pas accès en temps voulu à cette substance. En 2022, d’après la Doyenne, le poste de transfusion sanguine a estimé les besoins en sang autour de 60 à 80 mille pochettes. Malheureusement, seulement 34 mille ont été collectés. Autrement dit, près de la moitié des patients ayant besoin de ce produit n’ont pas pu y avoir accès. « Mais quand même l’UNIFA a pu apporter sa pierre. […] l’UNIFA a reçu une plaque d’honneur et mérite pour la meilleure collecte de sang mobile réalisée à travers le pays », a révélé Dr Benoît Delsoin.

« Soucieuse de la sécurité des donneurs et en vue de garantir aux patients l’accès à ce produit vital, l’Université de la Fondation Dr Aristide a mis sur pied la Banque de sang de l’UNIFA qui sera sous la supervision directe du laboratoire. Donc, les donneurs seront reçus dans des conditions maximales de sécurité à la clinique externe […]. L’espace est vraiment agréable et a été aménagé en conséquence », a-t-elle indiqué.

« Le don de sang est volontaire. Nous sommes là aujourd’hui pour vous sensibiliser, pour écouter ceux qui ont volontairement donné de leur sang. Et comme on a l’habitude de le dire à l’UNIFA : Donner son sang, c’est vraiment un don de soi. Nous le faisons chaque année lors de la semaine scientifique, mais là nous aurons notre banque de sang […]. Et je vais vous dire, vous serez invités, pas seulement au moment de la semaine scientifique, même sur une base volontaire, quand vous voulez, vous pourrez vous rendre à la Fondation et donner de votre sang », a précisé Dr Benoît Delsoin.

En résumé, l’intervention de la Doyenne a fait place à une belle séance d’échanges sur le sang et le don du sang entre l’assistance et les panelistes. Les participants ont été sensibilisés et comprennent mieux, à présent, les bienfaits du don de sang pour les donneurs.

Cinquième cérémonie de collation de diplômes à l’Université de la Fondation Dr Aristide

 

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) a organisé, ce dimanche 26 mars, à l’auditorium du campus, sa cinquième cérémonie de collation de diplômes. 230 étudiants issus des Facultés de Médecine, d’Odontologie, des Sciences Infirmières, des Sciences de Réhabilitation, de Génie et d’Architecture, des Sciences Économiques et Administratives ont reçu leur diplôme de premier cycle.

Vêtus de toges (blanches pour les étudiants en sciences de la santé et noires pour les autres), les récipiendaires ont donné un éclat particulier à cet événement rehaussé par la présence du Président de l’UNIFA, Dr Jean-Bertrand Aristide, et son épouse Mme Mildred Aristide, des membres du Conseil d’Administration, du Rectorat, des Décanats, du corps professoral et du personnel administratif. Ont également pris part à cette cérémonie les parents des récipiendaires, des étudiants, des représentants de la presse et d’autres invités.

Dans son allocution, le Président de l’UNIFA a d’abord remercié son épouse pour le dévouement et la passion dont elle fait montre à l’égard de l’Université de la Fondation Dr Aristide. Il a ensuite adressé des mots de remerciement aux membres du Conseil d’Administration pour leur bienveillance et générosité. Dr Aristide a également témoigné sa gratitude envers les professeurs, les membres du Rectorat et du corps médical de l’hôpital. Il en a profité pour faire une brève présentation des services offerts à l’Hôpital Universitaire Dr Aristide.

Le Président de l’UNIFA a, par ailleurs, adressé des mots de félicitation aux parents des récipiendaires qui, selon lui, sont des champions et méritent le trophée de la reconnaissance. « Jodi a, chanpyon an se pa ekip Ajantin nan, se nou menm menm manmi ak papi ke nou renmen anpil anpil. Chapo ba pou nou. Bravo pou nou ! Pou jan nou fè sakrifis. Pou jan nou redi. Brezil chanpyon senk fwa. Ajantin twa fwa. Nou menm paran, nan edikasyon pitit nou, bon ! jodi a, nou chanpyon, nou chanpyon nèt », a-t-il dit.    

Un peu plus loin dans son discours, Dr Aristide a félicité les récipiendaires et les a exhortés à poursuivre leurs études. « Ta graduation, loin d’être une fin d’études, t’invite à un apprentissage continu. Jodi a, ou fò. Demen, w ap vin pi fò. Paske yon Unifariste se moun ki fò. Moun ki fò merite bravo ki pi fò. UNIFA deja anwo, l ap monte pi wo, pandan oumenm w ap vin pi fò », a-t-il déclaré.

L’ex Président d’Haïti n’a pas oublié le peuple haïtien. Il a eu une pensée spéciale pour cette nation qui souffre. « Lanfè kidnapping, ensekirite k ap fin detwi peyi a jodi a, se rezilta koudeta 2004 la. Lavi tout moun menase anba ensekirite kontra sosyal sa a. Plis ke jamè, fòk nou solidè paske soufrans yon Ayisyen se soufrans tout Ayisyen. Respè ak bonjan sewòm patriyotik pou chak sè n ak frè n ki viktim nan lanfè kidnapping san parèy sa a », a-t-il martelé.

Le discours du Dr Aristide a successivement fait place à tout une kyrielle d’activités : la remise des parchemins, le serment des gradués, le discours des lauréats-es, la passation de flambeau et la remise de cadeaux aux étudiants et lauréats, sans oublier bien entendu les contributions de  l’Orchestre Philharmonique Sainte-Trinité qui a charmé l’assistance par d’excellentes compositions musicales. Des étudiants de l’UNIFA ont aussi profité de cet événement pour faire éclore leurs talents en interprétant de beaux morceaux de musique.

Ce fut une cérémonie de graduation digne d’une prestigieuse université. L’agenda de la cérémonie, le décor, les écrans géants, les tentes, etc., tout a été pensé et bien réfléchi pour faire de cette cinquième cérémonie de collation de diplômes un moment gravé en lettres d’or dans la mémoire et le cœur des récipiendaires.

 

 

 

Discours du Président de l’UNIFA, le Dr Jean-Bertrand ARISTIDE, à l’occasion de la cérémonie de collation de diplômes, le dimanche 26 mars 2023

De l’eau traitée à l’Université de la Fondation Dr Aristide

 

Le jeudi de l’UNIFA du 16 mars 2022 a été consacré à la gestion de l’eau traitée sur le campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide. « L’accès à l’eau potable est un droit humain fondamental, dit-on. Pour garantir la jouissance effective de ce droit à la communauté universitaire, le Conseil d’Administration a rendu l’eau potable disponible sur le campus. Cependant, il s’avère nécessaire de faire une bonne gestion de cette ressource rare », a déclaré l’Ing Almathe Pierre Louis, membre du corps professoral à l’ouverture de la séance.

Le panel était composé du Doyen de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture, l’Ingénieur-Agronome Arlan Lecorps, du Vice-Doyen de la Faculté des Sciences Economiques et Administratives, l’Ingénieur-Agronome Jean Bosco Ducasse, et d’une étudiante sortante de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture à l’UNIFA, Djely Lindor.

Selon le Doyen, l’eau c’est la vie. « Le corps humain est composé de 65% d’eau. Le melon, c’est 90% d’eau. Le cerveau, également, c’est 90% d’eau. C’est pourquoi lorsqu’on ne boit pas suffisamment d’eau on manque d’énergie », a-t-il dit.

« Au nom du principe qu’il y a des droits humains fondamentaux et que l’on doit assurer ces droits ; au nom du principe que l’université doit être un modèle pour la société ; nous nous sommes arrangés pour fournir une eau de qualité à la communauté universitaire. Pour cela, des investissements importants pour creuser le puits, installer une pompe, mettre des tuyaux ont été consentis », a-t-il ajouté.

D’après l’Ingénieur-Agronome Lecorps, d’autres dépenses ont été effectuées pour construire un citerne, mettre en place une station de traitement d’eau, installer un chlorinateur sur les circuits et mettre en œuvre un système de purification par osmose inverse. « Pour faire marcher tout ce système, il y a un coût. Il faut de l’entretien. Il y a des fournitures : du sel, et d’autres choses à acheter de temps en temps, le courant à payer, etc. Donc, il faudra récupérer ces coûts si l’on veut continuer à jouir de ce droit d’avoir accès à une eau de qualité », a-t-il expliqué.

« J’ai l’impression que c’est ce qui se reflète quand les compagnies qui vendent de l’eau traitée font payer jusqu’à 100 gourdes pour la bouteille. Dans ce coût-là, il y a celui de la bouteille qui dépasse parfois celui de l’eau. Dans un souci de protection de l’environnement, nous voulons encourager un système où les étudiants viennent avec leur propre contenant », a précisé le Doyen.          

Pour l’Ing.-Agronome Ducasse, le groupe qui assure la gestion de l’eau progresse dans la mise en place d’un système de distribution efficace. « En parlant de gestion, je peux confesser qu’il y a des progrès notables. Pour le moment nous sommes dans une approche de remplissage, c’est-à-dire l’étudiant vient avec sa thermos et on lui distribue de l’eau en échange d’une cotisation. On ne parle pas de prix parce qu’on n’est pas dans une approche commerciale. C’est juste une participation pour la pérennisation du système », a-t-il indiqué.

De son côté, Djely Lindor, qui coordonne le comité des étudiants assurant la gestion de l’eau, a précisé la cotisation que chaque étudiant doit payer. Selon elle, le prix est fixé non à 75 gourdes comme ailleurs, mais à 25 gourdes pour ½ litre d’eau.     

 

Les Unifaristes, nous voici!

Je réponds au nom de Fleuranvil Fania, étudiante en 4ème année de Génie Civil.  Dès mon plus jeune âge, j’ai rêvé de devenir quelqu’un de grand. Après mes  études secondaires, choisir un établissement d’enseignement supérieur où étudier était une tâche difficile pour moi. C’est à ce moment-là que j’ai pris connaissance de tout ce que l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) réalise dans notre société. L’UNIFA m’aide à voir les choses différemment et à progresser.

 

 

Mon nom est Tamie Loudemia Joseph, étudiante en 4ème année à la Faculté de Génie et d’Architecture (FGA).

Depuis mon enfance, j’observais le paysage haïtien et celui des autres pays, je voyais une très grande différence au niveau de l’environnement bâti. Après mes études classiques, j’ai donc choisi l’UNIFA pour faire des études dans le domaine du génie civil et de l’architecture.

Les quatre années passées à la FGA m’ont permis de gagner en clarté d’esprit et en confiance. Durant cette période, j’ai pu faire la rencontre de professeurs et d’amis me permettant de progresser sur le plan  professionnel et personnel. Sincèrement, à l’UNIFA, ce n’est pas seulement un programme d’études qui nous est offert, mais un lieu de vie où l’on peut apprendre et s’épanouir.

 

 

Je suis Thibaud Roger Mya, étudiant en 4ème année à la Faculté de Génie et d’Architecture (FGA).

Depuis ma tendre enfance, je rêvais de devenir ingénieur civil. Après mes études secondaires, j’ai donc choisi l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) pour poursuivre mes études. A l’UNIFA, j’ai l’opportunité d’assister à des cours de haut niveau qui me permettent d’avancer petit à petit vers la concrétisation de mon rêve.

 

 

Mon nom est Jean Warens AMAZAN. Dès mon enfance, j’ai rêvé de jouer un rôle important dans la société. A présent, je suis en 4ème année de génie civil à l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA). J’avance lentement vers la réalisation de mon objectif et l’UNIFA m’aide à progresser en ce sens.

 

 

Je suis Duveau Saskia Fedora, étudiante en première année à la Faculté des Sciences Economiques et Administratives (FSEA).

Après l’obtention de mon diplôme en Sciences économiques, je souhaite poursuivre mes études de deuxième cycle en Suisse. Je compte revenir en Haïti, après avoir décroché mon diplôme de master, en vue d’apporter mes contributions au développement de l’économie nationale.

Mes études à l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) est l’une des étapes les plus importantes que je dois franchir en vue d’atteindre mes objectifs. Durant cette première étape, je n’hésiterai pas à saisir les opportunités qui me seront offertes.

 

 

Durant ces dernières années, j’étais vraiment indécise sur l’orientation que je devais donner à ma carrière. Au fil des ans, je me suis laissé charmer par le métier d’économiste. Malgré ce choix professionnel, je ne savais pas au départ vers quel établissement universitaire me tourner.

J’ai dû me confier à des amis qui m’ont suggéré l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) comme centre de formation de référence dans le pays. Je ne regrette nullement d’avoir choisi l’UNIFA. Les responsables ont tout fait pour que je me sente à l’aise sur le campus. Grâce à l’Université de la Fondation Dr Aristide, je peux envisager mon avenir professionnel avec sérénité.

Carla Djénhalissa Décejour, étudiante en 1ère  année

 

 

Je suis François Alens, étudiant en première année à la Faculté des Sciences Economiques et  Administratives (FSEA) de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA). Je rêve de devenir le propriétaire de la plus grande entreprise de production en Haïti. Je compte sur la formation offerte par la FSEA pour atteindre ce but. Je suis certain qu’au cours du cycle d’études j’apprendrai tous les principes et les caractéristiques du bon administrateur.

 

 

 

 

 

 

 

Je suis Wensky Anderson Gaëtan JEAN-LOUIS, étudiant en 4ᵉ année à la Faculté d’Agronomie de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA).

L’UNIFA dispose d’une cour aérée et bien arborée. Comme futur Ingénieur-Agronome et étudiant de la première promotion d’agronomie, j’aime vraiment l’architecture moderne du campus et souhaite à l’avenir participer aux travaux d’aménagement du paysage de l’UNIFA.

 

On me nomme Fabrice Tanis Etienne. Je suis en 4ème année à la Faculté de Génie et d’Architecture. Certains jeunes choisissent une profession selon leurs goûts et leurs aptitudes, mais, malheureusement, je n’ai pas eu ce privilège. Mon choix a été fait après la regrettable tragédie du 12 janvier 2010 qui a causé la mort de plusieurs centaines de milliers d’Haïtiens.

Quelques années après le séisme, je me suis posé cette question : « Pourquoi un bilan aussi lourd de pertes en vies humaines ? ». Après des recherches approfondies, j’avais finalement compris que cette catastrophe était principalement due à l’absence de construction et d’infrastructures solides respectant les normes parasismiques. En fouillant un peu plus, j’ai appris que le génie civil est la spécialité qui s’intéresse aux ouvrages d’infrastructure. J’ai donc décidé de devenir un ingénieur civil en vue d’apporter mes contributions à la réalisation de constructions solides et fiables pouvant limiter les dégâts en cas de séisme de forte magnitude.

En ce qui concerne mes objectifs, je veux devenir l’un des ingénieurs les plus compétents de mon pays. J’aimerais marquer mon époque, être une personne qui impose le respect et qui force l’admiration des autres. Mais le plus important pour moi, c’est de devenir un modèle pour la jeunesse haïtienne. Et c’est précisément pour cela que j’ai fait choix de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Je suis persuadé que la formation que je reçois à l’UNIFA me permettra d’atteindre les objectifs que je me suis fixés.

 

 

Je réponds au nom d’Emmanuel Pierre, étudiant en génie civil à l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA). C’est un honneur et un privilège pour moi de parler un peu de mes études et de la façon dont elles vont contribuer à la réalisation de mes rêves et à la concrétisation de mes objectifs (projets).

Pour faire simple, le génie civil regroupe l’ensemble des techniques de construction civile. Les ingénieurs civiles s’occupent de la conception, de la réalisation, de l’exploitation et de la réhabilitation d’ouvrages de construction et d’infrastructures dont ils assurent la gestion, afin de répondre aux besoins de la société, tout en garantissant la sécurité du public et la protection de l’environnement.

J’ai fait le choix de cette profession par amour et pour contribuer du mieux que je peux à l’amélioration des ouvrages de construction. En Haïti, la plupart des maisons, des routes, des bâtiments et d’autres ouvrages sont mal construits. Lors de passage de cyclones, de tempêtes et d’autres phénomènes naturels, il y’a assez souvent des dégâts considérables et des pertes en vies humaines. Ces destructions découlent généralement de la construction des infrastructures qui ne respecte pas les normes.

J’aime le génie civil et l’UNIFA me donne la possibilité de me spécialiser dans ce domaine. Les connaissances acquises durant le cycle de formation me permettront d’atteindre mon objectif de devenir un ingénieur compétent et respecté.

 

 

Je suis Saurayard Joseph, étudiante en 4ème année à la Faculté de Génie et d’Architecture (FGA). Mon objectif est de devenir l’un des meilleurs ingénieurs dans le pays et d’aider à la reconstruction d’une Haïti meilleure. L’Université de la Fondation Docteur Aristide contribue grandement à la réalisation de mes objectifs. Elle m’offre la formation nécessaire pour devenir un bon ingénieur.

 

 

Je réponds au nom de DIE Launy. Je suis en 4ème année de génie civil à l’Université de la Fondation Dr Aristide. C’est un immense plaisir pour moi d’étudier à l’UNIFA. L’Université de la Fondation Dr Aristide me donne la possibilité de mieux planifier mon avenir professionnel. Elle façonne mon esprit afin que je puisse construire mes plus humbles projets. Merci.

 

 

 

Je réponds au nom de Bazil Jean Rigobert. Je suis en deuxième année à la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture. Comme étudiant en agronomie, le paysage de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) m’offre la possibilité de vérifier et de compléter les connaissances acquises dans les cours théoriques. L’UNIFA dispose de salles de cours spacieuses et d’une cour qui exhibe un environnement de paix favorable au bien-être intellectuel.

 

 

 

 

Plaidoyer pour la restitution par la France de la dette de l’indépendance

Le Dr Francis St Hubert a prononcé, ce 16 février 2023, dans le cadre des Jeudi de l’UNIFA, son « Plaidoyer pour la restitution par la France de la dette de l’indépendance ». Calme et souriant, il n’a pas manqué d’exprimer, au début de l’exposé, sa passion pour le sujet. « C’est un sujet qui me tient à cœur. C’est le sujet dont je parle le plus souvent », a-t-il dit.

Selon Dr St Hubert, pour comprendre sa démarche, il faut faire un saut dans le passé. Particulièrement, il faut remonter à une quinzaine d’années après l’indépendance d’Haïti. A l’époque, la France n’était plus au sommet de sa gloire. Après les différentes batailles perdues par Napoléon, elle était sur une pente descendante. Toutefois, en 1815, les autres pays européens allaient lui procurer un peu de sa gloire ancienne. Quelques années plus tard, elle a envoyé dans la rade de Port-au-Prince une flotte de 14 navires de guerre. Celle-ci avait pour mission d’imposer au nouvel État une indemnité de 150 millions de francs.

D’après Dr St Hubert, le budget de l’Etat haïtien à l’époque était d’environ 15 millions de francs. Pour payer le premier versement, les autorités étatiques ont dû recourir, en France, à un prêt de 30 millions. Le taux d’intérêt, à l’époque, était fixé à 7%. A ce moment, Haïti était débitrice d’une double dette envers la France : l’indemnité et l’emprunt. Pour Dr St Hubert, les 150 millions versés aux autorités françaises ont été utilisés pour construire de nombreuses infrastructures, dont la Tour Eiffel et la statue de la liberté.

« Le montant de l’indemnité m’a intrigué. Comme économiste, j’ai dû faire des recherches pour savoir ce que valaient réellement les 150 millions de francs. Après avoir fait des calculs, j’ai trouvé que cette somme équivalait à 500 millions de dollars US en 1825 et à 54 milliards de dollars en 2000. Le Président Jean-Bertrand Aristide est le seul qui a eu le courage de demander à la France de restituer la rançon de l’indemnité », a-t-il expliqué.

Suite à la demande du Président Jean-Bertrand Aristide, la France a délégué en Haïti une commission présidée par Régis Debray pour discuter, a révélé Dr St Hubert. « Régis Debray était venu pour nous dire que la demande d’Haïti était illégale et stupide, et que les Haïtiens n’avaient aucun droit de demander la restitution de cet argent. Il disait ensuite que la dette de la France envers Haïti est une dette morale, pas une dette financière », a-t-il indiqué. « J’ai su un peu plus tard que Régis Debray n’était pas vraiment venu pour cela. Il était venu pour nous avertir que la France allait enlever le Président Aristide si l’on continuait à demander la restitution de la rançon. Et finalement, c’est ce que la France a fait le 29 février 2004 », a-t-il ajouté.

Dr St Hubert a également rappelé qu’après le coup d’État de 2004, le Premier Ministre Gérard Latortue a tout bonnement décidé d’ignorer la demande de restitution en répétant les mêmes propos de Debray. « Gérard Latortue est allé en France. A sa sortie de l’Élysée, il eut à dire que la demande de restitution est illégale et stupide, et que son gouvernement allait l’annuler », a-t-il raconté.

C’est ainsi qu’une requête de principe, traduisant la volonté de rendre à toute une nation cet inaliénable droit à la vie dans les conditions dignes et respectables, a été jetée aux oubliettes.

Les Unifaristes, nous voici!

L’Université de la Fondation Dr. Aristide prône l’éducation sans exclusion. Elle offre aux jeunes une formation de qualité dans plusieurs domaines.

J’ai toujours cru que de bons investissements peuvent sortir Haïti de la pauvreté. Ainsi, je rêve de contribuer au développement du pays en créant mon entreprise et en me faisant connaître dans le monde des affaires. L’UNIFA, par sa méthode d’enseignement, me fait croire à la concrétisation de ce rêve. Je suis sincèrement reconnaissante à cet établissement universitaire qui continue de façonner mon esprit.

 

 

 

 

 

 

 

 

Toutes mes salutations à vous qui êtes en train de me lire.

Je suis May Kerlens Lovitz ROMAIN, étudiant à la Faculté des Sciences Economique et Administratives. Dès mon plus jeune âge, mon rêve était de devenir économiste. Aujourd’hui, je me vois plus près de ce but. Un rêve qui est sur le point d’être réalisé grâce à l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Puissent mes yeux scientifiques s’ouvrir et faire briller l’éclat des bonnes choses apprises à l’UNIFA !

 

 

 

 

Accepter d’étudier dans un pays où tout va de travers est un choix difficile. Comme future gestionnaire, je pense que cette décision me donne l’opportunité de faire germer des graines de potentiel, de les arroser afin qu’elles puissent grandir et être utiles à la société.

Je suis très confiante quant à mon choix. Avec les compétences que j’acquiers à l’Université de la Fondation Dr Aristide, je serai un gestionnaire exemplaire qui guidera sa société vers le développement.

Je crois que je suis sur la bonne voie et que mon avenir brille déjà au plus haut point.

 

 

 

 

Je tiens à exprimer mes remerciements et ma profonde gratitude au Dr Jean-Bertrand Aristide pour avoir offert l’opportunité à tous ces jeunes d’avoir accès à une éducation de qualité.

Je suis également reconnaissante aux professeurs de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) qui nourrissent et embellissent mon esprit. Grâce à leurs partages, mes rêves les plus chers sont sur le point d’être concrétisés.

Mes remerciements vont aussi à l’endroit du personnel de l’UNIFA.

Pour développer notre chère Haïti, l’éducation est notre seul espoir, d’où l’importance de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Charles Glorie Ruthnie , 1ère année FSEA

 

 

 

 

Etudiante en gestion à la Faculté des Sciences Economiques et Administratives, je me vois exercer comme experte dans mon domaine dans les prochaines années.

Après l’obtention de mon diplôme, je compte offrir mes contributions à la communauté haïtienne en vue d’identifier les manques et d’y apporter des éléments de solution. Les compétences acquises à l’UNIFA m’aideront à atteindre mon objectif.

 

 

 

Je suis Milady C. Guerrier, étudiante à la  Faculté des Sciences Economiques et Administratives.

Je suis une fière étudiante de l’Université de la Fondation Dr Aristide. L’UNIFA est une grande université. Je m’attends à recevoir une formation adaptée aux réalités mondiales, celle-ci me permettra d’aborder le marché du travail avec confiance.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je suis en première année à la Faculté des  Sciences Economiques et Administratives. Étudier à l’UNIFA est un rêve que je caressais depuis des années. Maintenant, je peux tranquillement visionner le fil déroulant de mon avenir comme future professionnelle.

Je suis très reconnaissante à l’UNIFA pour tout ce qu’elle m’apprend. Il est rare de rencontrer une équipe aussi dévouée et digne de confiance

.UNIFA est  la meilleure !

Orné Juline, 1èère année FSEA

 

 

 

 

 

 

 

 

La physiothérapie n’a pas été mon premier choix. Au départ, je ne savais pas que ce domaine existe. Depuis le jour où j’ai fait sa connaissance, je ne regrette pas ma décision de l’étudier. Cette discipline m’a appris ce que sont les limites de notre corps.

Étant donné que la physiothérapie n’est pas très connue en Haïti et que certains ignorent son importance, je suis prête à sensibiliser les gens sur son rôle dans le système de santé.

Faizah Witchama Faustin, étudiante en 3ème année à la Faculté des Sciences de Réhabilitation.

 

 

 

 

Je suis Cazeau Roudmiyah Lendsey, étudiante en première année de médecine à l’Université de la Fondation Dr Aristide.

L’université est, par définition, le lieu de reproduction, de production et de transmission du savoir. Cependant, beaucoup d’établissements universitaires en Haïti n’accomplissent pas ces missions.

Après mon baccalauréat, il était difficile pour moi de choisir où étudier. Je n’ai pas regretté le fait d’avoir choisi l’UNIFA. Un choix qui, bientôt, me permettra de faire carrière dans la médecine.

Avec le jeudi de l’UNIFA, je commence à avoir le goût du débat, l’esprit beaucoup plus ouvert et une bonne culture générale.

L’UNIFA est le lieu idéal pour les gens qui veulent acquérir une solide formation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AVIS aux étudiants

L’UNIFA vous rappelle qu’une adresse e-mail universitaire est mise à votre disposition. Prière de vous connecter à partir de gmail.com, en écrivant le nom d’utilisateur et le mot de passe que vous avez reçus en octobre dernier pour la plateforme numérique.

A noter que vous ne serez pas en mesure de consulter vos « Résultats des évaluations de connaissances » en ligne sans une connexion préalable à votre boite mail universitaire.

La période des examens de la première session approche

Le 30 janvier prochain marque le début des examens de la première session à l’Université de la Fondation Dr Aristide. Une semaine avant cette date, les cours ont pris fin. Les étudiants bénéficient ainsi d’une bonne pause pour réviser.

Durant ce temps de battement, c’est le calme plat à l’Université de la Fondation Dr Aristide. Le vide est perceptible au niveau des facultés. Les salles de cours sont désertes. Les rares étudiants qui fréquentent encore le campus pour régler certaines formalités administratives ou pour étudier sont éparpillés dans les moindres recoins de la cour. Il faut se diriger vers la Place Dignité pour retrouver un minimum d’ambiance. Plusieurs étudiants s’y réfugient pour travailler. C’est le cas de Cednic Louissaint, étudiant en deuxième année à la Faculté d’Odontologie.

Cednic habite à quelques mètres du campus, mais vient souvent profiter du calme qu’offre le vaste paysage de la Place Dignité pour étudier. Seul, éloigné de ses camarades, il marmonne entre les dents ses notes de cours. « La période des examens est stressante. Elle exige une grande concentration et de la patience. On a beaucoup de notes à étudier. Cependant, il est difficile de tout mémoriser. Pour réussir, il faut faire preuve d’intelligence. Moi, je me prépare à l’avance et n’attends pas la dernière minute pour le faire », explique Cednic.

De son côté, Wesley Belony, étudiant en troisième année de médecine, s’empresse de quitter le campus. Il vient d’accomplir les dernières démarches en vue de l’obtention de sa vignette. Selon lui, les examens tombent dans une période où tout le monde est stressé par la situation d’insécurité qui règne en Haïti. « Il n’est pas possible de bien se préparer dans de telles conditions. Mais je vais déployer tous les efforts possibles et imaginables pour réussir », affirme-t-il.

Nathanaëlle Conserve, 19 ans, étudiante en deuxième année de médecine, est assise devant l’auditorium. Calme et sérieuse, elle tient en main un cahier et griffonne tranquillement sur un bout de papier. Même le bruit le plus retentissant ne semble pas pouvoir la déranger. Elle se voue entièrement à ce qu’elle fait. « J’ai raté plusieurs séances de cours à la rentrée. J’essaie de recueillir le maximum de notes possible avant les examens et me préparer du mieux que je peux », dit-elle. « Je tente de garder mon calme, mais je suis influencée par le stress qu’éprouvent mes camarades », ajoute-t-elle.

La période de contrôle génère inquiétude, stress, angoisse voire panique chez les étudiants. Pour atténuer ces émotions, Nathanaëlle prodigue un conseil précieux. « Je conseille aux étudiants d’avoir confiance en eux, de ne pas attendre la dernière minute pour se préparer et de se concentrer sur les notes de cours », préconise-t-elle.

 

Avis de décès

Le Rectorat a appris avec infiniment de peine le décès de Mme Marinie Joseph Ducasse, mère de Mr Jean Bosco Ducasse, Membre du Décanat de la Faculté des Sciences Economiques et Administratives et de Me Marinie Agathe Ducasse, Chargée de Mission au Rectorat.
Le Rectorat se joint au personnel administratif, au corps professoral et à la communauté estudiantine pour présenter ses sincères condoléances à la famille éprouvée.
Les funérailles de Mme Marinie Joseph Ducasse seront célébrées le samedi  4 Février 2023 à l’Eglise Sainte Thérèse  à  8 hres AM.

Le cadre réglementaire de l’Université de la Fondation Dr Aristide exposé aux étudiants  

 

Les règlements généraux de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) ont été présentés, ce jeudi 19 janvier, aux étudiants. Ces derniers ont eu l’opportunité d’apprécier plusieurs sections de ce document qui définit les objectifs et les principes fondamentaux de l’institution ; un cadre réglementaire établi en vue de permettre aux étudiants de mieux appréhender les différentes facettes de la vie administrative et le profil académique de l’UNIFA.

« Aujourd’hui, le jeudi de l’UNIFA sera très particulier. On va vous présenter ce que la majorité d’entre vous connait déjà, à savoir les règlements généraux de l’institution. Dans toute société fonctionnelle, il y a des règlements. Et ces règlements sont faits pour être respectés », a d’abord expliqué le Responsable des Affaires Académiques, Docteur Dodley Sévère, dans son exposé.   

« Ce document que vous allez retrouver sur le site de l’institution a une table des matières et contient plusieurs chapitres. Nous n’allons pas insister sur tous les chapitres. Une certaine sélection a été faite. Nous allons parler des sanctions des études, de la structure administrative de l’enseignement et de la discipline », a-t-il ensuite souligné.

Après l’intervention du Dr Sévère, des étudiants ont exposé les chapitres II, III et IV des règlements. Ils ont successivement passé en revue les sections qui traitent des épreuves d’évaluation, de la correction des textes d’évaluation écrite (et des évaluations pratiques/stages), du travail de fin d’études, du profil de l’année académique, de la tenue et du comportement, et de l’environnement universitaire.

A la fin de la présentation, Dr Sévère a invité les étudiants à consulter le texte intégral des règlements généraux sur le site web de l’UNIFA et a lancé un appel au respect strict de ces principes. « Nul n’est censé ignorer ces règlements », a-t-il précisé.

 

La Place Dignité : clef du vivre ensemble à l’Université de la Fondation Dr Aristide

Fraîchement bâtie, la Place Dignité est implantée en plein cœur du campus, sur plusieurs mètres carrés. Ce nouvel espace, entièrement réservé aux étudiants, est enclavé dans un rideau de verdure. Il est encadré à l’est par la Faculté de Génie et d’Architecture, au sud par la cafétéria et au nord par une haie d’arbustes divers.

Il faut franchir la barrière d’entrée, refuser la voie menant au bâtiment qui abrite la Faculté de Médecine, contourner l’auditorium, puis arpenter le passage en terre battue situé en face de la cafétéria. Devant, une multitude de tables de pique-nique en béton ciré, cachées sous le feuillage des arbres, vous attendent. C’est ici que les étudiants se retrouvent, loin des nuisances sonores, pour travailler en groupe, échanger ou étudier.

Inauguré en décembre 2022, cet endroit porte le nom de Place Dignité. Son nom nous rappelle le titre de l’un des livres du Président Aristide : DIGNITÉ.

Il est dix heures du matin, des dizaines d’étudiants s’y sont déjà installés. Cahier en main, un groupe prépare tranquillement un devoir de recherche. Un autre, joyeux, profite du calme pour échanger entre amis. Certains préfèrent rester seuls soit pour réviser des notes de cours ou pour effectuer des travaux individuels.

La Place Dignité est non seulement une zone de repos, mais c’est également un endroit privilégié qui allie loisir et travail académique pour l’épanouissement et la réussite de tous.

 

La Faculté des Sciences Economiques et Administratives

La Faculté des Sciences Economiques et Administratives (FSEA) est l’une des différentes entités de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA). C’est l’un des plus importants sites académiques du pays en matière d’enseignement et de recherche dans les domaines de l’économie, de la finance, du management et de la comptabilité. Elle est créée en 2018. Sa principale mission est de former des professionnels compétents capables d’observer, d’analyser et d’apporter des éléments de réponse aux problèmes de gestion des entreprises d’une part, et du pays d’autre part.

La FSEA abrite un groupe dynamique de professeurs dont l’expertise s’étend à un large éventail de domaines. Présentement, elle dispense trois programmes d’étude de premier cycle : la Licence en Sciences économiques, la Licence en Sciences comptables et la Licence en Sciences de la gestion. Ces programmes se préparent sur une période de quatre années : deux ans de tronc commun et deux autres en option. Ils offrent une formation de haut niveau conduisant les futurs licenciés vers une variété de carrières dans les secteurs public et privé.

A la fin du cycle d’étude, l’étudiant doit présenter un mémoire de sortie en vue de l’obtention de son diplôme de licence. Pour faciliter sa réussite dans cet exercice, la Faculté des Sciences Economiques et Administratives met à sa disposition un staff de professeurs-chercheurs qui l’accompagnent pendant une période de deux ans. A part ce service d’encadrement, la FSEA fournit d’autres appuis aux étudiants. Elle expérimente un dispositif qui offre le service de recherche d’emploi et de stage aux finissants.

Comme perspective, le décanat réfléchit sur la mise en place du système LMD (Licence-Master-Doctorat) à la Faculté des Sciences Economiques et Administratives. Il compte ouvrir dans un futur proche deux programmes de Maîtrise (un Master en Business Administration et un Master en Sciences économiques) et procéder très prochainement à la création d’une école Doctorale devant offrir des cursus en économie et en management.

La FSEA est dirigée par le Doyen, Dr Eddy Labossière. Dr Labossière est titulaire d’un Doctorat en Economie monétaire effectué conjointement à City University of New York (CUNY) et à l’Université des Antilles et de la Guyane (UAG). Il détient un Master en Business Administration (MBA) obtenu à l’Université de Montréal (au Canada). Il est ingénieur civil, professeur des universités, ancien cadre du Ministère de la Planification et de la Coopération Externe (MPCE) et ex-consultant de plusieurs ministères (dont le Ministère de l’Economie et des Finances). Dr Labossière travaille comme consultant pour la Banque de la République d’Haïti (BRH) et donne depuis dix ans des consultations en Economie et Budget au Parlement haïtien (Sénat et Chambre des députés). Il est membre du conseil scientifique de l’Université d’Etat d’Haïti et assure la présidence de l’Association Haïtienne des Economistes (AHE).

L’Université de la Fondation Dr Aristide commémore le treizième anniversaire du séisme du 12 janvier 2010

L’Université de la Fondation Dr Aristide a organisé, ce jeudi, une cérémonie d’hommage aux victimes du séisme du 12 janvier 2010. Au programme : une marche silencieuse, quelques propos de circonstance, l’interprétation d’un morceau de musique et lancement de ballons et de colombes blanches en l’honneur des disparus.

Vers onze heures du matin, les étudiants en grand nombre se sont d’abord réunis à l’auditorium, puis ont marché jusqu’à la « Place Dignité » située au nord et à droite de la cafétéria. A leur tête, un groupe de futurs médecins vêtus de blouse blanche porte une vingtaine de ballons gonflables comportant chacun le nom d’une victime.

Après la marche et l’installation des différents participants sur la « Place Dignité », est venu le temps des discours. Prenant la parole, le Doyen de la Faculté de Génie et d’Architecture (FGA), Ingénieur Evens Toussaint, a situé le contexte de la cérémonie.  « Ce séisme ravageur d’une magnitude entre 7 et 7.3 a fait de nombreux morts, on parle de plus de 200 000, […] Voilà pourquoi, aujourd’hui, jeudi 12 janvier 2023, nous avons décidé de commémorer l’anniversaire de cette tragédie et en profitons pour honorer la mémoire des disparus », a-t-il souligné.

Ingénieur Toussaint a également rappelé l’importance de la marche. « Ils ont été ensevelis dans des fosses sans dignité. Cette petite marche symbolique que nous venons de faire, c’est pour rehausser, cristalliser dans notre cœur cette dignité pour eux », a-t-il dit.  « Je veux vous demander de porter votre main droite sur votre cœur et de répéter après moi dignité trois fois. […] Je vous prie de toujours garder dans votre cœur cette dignité pour que demain le professionnel que vous allez être puisse apporter à notre pays cette lumière », a-t-il poursuivi.

L’allocution du Doyen de la FGA a fait place à l’interprétation par une étudiante du morceau « W ale », une chanson qui a ravivé, pendant quelques minutes, les souvenirs douloureux de la tragédie. La Directrice de la Faculté des Sciences de Réhabilitation (FSR), Mme Thamar Michel Daméus, a profité de cette atmosphère pour rendre hommage aux personnes décédées. Elle a énuméré, par faculté, le nom des étudiants dont les parents ont été touchés par cette catastrophe. A chaque nom cité, un ballon blanc est lancé.

A la fin de la cérémonie, des étudiantes ont lancé des colombes blanches pour manifester leur amour aux personnes qui nous ont quittés ce jour-là. « Que cette colombe exprime notre amour pour toutes les victimes du séisme du 12 janvier 2010 », a déclaré l’une d’entre elles.

Réflexion autour des vœux du Président de l’UNIFA

C’est avec beaucoup d’enthousiasme que l’équipe pédagogique et les étudiants se sont réunis, ce jeudi 5 janvier, à l’auditorium du campus pour échanger autour des vœux du Président de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA). En effet, le 2 janvier 2023, le Président Aristide a formulé des souhaits de début d’année à la communauté universitaire. « Sculptant ces lettres d’or HAITI au temple de l’éducation, l’Université de la Fondation Dr Aristide te présente ses meilleurs vœux. Sécurité ! Sécurité ! Des cerveaux, nous en avons. Chanjman Ayiti nan sèvo Ayisyen », a-t-il écrit.

« Je vous souhaite la bienvenue à cette première rencontre. […] A la lumière des vœux du Président de l’UNIFA, trois grands points ont été retenus dans le cadre de cette séance aujourd’hui : 1- Comment sculpter ces lettres d’or HAITI au temple de l’éducation ? 2- Comment promouvoir la paix, la cohésion sociale et la sécurité alimentaire ? L’eau potable est disponible sur le campus. Comment faire une gestion rationnelle de cette ressource », a déclaré Marinie Ducas, Chargée de mission au Rectorat, à l’ouverture de ce premier jeudi de l’UNIFA.

Une fois les différents points mis en discussion, des étudiants ont tour à tour exprimé leurs points de vue. C’est le cas de Julie F. Dimanche, étudiante en deuxième année de médecine pour qui « sculpter HAITI au temple de l’éducation » revient à mettre en œuvre quatre éléments de solution. Premièrement, il faut, selon elle, instaurer un climat sécuritaire adéquat en Haïti. Deuxièmement, on doit former des professionnels compétents capables de transmettre leur savoir à de jeunes étudiants. Troisièmement, il convient de favoriser une vie économique équilibrée dans le pays, condition nécessaire à l’achat de matériels scolaires. Quatrièmement, il s’avère indispensable de mettre en place des matériels pédagogiques favorables à l’apprentissage.

Intervenant sur la deuxième question (comment promouvoir la sécurité alimentaire), Monica Lindor, étudiante en troisième année de médecine, a mis l’accent sur l’importance d’investir dans l’agriculture. « Vaut mieux investir aujourd’hui dans l’agriculture pour que, dans cinq ou dix ans, on atteigne le seuil d’indépendance alimentaire. Si les aliments qu’on consomme sont produits dans le pays, on aura cette sécurité alimentaire tant souhaitée », a-t-elle dit. D’autres étudiants ont, par contre, mis l’accent sur la qualité des denrées alimentaires importées. Selon eux, les autorités haïtiennes doivent exercer un contrôle strict sur ces produits.

La troisième question (comment faire une bonne gestion de l’eau potable…) a débouché sur un échange fructueux. Pour certains étudiants, la distribution de l’eau doit être faite par bouteille de vingt onces à un prix plus bas que celui pratiqué à l’extérieur du campus. Pour d’autres, elle peut être effectuée par bidon de cinq gallons et par salle de classe. Un troisième groupe insiste sur le fait d’organiser la distribution suivant le récipient dont dispose chaque étudiant en fixant un prix pour les petits bidons et un autre pour les gros.

Pour ce premier jeudi de l’UNIFA de l’an 2023, les discussions ont été enrichissantes. Rendez-vous très prochainement pour discuter plus amplement de la distribution de l’eau potable au campus.

Clinique mobile : la Fondation Dr Aristide vient au secours des enfants malades

La Fondation Dr Aristide a offert, ce vendredi 23 décembre, des services de santé à la population de Tabarre et des communes avoisinantes.   

Très tôt ce vendredi matin, des centaines de personnes se sont rassemblées dans les locaux de la Fondation Dr Aristide (Maison Mère) pour recevoir des soins essentiels de santé fournis par l’institution. Hommes, femmes, enfants et vieillards ont fait la queue à l’auditorium. Ils étaient très enthousiastes à l’idée de participer à cette clinique mobile.

A l’issue de cette journée, un personnel constitué de plus de trente professionnels de santé a été mobilisé. Des médecins, dentistes, physiothérapeutes et infirmières formés à l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) ont prêté main forte pour faire de cette clinique une activité réussie. Des délégations d’étudiants ont également profité de ces quelques heures pour la mise en œuvre du service à la communauté.  De la malnutrition aux douleurs musculaires, ils ont traité un large éventail de conditions.

Selon Dr Meus John B. Romanove qui supervisait les différentes activités, la clinique était destinée à la santé des enfants. « Nous allons les consulter, leur donner des médicaments et fêter avec eux. C’est toujours un privilège pour un médecin de pouvoir mettre ses compétences au service d’une catégorie aussi vulnérable que les enfants  », a-t-il déclaré.

« Les cliniques mobiles sont de plus en plus rares en Haïti. Quand la Fondation Dr Aristide réalise ces genres d’activité dans la zone, elle rend un grand service à la population. Cela prouve l’amour du Président Aristide pour le peuple haïtien », ont raconté trois adolescents qui attendaient impatiemment leur tour pour voir un médecin. « Ces cliniques doivent être déployées plus souvent à Tabarre », ont-ils suggéré.

Dania, une jeune femme dans la vingtaine, venait de la pharmacie. Elle avait en main plusieurs boites de médicament et était accompagnée d’une fillette de deux ans, peut être son enfant. Joyeuse, elle nous a livré ses impressions sur la clinique. « Je suis entièrement satisfaite du travail effectué par le personnel soignant. J’aimerais remercier le Président Aristide pour cette initiative et les étudiants pour les soins prodigués aux patients », a-t-elle dit.

Consciente de l’exclusion sociale dont sont victimes les enfants défavorisés, la Fondation Dr Aristide sera toujours heureuse de leur ouvrir ses portes et son cœur.

La Faculté d’Odontologie de l’Université de la Fondation Dr Aristide : chemin vers une belle carrière de dentiste

Créée depuis six ans, la Faculté d’Odontologie (FDO) est l’une des dix composantes de formation de l’Université de la Fondation Dr Aristide. Sa mission est de former de futurs dentistes capables de prodiguer des soins de qualité à la communauté.

La FDO est l’une des rares institutions d’enseignement supérieur en Haïti à dispenser le cycle complet d’études conduisant au Diplôme de Docteur en Sciences de la Santé Dentaire. Grâce à un cursus de cinq années, nos étudiants développent leurs connaissances dans de nombreux domaines, tels que : la physiologie, la prévention, le dépistage, le diagnostic, le traitement des anomalies des dents et de la bouche, les matériaux biocompatibles, la pharmacologie et l’éthique médicale.

Etant à la fois un art et une profession scientifique, la médecine dentaire requiert une technicité de haut niveau et une dextérité absolue. En effet, le futur dentiste doit avoir un sens esthétique, un souci du détail et une excellente habilité manuelle. Ces qualités lui permettent de réaliser des interventions précises dans des régions réduites. Consciente de cela, la Faculté d’Odontologie offre aux étudiants un programme de formation axé sur la pratique et qui leur permet de développer les qualités nécessaires à l’exercice de la profession.

La formation présente plusieurs options. Les diplômés peuvent exercer en libéral, ce qui leur permet de choisir leurs horaires, leurs collaborateurs, leurs matériels, mais aussi de travailler dans des locaux aménagés selon leur goût. Ils peuvent également envisager un poste à l’hôpital ou s’orienter vers une carrière universitaire comme chercheur ou professeur.

Le décanat de la Faculté d’Odontologie est dirigé par le Doyen, Dr Daniel Gabriel. Dr Gabriel est Chirurgien-Dentiste. Il a plus de quarante ans d’expérience dans le domaine.

Célébration de la dignité à l’Université de la Fondation Dr Aristide

Distingués membres du Rectorat, des Décanats et du Corps professoral,
Distingués invités,
Chers Unifaristes,
Chers ami-es,

Je suis ravie de vous saluer et vous souhaiter une chaleureuse bienvenue à la célébration de la Dignité.
Conscients de l’angoisse permanente de toutes les familles haïtiennes et de la douleur profonde de toutes les victimes du kidnapping, rendons hommage à tous les Haïtiens et Haïtiennes qui consacrent leur vie à la défense de la dignité humaine.

Bravo pou yo, Bravo pou nou menm tou ki fè anpil sakrifis pou prepare bèl selebrasyon sa a. ( Applaudissements)

Que je suis fière de voir nos deux filles, Christine et Micha exprimer eux aussi leur joie de promouvoir la dignité!
Avec raison, le Président Aristide affirme que:
« Célébrer la Dignité au coeur du néocolonialisme, c’est conjuguer au présent de l’indicatif le verbe indigner.
Je m’indigne
Tu t’indignes
Il/Elle s’indigne
Nous nous indignons
Vou vous indignez
Ils/Elles s’indignent.»

Oui, le néocolonialisme est une atteinte à notre dignité. Chaque jour, cette insécurité et cette misère abjecte violent l’un de nos droits les plus fondamentaux, c’est-à-dire, notre dignité.
Se pou sa Titid toujou di:
«Yon inivèsite san diyite,
Se yon inivèsite je pete klere.»
Eske UNIFA ka je pete klere? Non.
Pouki sa? Paske nou menm Unifariste, nou gen diyite.
Nou menm Unifariste,
Nou gen diyite.

Pour irriguer quotidiennement les racines de cette dignité, nous avons décidé de vous offrir une place spéciale au cœur du campus:  il s’agit de ce lieu privilégié où
un millier d’Unifaristes se retrouvent assis autour des arbres et des tables dignement et fièrement. Cette nouvelle place, désormais nous l’appellerons: PLACE DIGNITÉ.
Si les Pétionvillois aiment la place Boyer,
les Unifaristes adorent la Place Dignité.
A l’ombre de ce temple de dignité, nous adressons un vibrant hommage à l’Architecte Leslie Voltaire et à l’Ing Almathe Pierre-Louis. Après la construction de votre hôpital universitaire et des nouveaux bâtiments du Campus, l’ing Pierre-Louis a construit ce joyau en un clin d’œil. Exprimons notre joie et notre gratitude à son endroit par un standing ovation.
A tous les Doyens, Doyennes et professeurs qui ont choisi de contribuer à la formation de la jeunesse haïtienne, nous disons chapeau et merci unifaristement.(Applaudissements)

Au cours de ce trimestre,
49 de nos professeurs ont célébré leur anniversaire de naissance. En attendant de partager leur gâteau d’anniversaire après la célébration, souhaitons leur mille vœux de bonheur pour l’année 2023 et d’un seul cœur, chantons à l’unisson: Joyeux anniversaire!

 

Les étudiants des différentes facultés de l’Université de la Fondation Dr Aristide ont prêté leurs voix et leurs cœurs pour célébrer la dignité, ce jeudi 22 décembre à l’auditorium du campus. Cette journée a été une occasion sans précédent pour certains d’entre eux d’exprimer et de valoriser leurs talents.

Si les étudiants ont été au-devant de la scène, ils n’ont pas été seuls pour autant. Les membres du personnel administratif, le corps professoral, les amis et alliés de l’institution ont offert leur soutien à la réussite de cette activité. Un effort que Mme Mildred Aristide, dans ses propos de bienvenue, a pris le soin de saluer. Elle a également eu une pensée spéciale pour le peuple haïtien. « Consciente de l’angoisse permanente de toutes les familles haïtiennes, la douleur profonde de toutes les victimes du kidnapping ; rendons hommage à tous les Haïtiens et Haïtiennes qui consacrent leurs vies a la défense de la dignité humaine ; bravo pour eux », a-t-elle dit.

Pour Mme Aristide, le néocolonialisme est une atteinte à la dignité du peuple haïtien. « Chaque jour, cette insécurité et cette misère abjecte violent nos droits les plus fondamentaux, c’est-à-dire notre dignité. C’est pour cette raison que Titid dit souvent qu’une université sans dignité est une université aveugle », a-t-elle déclaré. « Pour irriguer quotidiennement les racines de cette dignité, nous avons décidé de nous offrir une place spéciale au cœur du campus. Il s’agit de ce lieu privilégié où un millier d’unitaristes se retrouvent assis autour des tables, parmi les arbres dignement et fièrement. Cette nouvelle place, désormais, nous l’appelons PLACE DIGNITÉ », a ajouté l’épouse du Président Jean-Bertrand Aristide.

Après l’ouverture de la cérémonie, les étudiants ont donné un concert plein d’émotion à l’auditorium. Certains d’entre eux ont livré des prestations musicales extraordinaires. Justesse, placement, intonations, tout était au rendez-vous. La salle explosait et faisait une ovation après chaque morceau. D’autres, par contre, ont slamé, dansé et joué de la musique. Quoi de mieux pour une célébration en fin d’année ? Tous les ingrédients ont été réunis pour un événement exceptionnel.

Pour immortaliser davantage ce moment, des bourses et demi-bourses d’étude ont été octroyées par tirage au sort à plusieurs étudiants. Une façon de permettre à chacun de vivre une vie estudiantine pleine et productive avec dignité.

Le 16 décembre 1990 à la lumière

« Le 16 décembre 1990 est une date mémorable qui a glorieusement marqué l’histoire de notre pays. Le 16 décembre 1990, la nation haïtienne, debout en un seul homme, avait porté son choix sur un idéal politique. Ce jour-là, le peuple haïtien a élu démocratiquement son premier président, Jean-Bertrand Aristide. Malheureusement, cette transition démocratique a été brutalement interrompue le 30 septembre 1991. Trente-deux ans après, quel est l’état de la situation ? ». C’est par ces mots que la Doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université de la Fondation Dr Aristide, Me Joselaine Mangnan, a ouvert, ce 15 décembre, le deuxième jeudi de l’UNIFA pour l’année académique 2022-2023.

Organisé autour du thème « 16 décembre 1990 à la lumière des Sciences Juridiques et Politiques », ce jeudi de l’UNIFA n’a pas manqué d’assouvir la curiosité des étudiants, professeurs et membres du personnel administratif présents à l’auditorium. Pour cette conférence, deux éminences ont constitué le panel. Il s’agit de Monsieur Joël Vorbe et Me Emmanuel Raphaël. Me Raphaël est détenteur d’un Master 2 en Droit public et enseigne le Droit administratif à l’UNIFA. Quant à M. Vorbe, il a fait des études en gestion hôtelière et en art culinaire. Il est membre du parti Fanmi Lavalas et possède plusieurs entreprises dans le pays.

Selon M. Vorbe, le 16 décembre 1990, le fondateur de l’UNIFA, Dr Aristide, n’avait que 37 ans et menait déjà un combat important pour l’émancipation du peuple haïtien. Cette date marque, pour lui, un tournant dans notre vie de peuple. « 16 décembre 1990, c’était le jour où la majorité de nos parents se sont reconnus des êtres humains. C’est une date que nous ne devons jamais oublier. A l’époque, les différentes catégories de la population étaient unies. Et, c’était cette union qui a permis l’établissement de la démocratie en Haïti », a-t-il dit

« Malheureusement, ce rêve qu’on avait en commun, comme on ne pouvait pas le réaliser collectivement, on s’est laissé diviser », a-t-il regretté. « En 2010, ils ont réalisé quelque chose d’extraordinaire pour briser le rêve démocratique que nous avons choisi le 16 décembre 1990. Ils ont réalisé une élection. Après le scrutin, ils ont pris le candidat qui était à la cinquième, sixième ou septième position pour le mettre à la deuxième place en vue de réaliser le projet des [blancs] », a ajouté M. Vorbe.

Pour remettre Haïti sur les rails du changement, l’entrepreneur exhorte les jeunes à faire de bons choix. « Je vous encourage à penser au 16 décembre 90 qui doit être gravé dans votre mémoire comme une date historique. Si à 37 le Président Jean-Bertrand Aristide pouvait se hisser à la tête du pays, aujourd’hui la majorité d’entre vous n’est pas loin d’avoir cet âge, commencez donc à vous engager. La route du changement est entre vos mains », a-t-il suggéré.

Si M. Vorbe a analysé l’événement du 16 décembre 1990 sous un aspect politique, Me Raphaël l’a abordé de manière juridique. Selon le juriste, le 16 décembre 1990 est un tournant. « C’est un événement tournant. C’est un événement qui vient terminer un processus qui avait commencé le 7 février 1986. C’est également un événement qui va donner l’énergie pour la construction du nouvel ordre démocratique », a-t-il déclaré.

Me Raphaël voit le 16 décembre 1990 comme étant la date qui marque deux périodes : la rupture définitive avec la dictature des Duvalier et le commencement d’un nouvel ordre démocratique. « Le départ du dernier des Duvalier le 7 février 1987 est le commencement de la rupture. Cette rupture a continué par le vote de la constitution le 29 mars 1987. Mais le vote de la constitution ne suffisait pas, il était nécessaire d’instituer un pouvoir démocratique légitime et civil. Donc, le 16 décembre 1990 est la date où le processus de rupture avec la dictature s’est achevé. C’est cette date qui va constituer le point de départ du nouvel ordre démocratique », a révélé le lauréat du Prix « Bâtonnier Monferrier Dorval ».

Après avoir passé en revue les acquis démocratiques consolidés à travers la constitution de 1987, Me Raphaël a mis un accent particulier sur l’importance du 16 décembre 1990. D’après lui, c’est une grande date dans le sens qu’elle nous a permis de renouveler le personnel politico-administratif. « On a la mise en place des institutions politico-administratives à travers un président, des parlementaires, des autorités locales élus démocratiquement. Il y a également un nouveau processus de nomination des juges. Dorénavant, le président de la république n’a plus de pouvoir discrétionnaire de nommer les juges. La nomination des juges d’appel, de première instance et de paix vient des représentants des assemblées départementales, communales et section communales. C’est le renouvellement de tout le personnel politico administratif », a-t-il souligné.

Après les deux interventions, les discussions entre panélistes, étudiants et professeurs autour de cette date historique ont été animées, prolifiques et enthousiastes. Ce jeudi de l’UNIFA a marqué les esprits et suscite encore des interrogations sur les expériences vécues depuis ces 32 ans.       

 

AVIS de décès

L’ Université de la Fondation Dr Aristide a appris avec beaucoup de peine et de stupéfaction, le décès de Billy Lafrance, interne de la promotion 2016 -2023. Profondément touchée par cette grande  perte , l’ UNIFA présente ses sincères condoléances à sa famille , ses camarades de promotion, et à toute la communauté universitaire .

AVIS aux étudiants

L’UNIFA met une adresse e-mail universitaire à la disposition de tous les étudiants. Prière de se connecter à partir du lien suivant : www.gmail.com et d’utiliser le même nom d’utilisateur ainsi que le mot de passe reçus en octobre dernier pour la plateforme numérique.

Demi-finale de la Coupe du monde: l’explosion de joie des supporters de l’Argentine à la cafétéria

La demi-finale entre l’Argentine et la Croatie a été suivie, ce mardi 13 décembre, par un grand nombre d’étudiants à la cafétéria de l’Université de la Fondation Dr Aristide.  

 

Dans une salle pleine à craquer, joyeux, des étudiants ont soutenu l’Argentine, lors de cette demi-finale l’opposant à la Croatie. Les supporters argentins exultaient : l’Albiceleste s’est qualifiée pour la finale. Les sourires, la joie et la confiance étaient visibles sur leurs visages. « L’Argentine va gagner la coupe du monde! », lançaient-ils. Ces derniers n’hésitaient pas à brandir le drapeau argentin pour montrer leur attachement à cette équipe.

Pourtant, avant la célébration, il y a eu un petit moment d’inquiétude. Au tout début du match, la Croatie dominait l’Argentine. Mais il a fallu un certain Lionel Messi pour renverser la situation. Grâce à un but marqué sur penalty, le génie argentin a rendu la cafétéria bondissante. Les fans se déchainaient. Le nom du septuple ballon d’or était scandé sans arrêt. La folie s’est emparée des supporters quand le numéro neuf de l’équipe d’Argentine, Julian Alavarez, a doublé puis triplé la mise sous une passe lumineuse de Messi. Désormais, les coéquipiers d’Angel Dimaria sont à une victoire du sacre final.

Après cette qualification en finale de l’Albiceleste, l’euphorie a pris place à la cafétéria. La joie était immense du côté des supporters argentins.

  

La Faculté des Sciences Juridiques et Politiques

La Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP) de l’Université de la Fondation Dr Aristide est créée en 2013. Sa principale mission est de former des professionnels qualifiés et compétents capables de participer efficacement au développement du système judiciaire haïtien et à la bonne gestion des affaires publiques.

La FSJP est l’une des meilleures écoles de droit en Haïti. Elle se distingue principalement par la qualité de son enseignement, le niveau académique très élevé de ses professeurs et l’éventail de ressources mises à la disposition des étudiants (dont les locaux de l’Université de la Fondation Dr Aristide et d’autres équipements). Elle se démarque également par la grande expertise du corps professoral démontrée à travers les nombreux travaux de recherche dirigés et/ou réalisés.

La Faculté des Sciences Juridiques et Politiques offre le cycle complet de formation initiale (Licence) en Sciences Juridiques. Un cursus qui se prépare sur une période de quatre années. Arrivés en troisième année, les étudiants peuvent commencer à exercer comme « Fondé de pouvoir », un exercice qui leur permet de s’initier à la plaidoirie.

Les étudiants de la FSJP maîtrisent très bien le droit pénal et le droit public. Après l’obtention de leur diplôme, ils pourront s’inscrire à un barreau et pratiquer comme avocat. Bien entendu, la Licence en Sciences Juridiques ne conduit pas nécessairement au métier d’avocat. D’autres fonctions exigent une maîtrise parfaite du droit, telle que : juriste d’entreprise, conseiller juridique, greffier, etc.

Le décanat de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques est dirigé par la doyenne, Me Joselaine MANGNAN, Avocate au Barreau de Port-au-Prince. Elle a une spécialité en droit des affaires et accumule près de dix ans d’expérience dans le domaine. Elle est également professeure des universités. Comme Doyenne, Me Mangnan est assistée par Me Blanchard Jean Baptiste, Avocat au Barreau de Port-au-Prince.

Jeudi de l’UNIFA


« Nouvelle année, nouveau défi », c’est sous ce thème qu’est lancé, ce 8 décembre, à l’Auditorium, le premier « jeudi de l’UNIFA », pour l’année académique 2022-2023. C’était l’occasion pour la Doyenne de la Faculté de Pharmacie et des Sciences Biomédicales (FPSB) et la Directrice de la Faculté des Sciences de la Réhabilitation (FSR) de présenter les deux nouvelles composantes de formation de l’Université de la Fondation Dr Aristide.
Si la rentrée universitaire, pour la nouvelle année académique, a débuté depuis environ deux mois, les jeudis de l’UNIFA sont officiellement relancés ce 8 décembre suite aux propos d’ouverture du Dr Dodley Sévère. Dans son allocution, Dr Sévère a rappelé aux étudiants l’importance de ces conférences. « Les jeudis de l’UNIFA, c’est une activité variée qui vous offre l’opportunité d’acquérir des connaissances qui ne se trouvent pas dans vos cursus. Il est fait obligation aux étudiants d’y participer », a-t-il dit.A la fin de son discours, Dr Sévère a introduit les deux intervenantes, à savoir Madame Marie Ener Jean Jacques, Doyenne de la FPSB et Madame Thamar Michel Daméus, Directrice de la FSR. Madame Jean Jacques a présenté la FPSB et ses différents programmes de formation. « L’Université de la Fondation Dr Aristide, dans l’optique d’élargir son champ de formation dans le domaine des Sciences de la santé, ouvre la Faculté de pharmacie et des sciences biomédicales. Cette nouvelle section s’installe dans la logique de compléter la gamme de professionnels de la santé, compétents et qualifiés, capables de performer dans le secteur », a-t-elle souligné.

Madame Jean Jacques a profité de son intervention pour fournir un ensemble d’informations sur les deux programmes de formation dispensés à la FPSB. Il s’agit de la pharmacie et de la technologie médicale. « Le diplômé en pharmacie aura une carrière dans les soins pharmaceutiques. Il pourra intervenir en industrie pharmaceutique dans la préparation des médicaments ou dans le milieu universitaire comme enseignant ou chercheur. Il aura l’expertise pharmaceutique et sera en mesure de fournir des conseils adéquats aux patients, de communiquer aux différents interlocuteurs et de résoudre des problèmes liés à la santé », a-t-elle expliqué.
« La technologie médicale est un point central dans la prise en charge d’un patient. Si un médecin n’a pas de bons résultats de laboratoire, il peut ne pas être en mesure de faire de bons diagnostics. Un diplômé en technologie médicale peut travailler dans les laboratoires d’analyses médicales, les centres hospitaliers, les laboratoires de recherche, l’industrie pharmaceutique et les établissements d’enseignement universitaire pour la formation et la recherche », a-t-elle indiqué.

De son côté, Madame Thamar Michel Daméus, physiothérapeute et spécialiste en orthophonie, a dressé le portrait de la FSR. « Cette faculté antérieurement appelée école de physiothérapie a connu le jour en octobre 2014, quatre années après le séisme du 12 janvier 2010. Aujourd’hui, soit huit ans après, elle compte au total 250 étudiants et une soixantaine de diplômés prodiguant des soins dans notre système de santé », a-t-elle révélé.
Selon Madame Michel Daméus, la FSR offre deux programmes : la physiothérapie et la technique de réhabilitation. La formation en physiothérapie s’étend sur une période de quatre ans et conduit au diplôme de physiothérapeute. La technique de réhabilitation, par contre, est une étude de deux ans.
A la fin de sa présentation, Madame Michel Daméus a mis l’accent sur l’importance du physiothérapeute dans le système de santé. « Le physio intervient dans presque tous les domaines de la santé. Les physiothérapeutes sont des professionnels efficaces et incontournables pour les systèmes de santé », a-t-elle précisé.
Après une séance de question-réponses entre l’auditoire et les intervenants, Dr Sévère a mis fin à cette session. Rendez-vous pour le prochain jeudi de l’UNIFA !

Coupe du monde: l’ambiance continue à la cafétéria

Les étudiants ont assisté, ce lundi 5 décembre, à la retransmission du match Brésil – Corée du Sud, à la cafétéria de l’Université de la Fondation Dr Aristide.   

Avant match

Peu avant la rencontre, toutes les chaises de la cafétéria étaient déjà occupées. La salle accueillait plus d’une centaine d’amoureux du football. Des étudiants, mais aussi quelques membres du personnel administratif. Elle était bondée et rejetait son trop plein dehors. Pourtant, même après le début de la rencontre, des étudiants retardataires se précipitaient par petits groupes pour trouver de la place.

L’ambiance fut électrique dans les premières minutes du match. A chaque but brésilien, la salle se déchainait. Des sifflements, cris et applaudissements surgissaient de toute part. Le public vibrait. Rien que de bonnes vibrations ! Les sourires, la joie et la confiance étaient visibles sur les visages des supporters.

Les quatre buts de la Seleçao en première période ont été vécus comme une démonstration de force à la cafétéria. Une belle animation régnait à la fin de la partie. 4-1, c’est sur ce score que les coéquipiers de Neymar ont validé leur billet pour les quarts de finale.

Ouverture d’une Faculté de Pharmacie et des Sciences Biomédicales à l’Université de la Fondation Dr Aristide

Une nouvelle faculté vient d’être ouverte à l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA). Il s’agit de la Faculté de Pharmacie et des Sciences Biomédicales (FPSB). Objectif à terme : compléter la gamme de professionnels de la santé, compétents et qualifiés, capables de performer dans le secteur.

La création de cette entité s’inscrit dans la volonté de l’Université d’élargir son champ de formation dans le domaine des Sciences de la santé. Pour l’instant, deux programmes y sont enseignés : la pharmacie et la technologie médicale. Les étudiants ont même déjà pris possession de l’immeuble mis à leur disposition.

Avec ces deux programmes, l’Université de la Fondation Dr Aristide espère une nette augmentation du nombre de professionnels de la santé dans les cinq prochaines années en Haïti. En effet, les étudiants en pharmacie doivent attendre six ans avant d’avoir accès au Diplôme de Docteur en pharmacie. Toutefois, ils peuvent être opérationnels bien avant cette date. La FPSB délivre le « Certificat en pharmacie » après les deux premières années d’étude et le « Diplôme de Pharmacien » après quatre ans.

La formation en pharmacie vise à fournir aux diplômés les connaissances et les compétences scientifiques leur permettant d’assurer la qualité dans la fabrication, la distribution et l’utilisation sûre et efficace des produits pharmaceutiques. Les futurs pharmaciens pourront exercer en officine, dans les établissements pharmaceutiques industriels, dans les hôpitaux ou s’engager dans la voie de l’enseignement.

De son côté, le programme d’étude en technologie médicale est conçu pour transmettre aux étudiants les nécessaires en vue d’effectuer des analyses (et des examens) dans le domaine de la biologie (médicale) et d’assurer la validité technique des résultats. Le diplôme de « Technologiste médical licencié (TML) » se prépare sur une durée de quatre années. Par contre, la formation initiale de trois ans conduit au titre de « Technicien d’Analyses Biomédicales (TAB) ». Les futurs TML auront la possibilité d’intégrer un hôpital, un laboratoire de diagnostic.

Le décanat de la FPSB est dirigé par la doyenne, Madame Marie Ener Jean Jacques. Diplômée en pharmacie à la Faculté de Médecine et de Pharmacie (FMP) de l’Université d’Etat d’Haïti (UEH), Madame Jean Jacques est titulaire d’une maîtrise en Sciences Pharmaceutiques avec une spécialisation dans la chimie des substances naturelles. Elle a plus de trente ans d’expérience dans le secteur de la santé. Elle a occupé les fonctions de Directrice de Formation et de Perfectionnement en Sciences de la Santé (DFPSS) au Ministère de la Santé Publique et de la Population (MSPP), de Cheffe de Service à l’Hôpital de l’Université d’Etat d’Haïti (HUEH), de pharmacienne attachée à la Formation et à la Recherche au Centre Gheskio et de professeur des universités.

Cette nouvelle faculté compte apporter une contribution efficace au renforcement du personnel médical des établissements de santé.

Quand le football s’invite à l’UNIFA

Jeudi 24 novembre 2022. Il est deux heures de l’après-midi. C’est l’heure de l’entrée en matière du Brésil dans cette 22ème Édition de la Coupe du monde de football. Au cinquième jour de la compétition, le match oppose la sélection brésilienne à celle de la Serbie. Une rencontre qui se déroule à Lusail, au Qatar. Comme un peu partout en Haïti, l’ambiance monte au campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA).

Située à quelques mètres de l’auditorium, la cafétéria, ce bâtiment en forme de demi-cercle presqu’entièrement couvert de fleurs de jardin, est prise d’assaut par les étudiants. La salle est bondée d’amoureux du ballon rond. Ne trouvant plus de chaises vides, certains n’hésitent pas à rester debout pour suivre ce duel. C’est avec une certaine religiosité qu’ils restent figés devant la télévision.

A chaque attaque, tir cadré ou but manqué, ils crient, se réjouissent ou s’énervent. Joie et frayeur se mélangent durant ces 45 premières minutes. Le Brésil est tenu en échec. Mais à la 62ème minute de jeu, Vinicius Jr tente une frappe qui a été repoussée sur Richarlison. Le ballon franchit la ligne. Et, c’est le but ! Soudain jaillissent dans la salle hurlement, applaudissement et exclamation. La folie s’empare des supporters.

« J’ai perdu ma voix à force de crier. Après le match, j’ai dû me joindre à d’autres fans pour célébrer cette entrée réussie du Brésil dans la Coupe du monde », raconte Christelle, une étudiante en quatrième année de médecine. Pourtant, malgré cette victoire, elle n’est pas sûre que les coéquipiers de Neymar puissent gagner le mondial. « Je ne peux pas dire que le Brésil va gagner. Il y a trop de surprise dans la compétition », a-t-elle dit.

Contrairement à Christelle, Birckenshaw, une étudiante en première année de médecine, pense que l’Argentine sera sacrée championne cette année. « Les Argentins ont perdu leur premier match, il est vrai. Mais, moi, je ne suis pas déçue par mon équipe. Elle va gagner la prochaine rencontre. Elle ira en finale et remportera le trophée », a-t-elle déclaré.

L’atmosphère régnant à la cafétéria, ce jeudi, montre à quel point la Coupe du monde est devenue une attraction pour tous, sans différence de sexe, ni d’âge. Consciente de cela, l’UNIFA fait de tout son possible pour offrir d’excellentes possibilités d’activités de loisir aux étudiants.

Un lundi à l’UNIFA

C’est dans une ambiance chaleureuse, vivante et animée que débute, ce lundi 21 novembre, une nouvelle semaine de cours au campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA). Située à l’extérieur du centre-ville de Port-au-Prince, l’UNIFA, ce petit coin de verdure, n’est pas qu’un centre de formation, c’est aussi un lieu de rencontre, de vie et de découverte.

Qui n’aurait pas aimé étudier dans un environnement si attrayant ? La présence d’espaces verts sur le campus offre un cadre cognitif aux différentes personnes qui arpentent ses couloirs, et pour cause des étudiants s’assoient souvent à l’ombre de ses arbres pour tirer profit d’une bonne lecture. D’autres baladent entre les différentes facultés hébergées dans des bâtiments qui se côtoient, à maximum cinq minutes de marche.

Dans cette atmosphère, des étudiants en quatrième année de médecine, contents de leurs retrouvailles, discutent tranquillement de leurs vacances. « Nous sommes contents de pouvoir nous rencontrer après environ cinq mois passés en dehors des salles de cours. Nous savons que cette année sera très difficile, car nous avons perdu beaucoup de jours. Nous comptons déployer tous les efforts pour être admis en année supérieure et apprendre le maximum possible », ont-ils déclaré.

Alors que d’autres écoutent tranquillement le monologue de leurs professeurs, Wood-Mia, 19 ans, étudiante en première année de médecine, profite d’une petite pause entre deux cours. Cette néo-bachelière ne tarit pas d’éloges sur son nouvel établissement. « C’est un honneur pour moi d’étudier ici. L’UNIFA est une institution basée sur beaucoup de principes. Elle possède un cadre attrayant. Les professeurs sont intéressants. Je vais faire de tout mon possible pour réussir ma première année de médecine », a-t-elle confié.

Si certains étudiants lisent, discutent et baladent, d’autres s’accordent une pause bien méritée à la cafétéria, histoire de reprendre des forces à l’aide d’un petit goûter. La cafétéria de l’UNIFA est surtout un espace de retrouvailles et de discussions animées entre étudiants. Elle s’ajoute à la longue liste de points forts faisant de notre campus un lieu qui grave dans les esprits des souvenirs inoubliables.

Rendez-vous lundi au campus

La période allant du 14 au 17 novembre 2022 est marquée par le retour des étudiants sur le campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA), pour l’année académique 2022-2023. Etudiants et professeurs ont été ravis de pouvoir se rencontrer à nouveau, en ce haut lieu d’apprentissage, pour discuter, apprendre et partager de nouvelles connaissances.
Cette première semaine de cours en présentiel a été également l’occasion pour les nouveaux étudiants de se familiariser avec les salles de cours, l’organisation pédagogique et cet environnement idéal pour la cognition.Ils en ont profité pour s’offrir les conseils de leurs camarades des années supérieures en vue d’une plongée réussie dans l’univers des études.
Satisfaits et contents de la reprise des activités estudiantines sur notre campus, nous donnons rendez-vous lundi pour une deuxième semaine de cours en présentiel.
Il y va de notre année académique et, bien évidemment, de notre avenir.

Année Académique 2022-2023

Année Académique 2022-2023
Première semaine de cours en présentiel au campus
Le campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) a été la scène, lundi 14 et mardi 15 novembre 2022, de rencontres et de grandes retrouvailles entre étudiants, professeurs et membres du personnel administratif. Après plusieurs semaines passées loin des salles de cours, les étudiants ont fait officiellement leur rentrée à l’UNIFA, pour l’année académique 2022-2023. Un retour en présentiel très attendu par certains d’entre eux.
S’agissant des nouveaux étudiants, ils ont été très bien accueillis par des membres de l’équipe pédagogique et leurs camarades des années supérieures. Bon nombre d’entre eux ont profité de ces deux premiers jours pour échanger, de manière plus informelle, sur l’organisation des études, et visiter le campus.
La reprise de la vie estudiantine se poursuit dans nos différentes facultés. A rappeler qu’au cours du mois d’octobre , les cours ont été dispensés en ligne.

AVIS de décès

L’Université de la Fondation Dr Aristide a appris avec une grande tristesse le décès du Dr Yves Carmelle Nakicha Favard, Médecin diplômée de notre Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé, (promotion 2004-2020).
Dr Favard nous a quitté suite à une maladie longuement supportée.
Nous, membres du Décanat, qui l’avons particulièrement appréciée, consternés, le cœur brisé, nous pleurons profondément avec ses parents son départ.
Notre communauté universitaire présente ses sincères condoléances à sa famille ainsi qu’ à ses camarades de promotion.

Avis aux étudiants

Les cours en ligne débuteront bientôt. Vous êtes priés de cliquer sur le lien suivant : cliquez ici, puis saisissez votre code d’étudiant pour recevoir les paramètres de connexion donnant accès à la plateforme numérique.

AVIS

Les examens d’admission auront lieu le 1er Septembre à 9hres am au campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

AVIS

Le RECTORAT tient à rappeler, la démarche à suivre et les principes en vigueur pour les demandes de vérifications de notes :
1- La requête de l’étudiant se fait via un formulaire disponible sur le portail web de l’Institution (www.unifa-edu.info). Le formulaire doit être convenablement rempli pour être pris en considération.
2- Les demandes sont en cours et la vérification se fera du 5 au 7 Septembre 2022. Dans les semaines qui suivent, l’étudiant recevra, via courriel, un message précisant la date et l’heure de son rendez-vous pour la vérification.
3- La vérification de notes se réalise par les différents Décanats et ne constitue nullement une nouvelle correction. Il s’agira de vérifier que toutes les questions du (ou des) texte(s) sélectionné(s)ont été corrigées, les totaux effectués puis comptabilisés et les notes correctement reportées.
4- L’étudiant peut choisir jusqu’à trois (3) textes.
5- Un procès-verbal de toutes les vérifications effectuées, sera dressé et transmis au Rectorat de l’Université, pour validation.

AVIS d’inscription

AVIS de décès


L’Université de la Fondation Dr Aristide annonce avec infiniment de peine le décès à Cuba de la Professeure d’Espagnol Idalia Diaz qui a contribué à la formation de plusieurs promotions d’étudiants et étudiantes des différentes facultés et Ecole de l’Université.

Le Conseil d’Administration, le Rectorat, les Décanats et le Corps Professoral se souviendront pendant longtemps de la contribution de la Professeure Idalia Diaz à la formation de la jeunesse haïtienne et des Unifaristes en particulier.

La Professeure Diaz s’est distinguée par ses activités pédagogiques innovantes qui ont permis aux Unifaristes de maîtriser la langue espagnole.

Que la terre lui soit légère!

AVIS aux Étudiants

Le Rectorat porte à la connaissance des étudiants de la Faculté de Médecine, la Faculté d’Odontologie, la Faculté des Sciences Infirmières, la Faculté de Génie & d’ Architecture, la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques , la Faculté des Sciences Economiques et Administratives, la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture et de l’Ecole de Physiotérapie que les résultats de l’année académique 2021-2022 sont disponibles sur le portail web de l’Institution.
La remise des bulletins aura lieu le Mardi 5 Juillet à 1 hre pm.

Compliments et Bravo! Nous vous souhaitons de très bonnes vacances d’été!

AVIS aux Étudiants

Le Rectorat porte à la connaissance des étudiants de la Faculté de Médecine, la Faculté des Sciences Infirmières, la Faculté de Génie & d’Architecture, l’Ecole de Physiotérapie que les résultats de l’année académique 2021-2022 sont disponibles sur le portail web de l’Institution.
La remise des bulletins aura lieu cette semaine. La date sera précisée ultérieurement.

Compliments et Bravo! Nous vous souhaitons de très bonnes vacances d’été!

SEMAINE SCIENTIFIQUE

SEMAINE SCIENTIFIQUE -16 au 22 Mai 2022

INCLUSION

Educare sin exclusione

Education san exclusion

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) dans sa quête de l’excellence, explore les horizons d’un lendemain meilleur pour la jeunesse haïtienne. Depuis déjà  sept ans, une semaine scientifique est organisée à l’ombre de la fête du drapeau. À travers le temps, l’UNIFA n’a cessé de mettre en exergue et questionner certaines  réalités et facettes de la vie quotidienne en Haïti.

Cette année les thématiques suivantes ont été  l’objet de curiosité des participants et participantes  au cours de la semaine scientifique du 16 au 20 mai 2022 :

L’environnement : inquiétudes d’aujourd’hui et de demain ;

Science et économie : formelle, informelle, solidaire ;

Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie…

 

La  semaine scientifique  du 16 au 20 Mai 2022 s’est tenue avec la promesse de poursuivre l’expérience avec son originalité, son format adapté à l’objectif visé par l’Université de la Fondation Dr Aristide. L’innovation pour l’année académique 2021-2022,  avec le concept de l’intégration de l’étudiant á l’université, considéré comme le maillon d’une chaine, a permis aux Unifaristes de pousser leurs réflexions et de concevoir des mécanismes qui  visent le  bien-être de leur communauté. L’idée est d’amener autour d’un projet, des étudiants évoluant dans des sphères différentes, mais reliés entre eux par une attache extracurriculaire : l’origine géographique. Cette dernière a été retenue comme centre d’intérêt. Ce projet consiste à regrouper entre eux, des originaires des dix départements géographiques, issus des différentes facultés et école de l’Institution autour d’une thématique. Cette approche tend à valoriser ce concept de l’entraide visant à l’amélioration de la qualité de vie et à l’inclusion  sociale et qui traduit bien la mission de l’UNIFA : Educare sine exclusione. Education sans exclusion.

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Formulaire d’inscription
Année académique 2022-2023

JEUDI DE L’UNIFA

Le jeudi 5 mai 2022, le décanat de la Faculté de Génie et d’Architecture a présenté  les objectifs et le contenu du curriculum de formation de cette faculté. Les intervenants   l’Architecte Leslie Voltaire et l’Ingénieur Evens Toussaint ont fait ressortir que  la formation offerte à la Faculté de Génie est en parfaite  harmonie avec le besoin de garantir un lendemain meilleur à la communauté haïtienne. Cette formation optimale en Ingénierie est incontestablement un des piliers dans le mécanisme d’inclusion sociale au sein de la société.

De son coté, le Doyen Evens Toussaint  a mis  en exergue cette indéniable articulation entre les conditions existantes et la qualité de l’enseignement pour aboutir à la transformation et l’inclusion sociale souhaitée par tous.

Architecte Leslie Voltaire

 

L’Ingénieur  Evens Toussaint, Doyen de la Faculté de Génie partageant avec les étudiants les objectifs de la Faculté de Génie et d’Architecture. En l’occurrence, une éducation et une formation de qualité pour les jeunes haïtiens et ceci sans exclusion.

 

Le Docteur Saint Hubert qui ne marchande jamais sa présence aux jeudis de l’UNIFA. Un allié incontestable de l’Université de la Fondation Dr Aristide ou les responsables offrent  éducation  de qualité et sans exclusion aux jeunes d’Haïti.

 

Toutes facultés confondues, les Unifaristes sont  attentifs à la présentation des responsables de la Faculté de Génie et d’Architecture. Woodny Sylneas, étudiant très appliqué en 1ère année d’Odontologie en fait partie.

 

Les étudiants et étudiantes de la Faculté des Sciences Infirmières, ceux et celles de la Faculté  de Médecine y ont pris part au jeudi de l’UNIFA du 5 mai 2022.


 

NEUROSCIENCES DE LA CONSCIENCE

Le Président de l’Université, le Dr Jean-Bertrand Aristide a délivré, lors de la 4ème cérémonie de graduation, son discours de circonstance. Ce message, en abordant les soucis du quotidien, les éventuels aléas et les défis de l’avenir pour ces diplômés, a été, comme à l’accoutumé, chaleureusement applaudi par l’assemblée présente. Pour débattre des moments forts et faire le point sur l’interprétation et l’appréciation de la gente estudiantine, un panel composé des représentants des différentes Facultés et École de l’Université, dans le cadre des «Jeudi de l’UNIFA » a décrypté le discours du Président.

 

 

 

 

 

Graduation 13 mars 2022

La cérémonie de collation de diplômes du 13 mars 2022 à l’Université de la Fondation Dr Aristide

Pour une éducation de qualité et  sans exclusion.

Une nouvelle cohorte de professionnels unifaristes est disponible pour servir le pays.

L’UNIFA à travers ses différentes facultés  se propose  d’offrir  une formation de qualité aux jeunes haïtiens et haïtiennes  en quête  de savoir scientifique. En effet ce 13 mars 2022, 196 étudiants et étudiantes issus des Facultés de Médecine et de la Santé, des Sciences Politiques et Juridiques, de Génie et d’Architecture, des Sciences Infirmières et de l’Ecole de Physiothérapie ont reçu leur diplôme de Fin d’Etudes à l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Dans un décor impeccable conçu pour la circonstance, le Président de l’UNIFA, le Dr Jean Bertrand Aristide et son épouse Madame Mildred T. Aristide, les membres du Rectorat et des différents  décanats, le personnel administratif, le corps professoral, les invités d’honneur, les membres du Conseil d’Administration de l’UNIFA, les parents des récipiendaires, des représentants de la presse parlée, écrite, télévisée et en ligne ont  rehaussé par leur présence cette célébration qui depuis déjà quatre ans s’inscrit au carnet d’adresse de tous ceux et celles qui croient à la formation de la jeunesse haïtienne.

Tout un programme a été élaboré pour la quatrième cérémonie de collation de diplôme du 13 mars 2022 : la procession d’entrée qui donne un aspect solennel à la cérémonie, l’intonation de l’hymne national et celui  de l’UNIFA, le discours du Président de l’UNIFA, la remise des parchemins, le serment des gradués des différentes facultés, les discours  des lauréats et lauréates , les remerciements des responsables des décanats et la passation de flambeaux où les gradués sont invités à transmettre la flamme ardente et éternelle du savoir scientifique de l’UNIFA  aux  étudiants finissants.

Les lauréats et lauréates des différentes facultés ont été honoré-es, médaillé-es et gratifié-es pour leur effort et leur capacité qui les ont porté à réussir avec brio leur cycle d’études universitaires. Parmi ces lauréats on retrouve : Fedner Lewis ELIEN, Dona Eliabinaleel MILHOMME, Josner Evens LOUIS de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé, Johanna Elisabeth MELLON de la Faculté des Sciences Infirmières, Christie Rebecca PIERRE de l’Ecole de Physiothérapie, Sergeline PIERRE PAUL de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques et Ruthza LYSIUS de la Faculté de Génie et d’Architecture.

L’orchestre philarmonique Sainte Trinite à travers des morceaux bien choisis  a charmé et bercé l’assistance. Il  a apporté  une note bien spéciale  à la cérémonie de collation de diplôme de l’année 2022 et  a permis au public  de découvrir le talent et la compétence de  compositeurs haïtiens.

L’Université de la Fondation Dr Aristide se félicite de pouvoir jusqu’ici combler les attentes des jeunes et prend déjà rendez-vous avec  la communauté universitaire et les unifaristes en particulier pour la prochaine cérémonie de collation de diplômes de l’année 2023.

 

 

 

 

AVIS DE DÉCÈS

Le Décanat de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP) de l’Université de la Fondation Dr. Aristide a appris avec consternation la triste nouvelle du décès de l’étudiant Steeve JEAN DENIS, survenu le lundi 14 mars 2022  à la suite d’une courte maladie.

L’étudiant Steeve JEAN DENIS fait partie de la promotion 2017-2021, il aurait dû être gradué le dimanche 13 mars dernier.

Le décanat de la FSJP présente ses sincères condoléances à ses parents, à ses amis et à ses camarades de promotion.

La date des funérailles du très regretté Steeve JEAN DENIS sera annoncée ultérieurement.

 

Que son âme repose en paix.

Discours du Président de l’UNIFA, le Dr Jean-Bertrand ARISTIDE, à l’occasion de la cérémonie de collation de diplômes, le dimanche 13 mars 2022

Départ prématuré d’un éminent frère de la grande famille de l’Institution, le Dr Paul Farmer

Le Rectorat de l’Université annonce la douloureuse nouvelle du départ prématuré d’un éminent frère de la grande famille de l’Institution, le Dr Paul Farmer.

Le Dr Paul Farmer dès les premiers jours de l’UNIFA, s’est retrouvé aux côtés des membres du Conseil d’Administration pour encourager la concrétisation de ce noble projet d’offrir au pays, une Université répondant aux besoins de la population.

Le Dr Farmer n’a cessé, d’accompagner la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé, par ses judicieux conseils et a accueilli étudiants et Internes au niveau des structures sanitaires de Zanmi la Santé, organisation qu’il a fondé et dirigé.

Tout au long du processus de conception et d’implémentation, l’Hôpital Universitaire Dr Aristide a pu bénéficier de son expérience dans des domaines aussi variés que la logistique et la gestion. Ses recommandations dans la planification de soins de qualité et sur la nécessité  d’une certaine rigueur  se révèlent être des principes indispensables dans toute gestion hospitalière.

Le Conseil d’Administration de l’Université se joint au Rectorat, au personnel administratif, au corps enseignant et aux étudiants pour présenter leurs sincères condoléances à la famille éplorée. Dr Farmer est parti, certes, mais l’esprit du Professeur d’Université, de l’homme simple et soucieux du bien-être d’autrui vivra à jamais à l’Université de la Fondation Dr Aristide

JEUDI DE L’UNIFA DU 10 FEVRIER 2022

Au niveau de plusieurs départements (Nord-Ouest, Sud, Grande-Anse, Ouest) la terre continue à trembler.

Cette constatation serait-elle liée au récent séisme du 14 Août dernier ? Ces tremblements de terre témoignent-ils de la manifestation de nouvelles failles ? Des questions parmi d’autres !

Le jeudi 10 Février 2022, à l’Auditorium de l’Université, l’Ingénieur Claude Prepetit nous revient dans le cadre des « Jeudi de l’UNIFA », pour nous aider à mieux comprendre ce phénomène.

Ing Evans Toussaint,Doyen de la Faculté de Génie et d’Architecture

 

Ing Claude Prepetit

 

 

 

CANNE ET SUCRE LITTERAIRE

Canne et Sucre Littéraire : un espace pour la production littéraire,  le partage de culture et la mise en évidence des talents à l’UNIFA.

La première édition  de Canne et Sucre a connu un  succès hors pairs.

Le professeur Bordes et des étudiants et etudiantes à la 1ère édition de Canne et Sucre Littéraire.

Madame St Paulin,  accompagnée  des  membres de la ligue des jeunes de la Fondation Dr Aristide.

Membres du Club de l’Excellence

La musique était à l’honneur.  Les  Unifaristes  s’y connaissent aussi en musique.

Quel bonheur d’être  étudiante à  l’UNIFA. Des moments de détente sont prévus pendant que les exigences académiques sont de rigueur.

Détendues, ces étudiantes apprécient les talents de leurs camarades.

Canne et Sucre Littéraire, un espace  privilégié pour mettre en évidence ses talents.  Une étudiante en médecine dans un morceau.

Un étudiant interprétant une chanson.

Un morceau de violon par un étudiant de l’UNIFA pendant que ces camarades apprécient et en prennent plaisir.

Nous sommes  membres actifs de la Ligue des Jeunes de la Fondation Dr Aristide  et nous avons  contribué à la réalisation de Canne et Sucre Littéraire.

Un duo…  Notre Alma Mater nous offre un espace pour mettre en évidence  nos talents artistiques.

Canne et Sucre Littéraire, une vraie détente pour nous, Unifaristes.

La Première Edition de « Sucre et Canne »  nous a  offert  l’opportunité de nous épanouir nous a  plongé dans un monde de détente et de bonheur.

 

LA CEREMONIE DE PRISE DE COIFFE ET DE PORT D’HABIT A L’AUDITORIUM DE L’UNIVERSITE DE LA FONDATION DR ARISTIDE PROMOTION 2021-2025

Le 3 février 2022, la promotion 2021-2025 a été formellement intégrée à  la Faculté des Sciences Infirmières  à  travers la cérémonie de prise de coiffe pour les étudiantes et de port d’habit pour les hommes étudiants en Sciences Infirmières de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Les responsables académiques de l’UNIFA, des professeurs, des parents, étudiants, étudiantes de la FSI et autres facultés ont accompagné  les nouveaux dans ce moment si important  de leur parcours académique.

Les infirmières chevronnées et expérimentées  ( Marjorie GAUSSAINT, Zeila E. STARCK, Joseline JEANTY, Fenelon JOCELYN, Tablada METELLUS) avec leur main experte coiffent les étudiantes de la première année comme pour les transmettre leur savoir faire  dans ce métier si noble et si indispensable pour  garantir le droit à  la vie pour Tous.

La Directrice pédagogique de la Faculté des Sciences Infirmières dans ses mots de circonstance.

Les mots de remerciements de Miss Zeila E. STARCK, ancienne étudiante en Sciences Infirmières, lauréate de sa promotion et travaillant actuellement à  la Faculté des Sciences Infirmières.

Miss Dayana LUC, étudiante en 3ème année de la Faculté des Sciences Infirmières de l’UNIFA dans les mots de bienvenue à la cérémonie de la prise de coiffe.

La relève est assurée à  l’UNIFA.

Des responsables académiques et administratives de l’UNIFA et l’ancienne Première Dame Mildred  T. Aristide, et le Dr Daphnée B. Delsoin, le Doyen de la Faculté d’Odontologie, pour ne citer que ceux-là.

Une vue partielle des futures coiffées bien mises dans leur robe blanche comme la neige.

A l’UNIFA, les modèles sont mis en avant et sont accompagnés  dans leur développement personnel.

Une étudiante finissante de  4ème année en Sciences Infirmières, sure d’elle-même,  contribuant à la réalisation de la cérémonie de prise de coiffe.

Les mains expertes des responsables académiques et professeures à  la FSI coiffant les plus jeunes. Comme pour les souhaiter la bienvenue dans le métier.

Deux étudiantes  de 3ème année (Dorveline Georges), et une de la 4ème à la FSI appelant les récipiendaires  pour recevoir leur coiffe.

Les coiffées regagnant leur place.

Nous nous engageons déjà à nous mettre au chevet des malades.

Notre cérémonie a été solennelle, nos coiffes blanches comme neige sont  bien ajustées sur nos têtes. Nous sommes  fières de fréquenter une université si prestigieuse et sommes prêtes pour  intégrer le noble métier d’infirmière.

 

Annonce de décès

La Direction de la Faculté des Sciences Infirmières de l’Université de la Fondation Dr Aristide a appris avec douleur le décès d’une des étudiantes de première année ,Lancy Lafond, âgée de 27 ans.
Son humour et son contact facile restent gravés dans notre mémoire.
Faisant partie de la chorale de l’UNIFA, elle nous a souvent gratifié de ses talents de chanteuse.
Appréciée de tous, Mlle Lancy Lafond ne manquait jamais d’aider son prochain.
Arrachée à la vie prématurement, Lancy laisse à sa famille et à ses camarades de classe un vide incommensurable.
Puisse son âme reposer en paix!

Célébration de la Dignité

Célébration de la Dignité

Université de la Fondation Dr Aristide

La célébration de la Dignité à l’Université de la Fondation Dr Aristide, le 23 Décembre 2021, a  été l’occasion pour les étudiants et étudiantes  de s’exprimer et de mettre en évidence leurs talents.

L’auditorium de l’UNIFA a été transformé en une vraie salle de spectacle où les étudiants et étudiantes se sont détendus pendant des heures, dans une ambiance de fraternité et de convivialité.

Madame Mildred T. Aristide s’adressant à l’assistance lors de l’ouverture de la célébration de la Dignité.

Distingués membres du Rectorat, des Décanats et du Corps professoral,
Chers invités,
Chers Unifaristes,

Je suis très heureuse de joindre ma voix à celle du Président de l’Université pour vous souhaiter nos meilleurs vœux, à la veille de l’année 2022.

Cette célébration de la dignité nous conduit directement à l’essence de notre nature humaine. Aussi, devons-nous réserver un respect inconditionnel à toute personne humaine. Là où les préjugés réduisent l’être humain à sa condition sociale, à la couleur de sa peau, à sa fortune ou à son origine ethnique, nos voix s’élèvent et proclament le caractère inaliénable de la dignité humaine.
Compliments à vous qui célébrez la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine. Nés tous égaux en droits et en dignité, mais victimes du système néocolonial qui viole nos droits à longueur de journée, réaffirmons notre volonté de vivre libres et toujours avec dignité. En attendant de voir l’émergence d’un instrument juridique reconnaissant la dignité comme un droit humain, unissons nos voix à celle du Président de l’UNIFA et proclamons fièrement:
“Si n pa sove diyite n,
Diyite n ap sove kite n.”

Henry Wildipherson et la chorale de l’Université de la Fondaton Dr Aristde

34  professeurs sont honorés dont Dr Edeline Francisque,  Dr Francis Saint Hubert et M. Eliphète Tingué.

Les Unifaristes applaudissent. Ils apprécient toujours les bonnes choses qui leur sont offertes à l’Université de la Fondation  Dr Aristide, leur « Alma Mater ».

Mme Rachelle St Paulin, la maîtresse de cérémonie.

Les étudiants et étudiantes de l’UNIFA dans une chorégraphie.

 

Henry Wildipherson, l’étudiant pianiste

Unifariste saxophoniste en dehors de la salle de classe.

Le théâtre était aussi à l’honneur, le jour de la célébration de la dignité.

Un violoniste Unifariste…

Que de talents, que d’artistes à l’Université de la  Fondation Dr Aristide…. !

 

Clinique mobile à la Fondation Dr Aristide

La santé est le bien le plus précieux dans la vie d’un individu. La Fondation Dr Aristide en est consciente et organise de manière régulière des cliniques mobiles pour répondre aux besoins des plus nécessiteux de la commune de Tabarre et de celles des communautés avoisinantes.

Le Décanat de la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) a mobilisé toutes les ressources humaines de ce département ce 22 Décembre 2021 en vue d’offrir des services à la communauté tabarroise et à tous  ceux et celles qui sont en quête de soins de santé.

Mme  Mildred T. Aristide accompagnée  de la Doyenne de la Faculté des Sciences de la Santé, la Docteure Daphnée Benoit Delsoin au moment de l’ouverture de la clinique mobile à la Fondation Dr Aristide.

Le Directeur médical, Dr Joseph Edmond Pierre, accueille les bénéficiaires des soins de la clinique mobile.

Quel sourire !  Il traduit bien cette volonté de l’équipe médicale de rendre service à la communauté haïtienne.

L’équipe médicale de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Une vue des patients de la clinique mobile du 22 Décembre 2021 à la Fondation Dr Aristide. La demande est importante en soins de santé dans la commune de Tabarre.

Quand les Infirmières et médecins de l’Université de la Fondation Aristide prêtent  leur service à la communauté.

Les signes vitaux des patients sont importants pour bien poser le diagnostic.

Dans la sérénité, nous prenons soin de nos patients et patientes.

A côté des soins médicaux, des cadeaux sont offerts aux enfants.

Les enfants attendent calmement leur tour pour recevoir leurs cadeaux et les soins dont ils nécessitent.

Les médecins cubains font partis de l’équipe médicale.

 

 

Le Droit de vote

Le 16 décembre 2021, l’Université de la Fondation Dr Aristide  a consacré sa  conférence hedomadaire  sur le thème « Le Droit de vote » à la date symbolique du 16 décembre qui représente pour le peuple haïtien, les progressistes en particulier, le symbole de l’expression de la volonté populaire à travers son vote du 16 décembre 1990 et son choix pour vivre dans une société démocratique et choisir librement  ses dirigeants.

Un panel a expliqué aux jeunes en quoi consiste le droit de vote mais aussi  leur a décrit la situation sociopolitique d’alors qui avait conduit aux élections du 16 décembre 1990 considérées comme la première élection libre et démocratique réalisée en Haiti.Le Docteur Dodley Sévère, Responsable des Affaires Académiques, présentant la thématique de la conférence du  jeudi 16 décembre 2021.

Le Père Wesner Nérée, Professeur et responsable de discipline à l’UNIFA, lance l’ouverture de la conférence du 16 décembre 2021 sur le Droit de vote.

Les panélistes,  de gauche à droite : Madame Laura Vorbe,  Architecte Leslie Voltaire, responsable de la section Architecture et Marie Claudèce Joseph, Professeure de Sciences Sociales et Humaines.

Une vue de l’assistance composée de Doyens et Doyennes des différentes Facultés et de Mme Mildred T. Aristide qui paie toujours de sa présence aux conférences des jeudis de l’UNIFA.

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« Nous avons déjà dix-huit ans »  en réponse à  la question de l’Architecte Leslie Voltaire pour voir  le nombre d’étudiants ayant déjà atteint l’âge les habilitant à exercer leur droit de vote.

Attentifs-ves à la présentation des aînés et professeurs sur non seulement le thème « Le Droit de vote » mais aussi à leurs  témoignages sur l’exercice de ce droit, le 16 décembre 1990, pour la première fois.

Toujours avides de questions, de préoccupations, les Unifaristes questionnent leurs aînés et cherchent à comprendre cette page de la vie politique haïtienne.

 

Soutenance de thèse à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université de la Fondation Dr Aristide

UNIFA, soutenance de Larson Eder Achemé comme licencié en droit

Sous la direction de Me Norah Jean François, Me Jean Eugène Pierre Louis et Me Loubens Elysée, respectivement présidente du jury, lecteur critique et directeur de mémoire, Larson Eder Achemé a soutenu, le 15 décembre dernier, à la salle polyvalente de l’Université de la Fondation Dr Aristide, son mémoire pour l’obtention du grade de licencié en droit. Après avoir obtenu une note de 73 sur 100, il est désormais licencié en droit et a l’opportunité de poursuivre ses études dans ce champ disciplinaire.

En présence d’étudiants et d’amis réunis à la salle polyvalente de l’Université de la Fondation Dr Aristide Larson Eder Achemé a bien défendu son mémoire de sortie. « Du statut des couples non-mariés », tel a été le sujet de recherche de Larson Eder Achemé. Un sujet qui a retenu l’attention des membres du jury qui n’a pas été du tout clément à son égard.

Selon les statistiques présentées par l’étudiant, en Haïti le nombre de personnes placées avoisine les 59%. Malgré le nombre important de ce groupe, il n’y a pas encore un texte de loi traitant spécifiquement leurs situations. Certaines lois dans le droit positif haïtien parlent de couples non-mariés. Malgré la stabilité et l’air émerillonné qu’on peut lire sur le visage des placés, ils sont ravagés par une grande inquiétude ; il s’agit de la question de la séparation des biens. C’est pour cela qu’il est conseillé aux « couples placés » de conserver les fiches de transactions. En absence de fiche ou de titre de propriété, le placé ne va pas pouvoir faire valoir ses droits en justice.

Larson Eder Achemé explique que dans le plaçage, la séparation de biens est souvent source de conflit. Cela crée souvent des déchirements regrettables. Le plus souvent, ajoute-t-il, la partie la plus faible économiquement est la grande perdante. Dans la société haïtienne, l’homme en général se charge de tout ce qui concerne les achats. Ce qui fait que les fiches et les titres mentionnent uniquement le nom de l’homme. À la dissolution de l’union, par la rupture ou par la mort, la femme,  même si c’est elle qui était à l’origine des fonds, ne va rien en bénéficier.

L’étudiant-chercheur a fait usage de plusieurs textes de lois pour étayer ses points de vue sur le sujet. Il a surtout fait mention de l’article 260 de la Constitution haïtienne qui fait l’obligation aux autorités établies de prendre des mesures en vue de protéger la famille,  qu’elle soit constituée ou non dans les liens du mariage.

Dans la société haïtienne, lorsqu’on parle de couples non-mariés, on fait référence, soit aux couples concubins ou aux couples placés. Selon le nouveau licencié, les juristes et les avocats ont toujours tendance à les confondre, pourtant ils sont différents l’un de l’autre. « En Haïti, le plaçage est traité en grande partie par la coutume et la coutume prévoit des rites, des formalités à remplir pour se mettre en plaçage », a-t-il soutenu ajoutant que le plaçage qui est l’union par excellence en Haïti est appelé mariage coutumier en raison de son rapprochement du mariage. La seule chose qui les différencie, c’est la portée officielle qui y est absente.

Pour le nouveau licencié de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques, la soutenance de ce travail de recherche lui sert de stimulant pour approfondir ses connaissances dans le champ du droit civil. Ainsi, tous les Unifaristes souhaitent du succès continu à Larson Eder Achemé.


Le 15 décembre 2021, l’étudiant Larson Eder Achemé de la Faculté des Sciences  Juridiques et Politiques a soutenu sa mémoire  pour l’obtention de son grade de licencié en droit.

Issu de la promotion 2015-2019  et sous la direction de Me Loubens Elysée, Larson Eder Achemé a réalisé son travail de mémoire et l’a soutenu sous le thème « Du statut des couples mariés au regard de la législation haïtienne ».

De gauche à droite, Me  Blanchard Jean Baptiste présentant les trois membres du jury : Me Eugène Pierre Louis, Me Norah Jean Francois et Me Loubens Elysée.

L’impétrant Larson Eder Achemé argumentant et soutenant sa thèse sur le Statut des couples mariés en Haïti.

Les membres du jury face à une assistance composée de professeurs et d’étudiant-tes de l’UNIFA.

Une vue de l’assistance au moment de la soutenance. À la première rangée, de gauche à droite: Mme Mildred Aristide, Dr. Dodeley Sévère, Me Joselaine Mangnan, doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques et Me Blanchard Jean Baptiste.

La présence et l’attention des autres étudiants  comme leitmotiv et stimulant à  l’apprentissage.

 

JEUDI DE L’UNIFA DU 9 DECEMBRE 2021

Le jeudi de l’UNIFA du 9 décembre  2021 a eu une touche bien particulière. Des étudiants et étudiantes  de toutes les facultés ont analysé  et interprété l’hymne de l’UNIFA,  leur université. Hymne dont les paroles et la musique sont composées par le Docteur Jean Bertrand Aristide, Président de l’UNIFA.

Le panel composé des représentants de l’Ecole de Physiothérapie, des Facultés de Médecine, d’Odontologie, des Sciences Infirmières, de Génie et d’Architecture, des Sciences de la Nature et  d’Agriculture, des Sciences Politiques et Juridiques ont ébloui l’assistance par la qualité de leur intervention.

      La maitresse de cérémonie pour la circonstance.

Avec brio, ils, elles ont tous et toutes interprété-es  un couplet de l’hymne de l’UNIFA,  (leur trait d’union) au sein de leur université. Leur insistance et analyse pointue sur des concepts et/ou affirmations comme « UNIFA, Notre Alma Mater », institution d’offre de formation sans Exclusion ou « Sin pa Sove Diyite n, Diyite n ap Sove kite n »  pour ne citer que ceux-là ont charmé le public composé de professeurs mais surtout d’étudiant-es.

Quel Plaisir d’écouter ses camarades !  Cette attention, cet intérêt pour l’activité  du jour et ce petit  sourire  complice traduit bien le niveau de satisfaction et de fierté des participant-tes pour  la  qualité de la présentation des panélistes.

L’attention est soutenue au moment de la présentation des  étudiant-es panélistes. Quelle joie d’apprendre de ses pairs, de ses camarades de classe !

 

L’insécurité

La famille haïtienne peine, depuis bon nombre années, sous le poids de multiples situations, tantôt sous forme de catastrophes naturelles, tantôt à caractère socio-économique et/ou politique. Cependant, à l’instar des autres nations, elle espère pouvoir continuer à s’adonner aux activités du quotidien. Aujourd’hui, plus que jamais, toile de fond de toutes ces situations vécues, un fléau occupe l’espace et bouleverse la quiétude d’esprit : l’insécurité.

Me James Boyard, éminent avocat du Barreau de Port-au-Prince, auteur et Professeur d’Université, se penche sur ce sujet poignant, qui angoisse la famille haïtienne.

 

Me Jean Baptiste Blanchard, Décanat de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques /UNIFA

Me James Broyard, Professeur à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques /UNIFA

« La sécurité est la fonction première de l’État. Un État légitime et souverain doit accorder une importance capitale à la sécurité de la nation, car un peuple qui n’est pas en sécurité sur sa propre terre ne peut contribuer à la croissance de  son pays »

Les ophtalmologues se font de plus en plus rares en Haïti

Dans le cadre du rendez-vous hebdomadaire baptisé « les Jeudis de l’UNIFA », une conférence débat s’est tenue à l’auditorium de l’Université de la Fondation Dr Aristide le jeudi 25 novembre 2021 autour de l’ophtalmologie. C’est le Dr Réginald Réjouis, ophtalmologue et professeur d’université qui a animé cette conférence à laquelle des centaines d’étudiants, dont ceux en ophtalmologie, en odontologie, en médecine et en sciences infirmières ont pris part.

D’entrée de jeu, le spécialiste en faisant la genèse de cette branche médicale qui s’occupe des problèmes de la vue « Ophtalmologie », a permis à l’auditoire de mieux cerner la définition d’ophtalmologie, l’évolution de cette science et la mission de quelqu’un qui a étudié cette discipline et la situation du pays à ce niveau.

L’ophtalmologie, dit-il, est une discipline qui s’occupe de la maladie des yeux. « Ces derniers font partie des organes de l’homme et contiennent des milieux transparents permettant de voir », a fait valoir le médecin, ajoutant que pour pouvoir voir normalement, il faut avoir des yeux avec des milieux bien transparents.

Cependant, à l’ombre de l’ophtalmologie qui s’occupe des yeux, Dr Réginald Réjouis soutient  qu’il y a d’autres sciences connexes qui prennent en compte certains problèmes oculaires. Parmi ces sciences, il cite, entre autres, optométrie, une discipline qui, explique-t-il, étudie la réfraction de l’œil. Cette discipline, souligne le spécialiste, s’occupe uniquement de la prescription des verres. Il a aussi mentionné l’opticien qui se spécialise dans la fabrication et la vente des verres. « Ces deux spécialisations peuvent travailler de concert avec un ophtalmologue », a-t-il précisé.

L’ophtalmologie en tant que science est divisée en plusieurs sous spécialités. Après une spécialisation de 4 ans en résidence hospitalière en ophtalmologie, quelqu’un peut s’orienter vers une sous-spécialité pour acquérir des connaissances approfondies en matière de santé visuelle, a renchéri le professeur d’universités, indiquant qu’il y a également la chirurgie-olfactive comme sous-spécialités qui s’occupent de la défaillance visuelle.

 

Les dates importantes de cette science

Au cours de son exposé, Dr Réginald Réjouis a cité quelques dates qui ont marqué cette discipline qui s’occupe de la vue. Selon le médecin, le premier livre d’ophtalmologie a été rédigé en 1583 par un médecin Allemand.

Le docteur en a profité pour présenter la situation du pays dans le domaine médical. Ainsi, les informations rapportées laissent croire qu’Haïti ne dispose rien que 3 354 médecins pour 11 millions d’habitants. Le pire, déplore le professeur, est qu’il n’y a même pas 100 ophtalmologues. Pourtant, cette science est apparue en Haïti au cours de la période de l’occupation américaine, période à laquelle ce service a été  débuté à l’hôpital de l’Université d’État d’Haïti, d’après Dr Réjouis.

Faisant l’état des lieux de la situation, le conférencier se dit consterné de voir la dégradation du système de santé haïtien. Pour lui, le système est traité en parent pauvre par les autorités haïtiennes.  Le professeur a mis un accent particulier sur le nombre de médecins dont des ophtalmologues qui  fuient le pays. Cette situation, de l’avis du médecin, est préoccupante. Ce qui pousse le spécialiste, à encourager les autorités concernées  à prendre les décisions qui s’imposent afin de créer un climat sécuritaire dans le pays dans l’optique de pallier ce problème.

Les étudiants font des « les jeudis de l’UNIFA », un rendez-vous à ne pas manquer. Les thématiques choisies sont d’intérêt général. Les conférenciers sont parmi les plus chevronnés sur le marché. La conférence du 25 novembre traduit encore une fois la volonté des responsables de ce centre universitaires de permettre aux étudiants d’avoir une meilleure compréhension des sciences médicales et leur évolution dans le pays.

 

Depuis Aristote, philosophe grecque de l’antiquité, il est admis que l’être humain possède cinq sens représentés par leurs organes sensoriels inhérents : les oreilles, les yeux, le nez, la langue et la peau. Pendant longtemps en Haïti, une spécialité médicale a regroupé les trois premiers : l’ORL-O (l’otho-rino-laryngologie-ophtalmologie). Depuis déjà une bonne vingtaine d’années, l’Ophtalmologie s’est singularisée chez nous : Nos premiers Ophtalmologues  ont été formés à l’unique  centre hospitalier universitaire de l’époque.

Le Jeudi 25 novembre, à l’auditorium du campus, le « Jeudi de l’UNIFA » a  accueillit le Dr Réginald Réjouis, Ophtalmologue, Professeur d’Université.

Dr Réjouis, le conférencier.

 

 

 

 

De droite à gauche : Prof Claudèce Joseph, Dr Daniel Gabriel, Doyen de la Faculté d’Odontologie, Mme Mildred Aristide, Dr Francis St Hubert.

Programme de Licence en droit en ligne

L’Université de la Fondation Dr. Aristide (UNIFA) porte à la connaissance du public en général que les inscriptions pour la prochaine session de son programme de licence en droit en ligne se tiendront du 15 novembre 2021 au 15 janvier 2022.

Retrouvez le formulaire d’inscription en cliquant sur ce lien : https://unifa-edu.info/contenu/licence-en-droit-en-ligne

Documents à soumettre au moment de l’inscription en ligne:

  • Acte de naissance ou extrait des archives de date récente;
  • Certificat de fin d’études secondaires (Bacc I et II) ou équivalents;
  • Certificats et/ou diplômes préalablement obtenus;
  • Lettre de motivation;
  • Une photo d’identité de date récente;
  • Carte d’identification nationale ou première page du passeport.

 N.B. Tous les documents sont obligatoires au moment de l’inscription. Aucune inscription ne sera prise en compte si le dossier est incomplet.

Frais d’inscription

Les frais d’inscription sont de 1,500.00 HTG, non-remboursables.

Pour toutes informations supplémentaires, les intéressé(e)s sont prié(e)s d’appeler au (+509)2810 0409, ou d’envoyer un courriel à l’adresse suivante : inscription@unifa.edu.ht

 

 

CLINIQUE MOBILE DES MEDECINS DIPLOMES DE L’UNIFA A CAMP-PERRIN

Les photos parlent d’elles-mêmes et montrent comment des médecins, infirmières de l’Université de la Fondation Dr Aristide sont dynamiques, dévoués  et se mettent au service de la population du Grand Sud, spécifiquement, celle de Trouillard dans la commune de Camp-Perrin.

Bien équipé en matériel médical, la jeune médecin de l’Université de la Fondation Dr Aristide mesure le niveau d’oxygénation, contrôle le rythme cardiaque  de cette patiente du troisième âge.

 

Les médecins de l’Université de la Fondation Aristide innovent, s’adaptent aux réalités de l’heure : N’importe quel espace est rapidement aménagé et transformé en lieu de consultation.

Le plus important est de Servir !

 

 

Nous, médecins diplômés de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA),  mettons notre compétence au service des plus vulnérables et nécessiteux, victimes du séisme du 14 août 2021. Nous parcourons les départements du Sud, de la Grande Anse et des Nippes  pour offrir des soins, des médicaments, de la formation  et des  conseils.

 

Une tonnelle transforme en centre de consultation. Les médecins de l’UNIFA pratiquent une médecine de proximité et vont plutôt  vers les patients.

 

 

Nous médecins, sommes soudés  les uns aux autres par le sceau de notre Alma Mater, notre Amour : « UNIFA. » 

CLINIQUE MOBILE AUX ANGLAIS (DEPARTEMENT DU SUD) DES MEDECINS ET INFIRMIERES DIPLOMES DE L’UNIVERSITE DE LA FONDATION DR ARISTIDE (UNIFA)

Les médecins diplômés de l’UNIFA n’abandonnent pas à leur sort les victimes du séisme du 14 août 2021 dans les Départements du Sud, des Nippes et de la Grande Anse.
Les cliniques mobiles sont le fruit de réflexions et d’actions concertées de médecins, professeurs et responsables de l’Université de la Fondation Dr Aristide.
Le Docteur Jean Marie Aubourg qui était dans la ville des Cayes le 14 août 2021 au moment du séisme affirme que » L’idée m’est venue pendant que j’étais sur place et j’ai tout de suite suggéré à l’UNIFA d’utiliser les internes et les étudiants en service social pour organiser des cliniques mobiles afin de venir au secours des victimes du séisme »
Le Docteur Edmond Pierre, Directeur Médical de l’Hôpital Universitaire de la Fondation Dr Aristide confie pour sa part « j’ai participé à une rencontre après le séisme du 14 août 2021 devant conduire à un plan de travail et une coordination avec les unifaristes dans le Sud pour organiser des cliniques mobiles. Dès lors un stock de médicaments est disponible pour les cliniques mobiles ».
Des médecins et infirmières plus expérimentés ont accompagné les médecins à la clinique mobile aux Anglais. Les médecins et infirmières : Docteur Lucette Séide, Docteur Wyclive Jean Pierre, Miss Marie Loondya Misère et Miss Evelyne Eugène ont contribué à fournir des soins à la population des Anglais.

Enfants et adultes en ont profité pour recevoir des soins au cours de la clinique mobile réalisée aux Anglais par les médecins de l’UNIFA.

Deux anciennes de l’UNIFA mettent toute leur attention pour  écouter les patientes en consultation.

Des femmes (jeunes et âgées)  attendent patiemment leur tour.

A part les soins médicaux, une séance de formation pour des conseils  en termes de prévention et autres  avant de commencer avec les consultations.

La demande en soins médicaux est très élevée aux Anglais tenant compte du nombre de personnes en attente. En attendant, les médecins  unifaristes offrent leur compétence en vue de combler ce vide.

Une foule en attente de soins. La demande  est importante dans cette communauté

Des patients  debout, en majorité des femmes  attendent  leur tour.

Bien équipé en matériel avec le support de l’Université de la Fondation Dr Aristide, les  médecins font une première évaluation des patients à travers un contrôle de leurs signes vitaux.

Les enfants sont pris en charge sous le regard attentif de leur parent.

Une concentration hors pair de ce médecin au moment de la prise en charge de cette fillette.

La neurologie, un acteur incontournable du bien-être

La neurologie a été au centre des débats à l’auditorium du campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide au cours de l’édition du 11 novembre des Jeudis de l’UNIFA. Dans une salle archicomble composée en grande partie d’étudiants en médecine, odontologie, Sciences infirmières physiothérapie, le neurologue et chef de service de Médecine interne à l’Hôpital de l’Université Dr Aristide, Dr Quénold Désiré a exposé, dans une ambiance de débat intense, l’importance de la neurologie dans une société.
Avoir des connaissances en neurologie, soutient le docteur Quénold Désiré, permet à des êtres humains de savoir quand il y a des signes d’alarmes au niveau du système nerveux, quand il faut s’inquiéter à cause d’un problème neurologique. Tenue autour du thème « La neurologie
est un acteur incontournable pour le bien-être de plus d’un », cette conférence-débat a permis à l’assistance de mieux comprendre pour certains et connaitre pour d’autres, certains signes et symptômes liés à des maladies neuro-vasculaires.
Professeur de son état, le spécialiste a utilisé un langage basique et clair pour transmettre le message. Ce qui a facilité la participation des étudiants des différentes disciplines. La neurologie, fait-il savoir, est l’étude des maladies du système nerveux. Ces dernières peuvent être de natures diverses. Dr Désiré parle des maladies vasculaires comme l’hypertension qui peut déboucher sur une atteinte au système nerveux, entrainant ainsi des complications graves avec l’obstruction d’une artère par un caillot de sang.
Ces complications, poursuit le neurologue, suivant la partie touchée, peuvent affecter la parole, l’audition, la vue, le mouvement, la sensibilité (…). Dans tous les cas précise-t-il, il faut une prise en charge par un neurologue dans les 270 minutes qui suivent cette atteinte. Passé ce délai, on ne pourra pas déboucher le vaisseau en question.
Mise à part des complications neuro-vasculaires, le professeur a mis l’accent sur des maladies infectieuses telles la méningite, l’encéphalite, la névrite ; les maladies tumorale qui sont liées à la prolifération de cellules désordonnées pouvant entrainer la mort du patient et les maladies neuro-dégénératives qui affectent le système nerveux, entraînant la mort des cellules nerveuses. Les plus fréquentes sont la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson mais il en existe bien d’autres.
Tout au long de son intervention, le docteur a tenu à expliquer l’importance de la neurologie. C’est le système nerveux, insiste-t-il, qui coordonne les actions de tous les autres systèmes du corps. La mémoire, la compréhension, l’apprentissage dépendent tous du cerveau. Si la faiblesse musculaire, la perte de la sensibilité, les troubles du langage, les problèmes de vision, les problèmes d’audition et d’équilibre, apparaissent brusquement, il y a une forte possibilité qu’il s’agisse d’un caillot pouvant conduire un infarctus cérébral.
Le stress a été également abordé au cours de cette riche conférence-débat. À bien comprendre le chef de service de Médecine Interne à l’Hôpital Universitaire Dr Aristide, le stress affecte à la fois le système cardiovasculaire et le système nerveux central. Aussi poursuit-il qu’il a un effet direct sur le système nerveux en stimulant la sécrétion d’adrénaline qui entrainera une augmentation de la fréquence cardiaque et une augmentation de la tension au niveau des artères susceptibles d’aboutir à un accident vasculaire cérébral (AVC).
Tout compte fait, cette édition de Jeudis de l’UNIFA a été succès. L’interaction qui existait entre les étudiants et l’intervenant témoigne l’intérêt que ces derniers accordent à la recherche et au sujet qui a y été amplement débattu. Ils ont compris qu’il y a un lien direct entre la productivité, le bien-être et la neurologie.

Dr Graciela Limonta Vidal, membre du Décanat de la faculté de Médecine, introduisant l’intervenant du jour, le Dr Quénold Désiré.

Dr Quénold Désiré, le conférencier.

Près d’un millier d’étudiants ont pris part à l’édition des Jeudis de l’UNIFA du 11 Novembre 2021.

Vue partielle de la salle.

Remarquable participation des étudiants_es à la Conférence.

Beaucoup d’étudiants veulent interagir et poser des questions au neurologue.

AVIS

Le RECTORAT porte à l’attention des étudiants qu’une prolongation de 48 heures (jusqu’au samedi 13 novembre 2021) leur est accordée pour remplir le formulaire d’inscription pour l’obtention d’un « identifiant » permettant d’accéder à la plateforme numérique. Pour toutes questions d’ordre technique, ils sont priés de contacter la section informatique de l’Institution à l’adresse : informatique@unifa.edu.ht.

À titre de rappel, l’étudiant qui n’aura pas d’identifiant, ne sera pas en mesure de suivre les cours en ligne et ne pourra pas participer aux épreuves d’évaluation de connaissances. Toute absence à une épreuve d’évaluation équivaudra à la note 0.

Un enseignant de trop est tombé !

L’Université est garant de la survie d’une société ; les enseignants sont les piliers de ces entités académiques, sources du renouveau et de la pérennité.
Un enseignant de trop est tombé ! Le Professeur Patrice Derenencourt n’est pas rentré chez lui et n’offrira plus à la communauté estudiantine son savoir.
Le Conseil d’Administration et le Rectorat de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) s’inclinent devant sa dépouille et présentent leurs condoléances à sa famille et à tous ceux qui ont pu jouir de sa collaboration et de son enseignement.

Avis aux étudiants

Vous êtes priés de vous rendre sur le site web de l’UNIFA (https://unifa-edu.info/) pour remplir le formulaire d’inscription pour la plateforme numérique.

Marche à suivre

Dans le menu :

  • Cliquez sur « Mon UNIFA »;
  • Cliquez sur « Portail étudiant »;
  • Cliquez sur « Formulaire d’inscription pour la plateforme numérique »;
  • Remplissez le formulaire, puis cliquez sur « Envoyer ».

N.B. Cette note concerne uniquement les nouveaux étudiants, et ceux/celles qui n’ont pas encore rempli le formulaire.

Regard sur la dentisterie du futur

Les Sciences de la santé regroupent différentes disciplines. L’importance de leur articulation de même qu’une vraie connaissance de leur interaction, devraient permettre de mieux appréhender la place de ces dites disciplines dans la vie quotidienne de l’être humain. Le bien-être de ce dernier est la finalité de cette harmonisation.

À l’Université de la Fondation Dr Aristide, l’une de ces disciplines est l’Odontologie. Ainsi, dans le cadre des « Jeudis de l’UNIFA », le 21 octobre 2021, le Dr Daniel Gabriel, Doyen de la Faculté d’Odontologie a prononcé une conférence.

 

Dr Daphnée Benoît Delsoin, Doyenne de la Faculté de Médecine, introduit le Dr Daniel Gabriel.

Dr Daniel Gabriel, Doyen de la Faculté d’Odontologie.

Une vue de l’assistance.

Dorveline Georges, étudiante en troisième année des Sciences Infirmières, préocupée par le lien existant entre l’Odontologie et les Sciences de la Santé.

Woodny Sildeas, étudiant en 1ère année d’Odontologie.

L’UNIFA À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE

Dr Dodley Sévère, Responsable des Affaires Académiques dans son allocution d’ouverture du premier Jeudi de l’UNIFA, le 14 Octobre 2021 :« L’UNIFA À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE ».


L’élaboration des cursus implique : Innovation pédagogique et praxis des étudiants.


De la gauche vers la droite : Ing. Rony Bien Aimé, professeur à l’UNIFA, Me Joselaine Mangnan, Doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques et l’Ing. Jean Philippe Moyse.


Les étudiants prêtent une attention soutenue à l’exposé de la Doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques. Elle profite de cette occasion pour rappeler le programme de Droit en ligne de cette dite Faculté.


Une visite du site de l’Université offre à tous l’opportunité de mieux connaître l’UNIFA.


A l’Université de la Fondation Dr Aristide, le numérique est perçu comme un levier pouvant contribuer à la rénovation des pratiques d’enseignement supérieur.

Annonce de décès

L’Ecole de Physiothérapie annonce avec infiniment de peine le décès de l’étudiant François Stanley ANACRÉON, récemment gradué, suite à un accident de la voie publique.

 

Nous présentons nos plus sincères condoléances aux parents et amis du défunt, spécialement aux Responsables de l’UNIFA, à ses camarades de promotion et à tous les étudiants de l’EPHY.

 

Que la terre lui soit légère!

L’Université de la Fondation Dr Aristide apporte sa contribution et vole au secours des victimes et rescapés du séisme du 14 août 2021survenu dans les départements des Nippes, du Sud et de la GrandeAnse.


L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) à travers les Facultés de Médecine, des Sciences Infirmières et son Ecole de Physiothérapie ne reste pas indifférente aux victimes du séisme du 14 août 2021 qui a ravagé les départements desNippes, du Sud et de la Grande Anse.




A travers une solide équipe médicale composée de médecins hautement qualifiés, de cadres en santé, de diplomés en médecine, en Sciences Infirmières et enPhysiothérapie, l’UNIFA participe à la réponse d’urgence en santé dans les départements touchés par le séisme du 14 Août 2021. L’usage de la télémedecine est au cœur de cette activité et s’avère très efficace au moment de cet élan de solidarité avec les victimes des départements des Nippes, du Sud et de la GrandeAnse.




Disposant d’équipements, de matériels sanitaires suffisants, ajouté à une technologie appropriée, l’équipe médicale de l’UNIFA est bien présente au chevet des victimes du séisme dévastateur du Grand Sud. Des diplomés de l’UNIFA qui étaient déjà sur place dans le sud ont rejoint l’équipe médicale et tous sont à pied d’œuvre apportant leur pierre et réconfort aux victimes du Grand Sud.







Un médecin de l’équipe médicale de l’UNIFA donnant des soins à un adolescent gravement blessé au pied gauche au cours du séisme du 14 août 2021.





Une infirmière, membre de l’équipe médicale de l’UNIFA en train de réaliser un pansement pour cet homme victime du séisme.






Une consultation pour cette femme fracturée au visage.







Un jeune rescapé fracturé au genou recevant les premiers soins d’un membre de l’équipe médicale de l’UNIFA.







Un médecin de l’équipe parlant à une victime afin de mieux poser son diagnostic.






Une prise de vue des fiers médecins diplômés de l’UNIFA, prêtant leur service aux populations du Grand Sud, victimes du séisme du 14 août 2021.







L’équipe dispose de matériel nécessaire et des médicaments qui sont offerts par l’ancien Président Jean Bertrand Aristide pour répondre aux besoins des victimes







Une équipe polyvalente avec des compétences diversifiées. Avec calme et patience, ces deux femmes de l’équipe médicale prennent le temps pour soulager la douleurde ce jeune garçon dont les deux jambes sont fracturées.







Un travail d’équipe! Les médecins unitaristes se concertent pour poser le bon diagnostic et accorder le meilleur soin aux blessés.







Des médecins et infirmières alertes! des diplômés de l’UNIFA, une équipe bien soudée. Des professionnels de la santé pleins d’énergie et sans aucun signe de fatigue malgré les nombreuses tâches qui les attendent.


Bravo Unifaristes!







L’équipe médicale de l’UNIFA, sous la supervision de spécialistes étrangers partenaires de l’institution, les jeunes médecins apportent des soins d’urgence aux survivants du séisme du 14 août 2021.







Prêts, comme des scouts, les médecins diplômés de l’UNIFA sont debout pour apporter des soins aux rescapés et blessés.







L’équipe médicale fait le porte à porte, visite les rescapés pour leur fournir des soins sur place.







Des rescapés s’approchent de ce médecin de l’équipe médicale de l’UNIFA.







Les membres de l’équipe bougent, sillonnent les espaces où sont logés les victimes pour leur apporter des soins d’urgence.



Enfin, un petit moment de répit, un casse-croute, pas dans des conditions idéales, pour reprendre des forces et recommencer à nouveau.







La prise en charge d’une fillette fracturée au genou.







Les enfants ne sont pas négligés par l’équipe médicale de l’UNIFA.

INSCRIPTIONS POUR L’ANNEE ACADEMIQUE 2021-2022

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) informe les intéressés.es et le public en général de l’ouverture des inscriptions de l’année académique 2021-2022 pour les options suivantes :

– MÉDECINE

– ODONTOLOGIE

– SCIENCES INFIRMIERES

– PHYSIOTHÉRAPIE

– GÉNIE ET ARCHITECTURE

– SCIENCES JURIDIQUES ET POLITIQUES

– SCIENCES ÉCONOMIQUES ET ADMINISTRATIVES

– AGRONOMIE

– ÉDUCATION PERMANENTE




INSCRIPTIONS

Heure : 9h AM – 2h PM




PIÈCES À PRÉSENTER

•Quatre (4) photos d’identité récentes

•Extrait d’Archives récent ou Acte de naissance (Original et Copie)

•Relevés de notes ou Certificat du Baccalauréat IIème partie (Original et Copie)

•Une pièce d’identité : CIN ou NIF (Original et Copie)




N.B. Pour les postulants qui souhaitent s’inscrire sous réserve, l’UNIFA leur fait obligation de présenter au moment opportun la fiche indiquant leur participation aux examens du Baccalauréat IIème partie de l’année académique 2020-2021 (Original et Copie).


La date des examens sera annoncée ultérieurement.



Pour toutes informations supplémentaires, l’UNIFA vous prie de visiter son site : www.unifa-edu.info ou d’appeler aux numéros suivants : 28110408 – 28170405 – 28170411 – 28170412.




Des bourses seront accordées aux lauréats.es sous forme de scolarité ou de logement gratuit !

Avis de décès

L’Université de la Fondation Dr Aristide a appris, avec infiniment de peine, le départ de la Dre Ginette Rivière Lubin. De 2011 à 2014, Dre Lubin était la Doyenne de notre Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé.
Partageant la douleur de sa famille, nous exprimons, une fois de plus, notre gratitude à l’endroit de notre ancienne Doyenne.

Partie dans la nuit du 10 au 11 juillet 2021, ses empreintes seront toujours indélébiles à l’UNIFA.

A sa famille et à ses proches affectés.es par ce deuil, le Président de l’ Université, le Conseil d’administration, le Rectorat, les Décanats, le Corps professoral et les étudiants de la FMSS, tous unis au cœur de ce deuil, nous adressons nos sincères condoléances.

Requiescat in pace !

Puisse son âme reposer en paix !


Les étudiants de 1ere année de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture (FSNA) en Stage à la ferme agricole de l’Institution.

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie

Ce lundi 17 mai 2021 s’ouvre sur la Semaine Scientifique à l’UNIFA autour du thème ‹‹ Diagnostic : entre Science et Escroquerie ››. Comme prévu par le calendrier, c’est une semaine riche en activités : les conférences, les présentations des différentes Facultés qui forment l’université, les concours et les expositions se conjuguent pour donner à cette semaine d’atmosphère scientifique l’essence qui lui est due.

La Semaine Scientifique débute à l’Auditorium, après que les étudiants aient entonné l’Hymne national et celui de l’UNIFA.
Après l’exécution de deux morceaux par un étudiant de la Faculté de Génie et d’Architecture, Mme Aristide prononce les mots de bienvenue et, au nom du Président de l’UNIFA, le Dr Jean-Bertrand Aristide, lance officiellement la Semaine Scientifique.

Elle en profite pour adresser ses vœux à la doyenne de la Faculté de Médecine, Dr Daphnée Benoît Delsoin, à l’occasion de son anniversaire de naissance. Dr Daphnée Benoît Delsoin reçoit un bouquet de fleurs de la part du Conseil de l’Université et prend la parole pour leur adresser ses vifs remerciements et du même coup, introduire la première conférence de la semaine.

La première conférence a été donnée par le Vice-Doyen de l’Université Quisqueya, le Dr Audie Métayer autour de la question de la pratique, des enjeux et perspectives de la néphrologie en Haïti. Dans son exposé, il dresse un panorama des débuts et de l’évolution de la pratique de la néphrologie en Haïti. Le parcours a été long, difficile et l’est encore tout autant aujourd’hui.

L’expansion de la pratique de la néphrologie connaît une expansion à travers le monde, explique-t-il, notamment grâce à la mise au point de l’hémodialyse par le Dr Willem J. Kolff et la capacité d’expliquer certaines choses au niveau médical. Cependant, dans le pays, on ne compte que dix néphrologues et dix centres de dialyse, dont seulement trois en milieu rural, pour une population de douze millions d’habitants.

Pour pallier à cette situation, l’essentiel selon lui, serait que l’Etat haïtien œuvre à combattre l’escroquerie afin de permettre l’expansion d’une pratique adéquate de la néphrologie par l’investissement à partir du budget national en créant des Centres d’excellence à cet effet, en mettant en en place une politique de formation des professionnels.les de la santé ainsi qu’une politique de gestion des matériels et infrastructures nécessaires à l’exercice du métier de néphrologue sur le territoire national. Mais surtout, vu la situation, que la population haïtienne adopte une position préventive en traitant les maladies à risque de comorbidité qui favorisent l’insuffisance rénale.

Après la conférence du Dr Métayer, un autre panel de cinq étudiants et étudiantes prend place, formé d’étudiants.es en Médecine de l’Université Quisqueya et de l’UNIFA. Ceux/celles-là dresse un tableau du fonctionnement des salles d’urgence en Haïti ainsi que les contraintes auxquelles sont confrontés les médecins urgentistes, ceux/celles-ci parlent ensuite de la grossesse précoce en Haïti plus précisément dans la localité de Pignon, ses causes et ses conséquences.

Entre-temps, des concours de dessin et des expositions en neurologie se déroulent sous les tentes du campus et les arrangements s’opèrent à la Salle Polyvalente afin d’assurer la présentation de la Faculté des Sciences infirmières. Ces étudiants.es font la mise en scène d’une femme enceinte victime d’un accident de voiture sur la voie publique qui arrive aux urgences. A travers ce sketch, ils/elles ont montré qu’ils/elles sont des infirmiers/infirmières autonomes, capables de prendre des décisions et de sauver des vies en l’absence de médecins, avec professionnalisme et éthique professionnelle, remplissant leur travail loin de l’escroquerie et des pots-de-vin.

La dernière présentation de la journée a été celle de l’Ecole de Physiothérapie : deux étudiantes ont fait la projection d’une mise en scène réalisée par les étudiants.es eux/elles-mêmes. Pendant cette projection, elles ont expliqué comment se fait la prise en charge immédiate de la fracture bi malléolaire d’un footballeur survenue en terrain de jeu.

La Semaine Scientifique s’annonce déjà pleine vie de vie et de couleurs, chacune apportée par les étudiants.es, les conférenciers et conférencières, les professeurs.es, les membres du Conseil d’administration de l’UNIFA et chaque participant.e qui se place aux côtés de la Science, non de l’escroquerie.

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Photos de la première journée

Mme Mildred Aristide dans les mots de bienvenue au commencement de cette semaine de célébration de la Science à l’UNIFA
Dr Daphnée Benoît Delsoin, doyenne de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé, introduisant l’intervenant du jour, le Dr Audie Métayer
Dr Audie Métayer, Vice-Doyen de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé de l’Université Quisqueya (UNIQ), néphrologue
Entre Mme Aristide et Dr Daphnée Benoît Delsoin : Dr Doodley Sévère, Responsable des Affaires académiques
Dr Francis Saint-Hubert, Professeur à l’UNIFA
Le Révérend Père Wesner Nérée, Responsable de Discipline

La deuxième journée scientifique : une journée de double célébration et de don de sang à l’UNIFA

Le mardi de la semaine scientifique aurait pu se dérouler comme un autre jour de la Semaine Scientifique à l’UNIFA. Mais il ne s’agit pas uniquement d’un mardi de Semaine Scientifique : on est le mardi 18 mai 2021. Une date importante dans l’Histoire d’Haïti. Le mardi qui marque la 218ème année de la création de notre drapeau et journée de l’Université, donc un mardi à commémorer.

A journée spéciale, programmation spéciale : C’est donc un gai couplet de l’hymne à la jeunesse qui retentit dans l’assistance, à savoir ‹‹ Nous te voulons, chère Patrie, puissante et forte à tous les yeux. Nous te voulons, terre bénie, digne à jamais de nos aïeux. Libre et prospère, ils t’ont léguée à leurs enfants, nous qui t’aimons. Avec ardeur dans la mêlée, pour ton salut nous lutterons. C’est nous, jeunesse étudiante. C’est nous, les grands, nous, les petits. Demain, la gloire d’Haïti. Les cœurs joyeux, l’âme fervente, toujours en avant nous irons la tête altière et hauts les fronts. ››

Après avoir prononcé ces belles paroles qui répandent le parfum du patriotisme, le Dr Ernst Noël, Directeur du Programme National de Sécurité Transfusionnelle, introduit par Dr Daphnée Benoît Delsoin, fit un diagnostic patriotique après avoir mis en lumière les différents problèmes du pays qui non seulement fragilisent la vie des haïtiens, mais les obligent également à côtoyer la mort. A chaque instant. De manière constante.

Il montra combien les demandes en pochettes de sang sont fréquentes et nombreuses et comment il est difficile d’y pourvoir : ‹‹ Un accident de la route, une blessure par balles, un accouchement par césarienne, autant d’imprévus qui mettent chaque jour des patients.es sur la fine ligne entre la vie et la mort et où une transfusion sanguine peut se révéler indiscutablement indispensable. La demande en pochette de sang par année est d’ordre de 110.555, alors qu’en moyenne nous ne disposons que de 6.250 par année ››.

Mais ce n’est pas le seul souci lié à la transfusion sanguine en Haïti : ‹‹ Nous ne faisons pas payer pour donner des pochettes de sang aux accidentés.es, aux femmes enceintes en situation d’accouchement difficile ou à quiconque dont l’état requiert une transfusion sanguine, il est clairement indiqué qu’au Centre, nous ne recevons pas d’argent pour cela. Si à un moment ou à un autre, vous dûtes payer pour obtenir du sang, c’est ce vous avez été victime d’escroquerie ››.

En ce jour de la fête du drapeau et de l’Université, il convia la communauté étudiante de l’UNIFA à poser un geste citoyen, pour reprendre ses mots, un geste d’appartenance à la communauté : ‹‹ Il n’est pas essentiel de savoir ce qu’on a fait de nous, mais ce qu’on fait de ce qu’on a fait de nous. Tout savoir exige une concession. Je vous invite à poser cet acte d’abnégation ce matin alors qu’on célèbre notre drapeau. Faire don de votre sang si vous êtes en état de le faire, c’est sauver la vie de huit bébés ou de trois adultes en situation d’urgence ››.

A ce cri du cœur, l’UNIFA a répondu avec joie car le 14 Mars dernier, le Président de Aristide avait déjà dit : Don de sang, don de soi. Entre diagnostic patriotique, chants, danses, morceaux exécutés à l’instrumental, des pochettes vides se remplirent avec des gouttes de don de soi afin de servir les autres comme l’ont fait nos ancêtres. Afin qu’aujourd’hui nous soyons en mesure de fêter deux centenaires de la création de notre drapeau.

Car ce que nous rappellent notre drapeau et notre rôle en tant qu’aspirants.es à l’excellence c’est le devoir, l’honneur, l’amour, l’unité et la solidarité entre tous les fils et toutes les filles d’Haïti, y compris entre ceux/celles qui ont besoin de sang et ceux/celles qui peuvent en donner. En un mot, les Universitaires se dirigent vers la Science et non vers l’escroquerie.

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Photos de la deuxième journée

Dr Edelyne Francisque, Professeure à l’UNIFA
Dr Ernst Noël, Directeur du Programme National de Sécurité Transfusionnelle
Concours de chimie organique
Don de sang à l’UNIFA

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Troisième journée

Après deux journées remplies, la Semaine Scientifique se poursuit à l’UNIFA. Ce mercredi 19 mai 2021 marque donc la troisième journée de cette période particulière pour la communauté estudiantine de l’Université de la Fondation Dr Aristide.



Les deux conférences de la troisième journée

Deux conférences viennent agrémenter la matinée de cette journée. La première est une intervention de l’Ambassadeur Cesar Alberto Faes suivie de la Pharmacienne Marie Ener Jean Jacques.

‹‹ Vérité scientifique et changement de paradigme ›› est le sujet autour duquel s’axe l’intervention de M. Faes. Il montre dans son discours comment les voies Science et Paradigme se croisent souvent et combien est important le rôle des paradigmes dans les avancées de la science : ‹‹ La science n’est pas linéaire. Elle fait des progrès et ces progrès s’effectuent d’abord par les discussions. Les paradigmes révolutionnent la science ››.

Cependant, explique-t-il, autant que les paradigmes éclairent la route de la science, autant ils peuvent lui faire de l’ombre. Autant ils sont bénéfiques et sont à la base de grands progrès scientifiques, autant ils savent être des obstacles et s’avèrent parfois être des causes de troubles et de confusion au sein de la communauté scientifique. Situations qui favorisent également des occasions d’escroquerie dans le milieu. A cela, l’Ambassadeur Faes donne une explication : ‹‹ La science est soumise aux paradigmes. Quand les paradigmes changent, il est difficile de savoir de quel côté se trouve la vérité scientifique ››.

Après de bonnes minutes passées à apprécier la prise de parole de l’ambassadeur argentin qui a exposé l’étroite corrélation entre vérité scientifique et paradigmes, l’heure vient où Mme Marie Ener Jean Jacques présente le bon usage des médicaments et les dangers pouvant sévir dans leur utilisation.

L’utilisation des médicaments dans un contexte médical est un fait normal et complémentaire pour le traitement de maladies et même quelques fois, leur prévention. Cependant, en Haïti, les précarités dans les familles au sein de la population ne permettent pas de normaliser une visite à l’hôpital à chaque malaise. Les gens se tournent donc vers l’automédication. L’automédication est la prise de médicaments sans avis médical. C’est ce qui fait l’essence de la conférence de Mme Marie Ener Jean Jacques ce matin.

Cette pratique de l’automédication n’est pas sans danger sur la santé de ceux/celles qui l’adoptent. Leur organisme peut être intolérant à un médicament à leur insu, et sans qu’ils/elles le sachent aggravent leur état au lieu de l’améliorer. Et quand enfin, ils/elles se rendent chez le médecin, l’usage de ces médicaments provoque un retard dans le diagnostic.

Prendre du thé non dosé, boire du sirop sans consultation préalable, prendre des médicaments qui ont été prescrits à quelqu’un d’autre ayant des malaises identiques à ceux en question, sont autant de formes que revêt l’automédication dans le contexte haïtien.

L’utilisation incontrôlée de ces médicaments fait grandir une autre activité en parallèle : la vente des dits médicaments, déplore la pharmacienne : ‹‹ Pour chaque symptôme, vous serez en mesure de trouver toutes sortes de médicaments dans les rues, dans les bus ››. L’ignorance des uns/unes les fait poser des actes d’imprudence en se fiant à ceux/celles qui vendent et fabriquent des médicaments.

Non seulement, nous apprend Mme Jean Jacques, ces médicaments sont souvent sans rapport avec ce dont ils/elles souffrent, et les vendeurs.ses leur en fournissent, parfois ils/elles agissent en escrocs en les leur faisant payer plus que de raison ; ces médicaments ne sont pas non plus conservés dans les conditions adéquates, ce qui fait que ces médicaments sont périmés même s’ils n’ont pas encore atteint leur dâte d’expiration.


Les présentations des Facultés

Après ces deux conférences survenues à l’Auditorium, l’attention est portée sur la Salle Polyvalente où l’UNIFA accueille des étudiants.es de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture qui présentent la théorie de l’Enseignement agricole, sa pratique ainsi que les actions et stratégies à mettre en place.

Pour ce faire, ils/elles se servent des résultats de leurs travaux à la ferme agricole de l’université où ils/elles passent beaucoup de temps en vue de pratiquer les théories relatives à leurs études. Ils/elles parlent également des exigences liées aux travaux dans la ferme, des difficultés qu’ils/elles ont rencontrées, les actions qu’ils/elles ont posées, les stratégies qu’ils/elles ont employées afin d’atteindre leurs objectifs ; et de l’escroquerie des marchands de plants et de semences qui trompent souvent la vigilance des acheteurs.es en les mélangeant.

Ce n’est pas tout : ils/elles doivent encore craindre les activités des bestioles et des insectes qui gâtent des récoltes. Ce qui les amène à débattre de l’escroquerie dont usent aussi certains.es travailleurs.es agricoles quand ils/elles disent que leurs produits sont totalement bio alors qu’ils se sont servis de produits chimiques, de pesticides et d’insecticides aux différents stades de leurs travaux.

La dernière présentation de cette journée est celle de la Faculté des Sciences Economiques et Administratives qui fait un rapport sur la cafétéria dont les premiers balbutiements remontent au précédent Semaine Scientifique de l’UNIFA en 2019. Les étudiants.es de cette Faculté avaient alors fait des recommandations en vue de dynamiser la gestion de la cafétéria dans le but de mieux combler les attentes des clients.es et d’en élargir la clientèle.

Ils veulent à travers ce rapport, montrer si oui ou non, des changements ont été apportés à cet effet, si les services se sont améliorés depuis, où en est le degré de satisfaction de la clientèle. Et c’est de ces grands points qu’ils/elles ont discuté parlant des suivis, des évaluations et des nouvelles perspectives pour une fidélisation de la clientèle actuelle et potentielle.

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Photos de la troisième journée

L’Ambassadeur de l’Argentine, Ambassadeur Alberto Faes Cesar
Mme Marie Ener Jean Jacques, Pharmacienne et Professeure d’Université
Concours de dessin/ Cardiologie

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Quatrième journée

Pour un lendemain sans cancer du col en Haïti

‹‹ Pour un lendemain sans cancer du col en Haïti ››, c’est le sujet autour duquel s’articule la toute première conférence de cette quatrième journée de la Semaine Scientifique, l’intervention du Directeur médical de l’Hôpital de l’Université de la Fondation Dr Aristide, le Dr Joseph Edmond Pierre. C’est un sujet porteur d’espoir. Néanmoins, aussitôt ce moment d’ensemble de réflexions entamé, on peut facilement se rendre compte qu’elles s’apparentent presqu’à une utopie.

Car les chiffres empruntent, quant à eux un tout autre chemin : les données qui concernent la population féminine atteinte du cancer du col de l’utérus en Haïti ne sont guère réjouissantes. Selon une étude de l’OMS réalisée en 2021, plus de 10.000 cas de cancer du col de l’utérus ont été recensés en Haïti. En découlent 1.400 cas de décès. D’un autre côté, 90% des femmes sexuellement actives ont déjà une fois au moins contracté une infection.

Face au manque cruel de moyens dont souffre Haïti pour combattre ce sérieux problème, le Dr Joseph Edmond Pierre propose des éléments de solution. Le mieux serait, selon lui, d’encourager la vaccination contre le cancer du col de l’utérus et qu’en Haïti soit adoptée la prévention secondaire par le dépistage ; c’est-à-dire, suivre la stratégie proposée l’OMS qui consiste à dépister les femmes de 30 à 65 ans qui présentent des lésions cancéreuses, les soumettre à un traitement avant que le cancer atteigne le stade de cancer invasif et de cette façon, tenter de pallier aux dégâts de ce fléau qu’est le cancer du col de l’utérus en Haïti.


La présentation du rapport de l’Observatoire haïtien des crimes contre l’Humanité

Après la conférence du Dr Joseph Edmond Pierre, a lieu à la Salle Polyvalente, la présentation du rapport de l’Observatoire haïtien des crimes contre l’Humanité survenus en Haïti par Me Mario Joseph. Ce rapport intitulé ‹‹ Massacres cautionnés par l’Etat : règne de l’impunité en Haïti ›› a été publié le jeudi 22 avril dernier.

Pour exposer les grandes lignes du rapport, Me Mario Joseph parle des différents crimes commis de manière récurrente en Haïti au cours de ces derniers temps, dans les quartiers populaires et des zones spécifiques dits de non-droit dans le pays.

Selon l’Observatoire haïtien des crimes contre l’Humanité, représenté par Me Mario Joseph ce jeudi, les causes de ces massacres seraient d’ordre politique. Par ailleurs, ce dernier dénonce la passivité de l’Etat, des instances concernées par cette situation qui met constamment en branle le pays.

A la fin de sa présentation, il fait le rappel sur la nécessité de l’implication de l’appareil judiciaire pour l’ouverture d’une enquête et de chaque citoyen et citoyenne en vue de mettre fin au cycle du règne de l’impunité en Haïti.



Des saveurs du Droit… pour la bonne marche de la société

Trois groupes d’étudiants.es assurent la suite de la programmation de l’après-midi. Le premier groupe est une délégation de la Faculté de Droit et des Sciences Economiques de l’Université d’Etat d’Haïti. Cette délégation fait la description et l’historicité de leur Faculté fondée en 1940. Elle poursuit en plaidant en faveur de l’importance du Droit dans la régulation des sociétés notamment par la création des lois. Les lois, soutient ce groupe d’étudiants.es, sont créées par la société et les lois régulent la société.

Elle en profite pour montrer la pluralité des carrières auxquelles peuvent mener des études de Droit en citant comme exemples des personnalités haïtiennes influentes ayant une formation en Droit.

Le Droit sert à contrecarrer les dérives de la société. A empêcher les torts, et si trop tard, à rectifier le tir en exigeant réparations et punitions à qui de droit par la voie des procès. La simulation de procès des étudiants.es de la Faculté de Sciences Juridiques et Politiques de l’UNIFA qui fait suite au groupe précédent ne saurait le prouver plus clairement : une femme voulant quitter le pays pour cause d’insécurité est victime d’escroquerie par une autre femme qui dit être responsable d’une agence de voyage alors que cela est faux. L’affaire est portée devant le Tribunal. Et les mesures sont prises à l’égard des deux parties.



De la santé dentaire…

La Faculté d’Odontologie met fin à la programmation de cette quatrième journée avec un exposé sur la prévention en Odontologie ainsi qu’une projection des séances de pratique à la Clinique dentaire de la Fondation Dr Aristide.

Une étude sur la sculpture des dents et les principes d’hygiène buccale comme premières dispositions pour une bonne santé dentaire ont servi de prélude à cette causerie sur les autres moyens de préventions et des modes opératoires en Odontologie : détartrage, prophylaxie, scellement des puits et fissures, orthodontie préventive, freinectomie labiale.

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Photos de la quatrième journée

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Cinquième journée

Après quatre journées dédiées à la réalisation des activités prévues par le calendrier, la Semaine Scientifique touche à sa fin. Jusqu’à aujourd’hui, elles n’ont rien perdu de leur surprenante variété, de leur intensité et de leur rythme fou. Nous en sommes encore témoins ce vendredi 21 mai 2021.



Une conférence sur les richesses du sous-sol d’Haïti boucle la série des interventions

Le vendredi qui clôt ce cycle d’activités spéciales à l’UNIFA commence par une conférence de l’Ingénieur-géologue Claude Prépetit. ‹‹ Les ressources minières et énergétiques d’Haïti : mythe ou réalité ? ›› est le sujet auquel il nous entretient ce matin.

Qui n’a pas déjà entendu dire que le sous-sol d’Haïti regorge de richesses ? Que nous marchons sur l’or en Haïti ? Qu’en disent cependant les résultats des recherches minières se rapportant au sous-sol d’Haïti ?

Avant de déclarer un sous-sol riche ou pas, il importe d’effectuer une recherche minière. Cette recherche pour, d’abord, évaluer les ressources minières et les transformer ensuite en état de richesse passe par trois phases, indique l’Ingénieur Prepetit :

-La prospection qui est la phase stratégique des opérations. A ce stade, les travaux se font en surface. Elle dure deux (2) ans environ.

-La recherche proprement dite qui est la phase des opérations tactiques : Les indices trouvés sont évalués et c’est à ce stade que les chercheurs.es décident si oui ou non, le gisement trouvé vaut la peine d’être exploité. Cette période est plus longue que celle de la prospection et s’étend sur plusieurs années.

-La mise en exploitation du gisement ou mise en portefeuille.

Que révèlent les recherches minières dans le cas d’Haïti ? Le premier rapport sur les ressources minières et énergétiques a été réalisé par l’OEA, lors de l’Occupation américaine en Haïti. Ce rapport relate que les travaux de recherches minières se sont arrêtés à la phase de prospection. Il a qualifié de prometteurs les indices mais aucun gisement n’était trouvé à exploiter dans l’immédiat.

En 1944, la Reynolds Mining Company entama des recherches en Haïti qui durèrent treize (13) ans. Elle revint par la suite en 1982 et passa vingt-cinq (25) années consécutives afin de procéder à l’exploitation minière. A l’issue de ces travaux, elle a extrait douze millions de tonnes de bauxite.

Sept (7) gisements ont été découverts à dâte dans tout le pays : trois (3) gisements d’or et quatre (4) gisements de cuivre. Il y aurait également des potentiels gisements de sable, de gravier, de carbonate de calcium, d’argile et de sel marin, mais il n’y a pas de gisement de pétrole. Aucun de ces gisements découverts n’est de classe internationale.

Les seuls types d’exploitation minière actuels en Haïti sont des exploitations de carrières de sable, de roches et de granulats ; et l’orpaillage dans le Nord-Est du pays par les habitants. Il n’y a plus eu d’investissement minier en Haïti depuis 2013.

Les ressources minières et énergétiques d’Haïti : mythe ou réalité ? L’Ingénieur-géologue Claude Prépetit délimite la question : ‹‹ Ce n’est pas un mythe, c’est une réalité. Mais une réalité qui doit être ramenée à sa juste valeur. ››



Le rythme change sans baisser… jusqu’à la fin

La cafétéria de l’Université s’offre l’ultime partie de la programmation. Une dégustation littéraire en parallèle au menu du personnel y est servie par Shomy et sa bande afin de changer le registre des activités.

Les étudiants.es disposés.es en un demi-cercle chantent avec l’artiste qui n’est pas à son coup d’essai. Elle fait participer son assistance qui ne s’en fait pas du tout prier : ils/elles reprennent avec elle les chansons interprétées, la filment lors des prestations et lui manifestent leur appréciation par de vifs applaudissements et exclamations.

Pendant le déroulement du spectacle, les prix des différents concours organisés par les Facultés ont été remis par Mme Aristide aux gagnants.es pour la plus grande joie et surprise de ceux/celles-ci.

Une manière rafraîchissante de terminer cette riche, intense semaine et d’en attaquer une autre de la même veine : les examens de la deuxième session s’annoncent à l’horizon de la semaine prochaine.

Semaine Scientifique du 17 Mai au 22 Mai 2021/ Diagnostic : Entre Sciences et Escroquerie/ Photos de la cinquième journée

L’Ingénieur-géologue Claude Prépetit

Avis -Club de l’Excellence

Le RECTORAT informe la Direction, les Décanats et le Corps Professoral dans son ensemble, de la mise en place au sein de l’Université, d’un « Club de l’Excellence ».
Cette nouvelle structure est conçue dans l’esprit de valoriser les efforts de nos étudiants des différentes Facultés et École. Le Club de l’Excellence regroupe les étudiants ayant obtenu les plus fortes moyennes semestrielles et/ou annuelles.

Les résidences universitaires de l’UNIFA et le défi d’itinéraire des étudiants.es : un grand remède à un grand mal

Ils/elles sont de plus en plus nombreux.ses à emprunter la voie des études supérieures après avoir bouclé leurs études secondaires. Révolu est le temps où les études supérieures constituait la chasse gardée d’un groupe ou d’une catégorie en particulier. Aujourd’hui, même si les pressions sociales et les conditions défavorables obligent certains.es à renoncer aux longues études, d’autres font fi des constructions et situations sociales, afin d’embrasser cette étape et de fortifier leurs perspectives d’avenir. Cependant, c’est un choix courageux et audacieux par lequel est éprouvé, de multiples façons, quiconque le fait : la question d’itinéraire et des réalités corollaires en sont des exemples parfaits.



La vie estudiantine n’est pas un long fleuve tranquille. La météo ne peut pas prédire à quoi ressemblera tel ou tel jour de la vie d’un.e étudiant.e. La vie estudiantine est faite d’imprévus, de difficultés et de sacrifices, même pour les moins engagés.es, les moins dévoués.es et les ‹‹ là par défaut ››. Il arrive également que le processus d’intégration d’un.e étudiant.e dans le milieu universitaire s’opère lentement et qu’il/elle se rende compte que ses intérêts sont tournés vers d’autres études que celles qu’il/elle a choisies.

Outre les difficultés personnelles auxquelles peut faire face un.e étudiant.e, l’étudiant.e haïtien.ne confronte également celles liées au contexte sociopolitique d’Haïti. Ses études sont bien souvent modelées par le fonctionnement du pays et les problèmes qui en découlent. Ainsi, à côté du haut coût de la vie et de la situation économique précaire, des conditions sanitaires déplorables, du manque de structures et de services, de l’angoisse et de l’anxiété, l’étudiant.e haïtien.ne doit tout au long de ses études combattre un ennemi redoutable qui peut considérablement influencer sa performance académique : son défi d’itinéraire.

Plusieurs facteurs peuvent combiner pour faire du trajet de l’étudiant.e un frein au bon déroulement de ses études. En Haïti, faire le trajet en transport public n’est jamais une partie de plaisir : il/elle est bridé.e par l’inconfort et l’embouteillage qui a le pouvoir de le faire rater ses cours et examens et réduire sa disposition et son attention une fois sur place.

L’étudiant.e anxieux/se, stressé.e, fatigué.e, pressé.e par le temps et la distance en sortant et rentrant chez lui/elle fait plus d’efforts pour briller dans ses études qu’un.e autre qui n’a pas ces soucis comme actif. Pour la première catégorie, c’est un combat sans merci qui se livre entre difficultés du trajet et motivation. Un sondage réalisé permet d’ailleurs de voir qu’en termes de disposition à la révision des cours à la fin de la journée, la barre dépasse rarement la moyenne pour ce groupe d’étudiants.es :

X, (2ème année, Ecole de Physiothérapie) : ‹‹ Sur une échelle de 1 à 10, je dirais 2. Après les cours, je peux passer jusqu’à une heure sans pouvoir trouver un tap-tap pour rentrer chez moi. A mon arrivée, vers les 19 heures, je ne peux rien faire de plus. ››

X, (1ère année, Ecole de Physiothérapie) : ‹‹ 6. Je me lève généralement à 4 heures pour me rendre en cours. En arrivant chez moi, je suis toujours fatiguée. Alors je révise mes notes à l’Université durant les heures creuses. ››

Y, (4ème année, Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé) : ‹‹ Je me lève à quatre heures le matin pour me préparer car le trajet est long et fatiguant. Il l’est encore plus lors du retour à cause de l’embouteillage. Je suis 80% disposée à suivre mes cours mais pour les réviser en rejoignant mon domicile, je me tiens à 6 sur l’échelle. ››

Y, (2ème année, Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé) : ‹‹ Le trajet m’épuise. Je m’en tiens à 5. ››

Y, (1ère année, Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé) : ‹‹ 6. J’arrive tard chez moi parce que parfois je suis obligée de rentrer à pied et je n’ai pas l’électricité. Alors je me lève à 3 heures du matin pour réviser mes notes et me préparer. ››

Y, (4ème année, Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé) : ‹‹ Il m’est souvent difficile de trouver un tap-tap : je fais alors une partie du trajet à pied. Dans ces cas-là, j’arrive à des heures tardives. Je dirais donc entre 5 et 7. Tout dépend de l’heure à laquelle j’arrive. ››

Y, (4ème année, Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé) : ‹‹ Je me lève à quatre heures pour partir tôt et éviter ainsi les embouteillages. Quand le trafic est fluide, je passe environ une heure et quinze minutes en tap-tap, mais cela n’arrive pas souvent. Le parcours est long et inquiétant. Je rentre tard. Sur une échelle de 1 à 10, je me situe à 5 pour réviser mes cours. ››



Pour la seconde catégorie, la situation est un peu moins compliquée à gérer. La durée du trajet n’étant pas trop longue, ces étudiants.es se fatiguent moins et sont plus disposés.es à répondre aux exigences académiques :

X, (1ère année, Faculté des Sciences Economiques et Administratives) : ‹‹ Mon corps ne se fatigue pas trop durant le trajet. Je me sens en forme pour étudier en rentrant chez moi. Je dirais 7. ››

Y, (1ère année, Ecole de Physiothérapie) : ‹‹ 8. J’ai un parcours qui dure environ 40 minutes même s’il est quelques fois un peu difficile. ››



Consciente que l’itinéraire des étudiants.es représente un enjeu pour leur performance académique, soucieuse de participer de la meilleure manière possible à leur formation et leur épanouissement, l’UNIFA leur ouvre les portes de ses résidences universitaires, situées non loin de notre Campus. L’étudiant.e qui y séjourne n’a donc plus à craindre les monstres du trafic : l’embouteillage, la fatigue et le manque de temps. Il/elle y trouve le calme nécessaire aux études et aux activités intellectuelles. Plus que de former des professionnels et professionnelles, l’UNIFA choisit de contribuer au bien-être des jeunes qui la choisissent.

Photos de la journée de commémoration du 218ème anniversaire de la mort de Toussaint L’Ouverture au 13ème Jeudi de l’UNIFA

Des étudiants.es portant une banderole avec l’inscription ‹‹ Hommage à Toussaint Louverture ››
Me Joselaine Asique Magnan, doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques, introduisant le panel du treizième Jeudi de l’UNIFA
Le panel du treizième Jeudi de l’UNIFA : Les anciens/nes étudiants.es Wanex Dumé, Edwin Alcide, Shaddaëlle Bolière, Guessy Marechal, Lorens Fayo Louimé et Me Island Gouin
Lorens Fayo Louimé, lors de son intervention, lisant un extrait de Haïti – Haitii /Pwezi filozofik pou dekolonizasyon mantal du Président de l’UNIFA
Etudiante de la Faculté de Médecine posant sa question aux intervenants.es

Hommage à Toussaint Louverture : Commémoration du 218ème anniversaire de la mort de Toussaint Louverture au 13ème Jeudi de l’UNIFA

Dans la matinée du 7 avril 1803, après huit mois de captivité et une santé chancelante, sous la demande d’un gardien, un chirurgien et son assistant allaient faire le constat de la mort du Précurseur de l’Indépendance d’Haïti. Que devons-nous retenir de la vie et de la mort de Toussaint L’Ouverture ? La haute portée pour notre nation de cette figure, symbole de courage, a été la toile de fond du panel de ce Jeudi de l’UNIFA, à l’Auditorium de l’Institution.


Six anciens/anciennes étudiants.es de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’UNIFA, introduits.es par la Doyenne de ladite Faculté, Me Joselaine Asique Mangnan, ont constitué le panel de ce jeudi 8 avril 2021. Panel qui a rendu un bel hommage à la vie et à la mort de ce grand homme qui a marqué son temps, qui a marqué le monde, qui a marqué l’Histoire et dont la mémoire perdurera car les idéaux qu’il prônait vivant sont universels et se conjuguent à tous les temps.


Wanex Dumé, Edwin Alcide, Shaddaëlle Bolière, Guessy Marechal, Lorens Fayo Louimé et Me Island Gouin ont pris la parole pour parler de Toussaint L’Ouverture, de sa vision et de son combat contre le système colonialiste et esclavagiste instauré à Saint-Domingue. Système dont l’un des piliers est le Code Noir, lois visant à régler les problèmes qui découlent de l’esclavage dans les colonies de la Métropole française, tout en mettant en place des outils pour renforcer le problème lui-même : l’esclavage et la colonisation. C’était donc une situation qui contredisait ces supposées tentatives de solutions.


‹‹ Haïti – Haitii /Pwezi filozofik pou dekolonizasyon mantal ››, livre publié par le Président de l’UNIFA, le Dr Jean-Bertrand Aristide, en 2010, a servi de texte de référence à ces étudiants.es pour leurs réflexions autour de la question du Code Noir, qui se voulait par moment humain, prétextant se pencher sur le sort des esclaves noirs de Saint-Domingue tandis qu’il est, dans son ensemble, un aiguillon dans les yeux et un fouet dans leurs côtés.


Tous et toutes ont rappelé la fougue et l’intelligence avec laquelle Toussaint L’Ouverture a voulu vaincre les actions posées à l’encontre des Noirs esclaves de Saint-Domingue, alors que son épingle était au préalable tirée du jeu et qu’il bénéficiait du statut quo. Ils ont aussi fait retentir son dernier cri, cri de foi en un avenir digne pour les noirs qui rêvent de leur liberté arrachée par les colons : ‹‹ En me renversant, vous n’avez abattu que le tronc de l’arbre de la liberté des noirs de Saint-Domingue. Il repoussera par ses racines car elles sont profondes et nombreuses ››.

Photos de la Graduation du 14 mars 2021

Les porteurs de drapeaux qui ont débuté la procession d’entrée des récipiendaires à l’auditorium
La chorale de l’UNIFA, prête à entonner l’hymne national et celui de l’UNIFA, après l’entrée des récipiendaires
Le Président de l’UNIFA lors de son discours de circonstance
Une vue partielle des récipiendaires écoutant avec attention le discours du Président de l’UNIFA
Un récipiendaire de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé recevant son parchemin des mains du Président de l’UNIFA
Une grande joie pour Sabienty Michel, récipiendaire en Sciences infirmières, de recevoir son parchemin des mains du Président de l’UNIFA
Un récipiendaire de l’Ecole de Physiothérapie recevant son parchemin du Président de l’UNIFA
Shaddaëlle Rose Marie Bolière, récipiendaire de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques, toute souriante, reçoit son diplôme des mains du Président de l’UNIFA
De la gauche vers la droite : les gradués.es en Médecine et Sciences de la Santé, les graduées en Sciences infirmières, ceux/celles en Physiothérapie et en Sciences Juridiques et Politiques (vue partielle du podium) ayant reçu leurs parchemins
‹‹ Ne soyez pas surpris si ce matin, je parlerai de la neuroscience du bonheur. En effet, de l’intelligence humaine à l’intelligence artificielle, les scientifiques nous révèlent un potentiel cognitif remarquable. Nos facultés mentales nous ouvrent un monde nouveau où, jour après jour, nous pouvons acquérir de nouvelles connaissances. Au moment où chez nous, la dictature accélère la descente aux enfers, la neuroscience du bonheur nous interpelle. Chers Récipiendaires, vous rêvez sans doute de bonheur et de plénitude. C’est normal. Il y a relativement peu de temps, vous étiez en première année. Votre intelligence et votre détermination vous ont conduits à ce sommet de gloire. Et oui, voilà, aujourd’hui, vous terminez ce cycle d’études en apothéose ›› : Extrait du discours du Président de l’UNIFA.
Le Dr Dodley Sévère, Responsable des Affaires Académiques, qui leade les prestations de serment des récipiendaires
Prestation du serment d’Hippocrate des récipiendaires de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé
Prestation du serment de Florence Nightingale des récipiendaires de la Faculté des Sciences infirmières
Prestation de serment des récipiendaires de l’Ecole de Physiothérapie
Prestation de serment des récipiendaires de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques
Les docteures Menvy Benjamen et Mitchana Alexandre, lauréates de leurs promotions
La Doyenne de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé et Ex-ministre de la Santé, Dr Daphnée Benoît Delsoin, remettant le flambeau au gradué sous les yeux des docteurs Graciela Limonta et Jean Mary Aubourg
(De droite à gauche) Miss Christyne E. Lalanne et Miss Marie Lorence L. Cenare, lauréates de leurs promotions
La directrice de la Faculté des Sciences infirmières, Miss Marjorie Gaussaint, accompagnée du Dr Aristobule Deverson, remettant le flambeau à la graduée
Dr Luis Damar, à ses côtés, Mme Thamar Michel, la Coordonnatrice de l’Ecole de Physiothérapie, qui tend le flambeau à la graduée Claire Marie Stéphanie Jackson
Larson Eder Achemé et Ricardo Bien-Aimé, lauréats de leurs promotions à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques
Quelques membres du Conseil d’Administration de l’UNIFA : (De gauche à droite) Ing. Raphaël Hosty, Arch. Pascale Carrière, Dr Jessy Pierre, Dr Maryse Narcisse, Dr Maryse Lévêque, Mme Mildred Aristide
M. Joël Edouard Vorbe, membre du Conseil d’Administration de l’UNIFA
‹‹ A la graduation du 31 mars 2019, le Révérend Père Eric Jasmin, Provincial des Pères de Sainte Croix, avait souhaité voir la naissance de notre Faculté d’Agronomie. L’écho de ce beau souhait a retenti au sein du Conseil d’Administration. En Octobre 2019, avec beaucoup de joie, UNIFA a ouvert sa Faculté d’Agronomie.
Aujourd’hui, nos futurs Agronomes ont le plaisir d’offrir au Révérend Père David, aux musiciens de l’Orchestre Philarmonique Sainte Trinité, aux membres du Conseil, du Rectorat et des Décanats, un cadeau spécial. Il s’agit des produits de la ferme agricole ›› : Extrait du discours de Mme Mildred Aristide.
Les produits récoltés par les étudiants de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture de l’Université
Les maîtres de cérémonie : Mme Christelle de Delva et M. Jean Jul Désauguste
Remise de cadeaux aux lauréats.es de promotions sous le regard attentif du Corps professoral
Le Révérend Père Nérée, Responsable de Discipline
Ingénieur Evens Toussaint, doyen de la Faculté de Génie et d’Architecture, Père David César, Chef de l’Orchestre Philarmonique Sainte-Trinité et Dr Daphney Benoît, vice-doyenne de la Faculté d’Odontologie
Sabrina Chéry, étudiante en Odontologie, gravit le podium afin de recevoir son cadeau
Mme Yakelen Almora Alongo, professeure d’Espagnol à l’UNIFA, capturant un moment de la cérémonie
L’Orchestre Philarmonique Sainte-Trinité
Gâteaux aux couleurs du bicolore de l’UNIFA
Photo de groupe des gradués.es de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques
Photo de groupe des deux promotions sortantes en Médecine sous les couleurs du ciel, de l’UNIFA et de la joie

Troisième cérémonie de collation de diplômes à l’UNIFA

L’UNIFA a célébré en grande pompe la troisième cérémonie de collation de diplômes de ses deux dernières promotions le dimanche 14 mars 2021.



Sur la cour du campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide, tout fait penser à la particularité de ce jour pour cet établissement d’Enseignement supérieur. Les différents représentants de la presse télévisée, les nombreux/ses photographes prêts.es à immortaliser cet événement de première importance pour les récipiendaires des facultés en général et pour l’UNIFA en particulier, les larges tentes immaculées qui remplacent les habituels bancs verts, la foule des parents et proches enthousiastes : tout a été mobilisé afin de donner un sens particulier à cette cérémonie qu’attendaient avec impatience et joie les deux dernières promotions d’étudiants.es de l’UNIFA. Cette cérémonie de collation de diplômes empêchée l’année dernière par les assauts de la covid-19 a été fastueusement réalisée ce dimanche 14 mars 2021, avec la participation de plusieurs centaines d’invités.es.
Ce jour porteur de bonheur avait été attendu, rêvé par ces étudiants.es, planifié par le Conseil d’Administration de l’Université et finalement, il était arrivé : deux promotions allaient en sortir diplômées d’un cycle d’études complété avec brio, pour la plus grande joie et fierté de celles-ci, des parents qui voient l’aurore distribuer ses vives couleurs sur des années de dur labeur, et de l’UNIFA, dont la mission est de donner à ces jeunes qui la choisissent une formation de qualité rehaussée par les valeurs citoyennes, d’investir dans l’Humain par l’Education, comme dirait le Président de l’Université, le Dr Jean-Bertrand ARISTIDE.




A l’occasion de cette manifestation de bonheur, le Dr ARISTIDE a prononcé un discours qui a suscité une forte vague d’intérêt à travers les réseaux sociaux (lien pour lire le texte intégral : https://unifa-edu.info/contenu/discours-du-president-de-lunifa-le-dr-jean-bertrand-aristide-a-loccasion-de-la-ceremonie-de-collation-de-diplomes-le-dimanche-14-mars-2021/) et les médias qui transmettaient en direct. Un discours rappelant les liens forts qui existent et continueront à exister entre les unifaristes et l’UNIFA, leur maison ; qui les exhorte à toujours se laisser guider avec dignité et fierté par le cœur, le bien et l’intégrité tout au long de leur vie et de leur carrière professionnelle quelques soient les circonstances, même conditionnées par la situation sociopolitique du pays.




Il n’a pas non plus hésité à faire l’éloge des parents pour leur implication dans la réussite de ces derniers depuis leur naissance, jusqu’à ce jour marqué par l’aboutissement et le début d’étapes significatives dans leur vie. Un discours qui marquera pendant longtemps les esprits des gradués.es et de toute l’assistance présente à cette belle célébration.




Sous les yeux brillants de fierté de ces parents et amis.es, 397 étudiants.es de l’Université de la Fondation Dr Aristide dont 293 en Médecine, 38 en Physiothérapie, 34 en Sciences infirmières et 32 en Sciences juridiques et politiques, ont ensuite défilé en toges bleues, blanches et noires afin de recevoir de la main du Président de l’UNIFA leurs parchemins.




Des étudiants.es ont pris la parole au nom de leur Faculté et Promotion respectives. Leurs discours étaient plus qu’une suite de mots et de phrases, c’était une manifestation de réjouissance et de reconnaissance envers leurs parents pour tous les sacrifices qu’ils ont pour eux/elles consentis et tout le support qu’ils leur ont apporté ; de satisfaction d’être parvenus.es, guidés.es par l’UNIFA, à récolter les fruits de tous ces efforts et de sentir qu’ils/elles ont en main les cartes leur permettant d’aller à la rencontre de leur carrière professionnelle qu’ils/elles ont fait le serment solennel d’exercer au ton de l’éthique, de l’honnêteté, de l’empathie et de l’amour.

Discours du Président de l’UNIFA, le Dr Jean-Bertrand ARISTIDE, à l’occasion de la cérémonie de collation de diplômes, le dimanche 14 mars 2021

Graduation 2021



Distingués Membres du Conseil d’Administration de l’UNIFA, Distingués Membres du Rectorat, des Décanats et du Corps professoral, Rév. Père David César, Chef de l’Orchestre philarmonique Sainte Trinité, Distingués invités, chers parents, Chers amis du 11me Département, Très chers Récipiendaires, très chers Unifaristes, Chers amis de la presse, Mesdames, Messieurs,



Comme deux notes de musique à l’octave, la voix de Minouche et la mienne s’unissent pour vous saluer et vous adresser une cordiale bienvenue à cette troisième cérémonie de graduation. L’année dernière, face à la propagation du coronavirus, nous avons dû annuler cette célébration de collation de diplômes. Ce matin, enfin, enfin, que nous sommes heureux de nous retrouver en votre compagnie ! Aussi, avons-nous le plaisir de saluer votre contribution à la formation de nos 3103 étudiants par un applaudissement chaleureux.
Si la passion habite près de l’amour, UNIFA habite au cœur de Minouche. Elle s’y donne avec amour et passion. A nous aussi de lui témoigner notre gratitude par ce concert d’applaudissements. De ces innombrables rayons d’amour qui émanent des membres de notre Conseil d’Administration, je suis témoin. De leur passion pour la croissance de l’UNIFA, je suis un témoin privilégié. Qu’il me soit permis de vous adresser, distingués Membres du Conseil, nos sincères remerciements.
Jouissant d’une excellente réputation, les Membres du Rectorat, les Doyens et les Professeurs incarnent des valeurs précieuses. Leur savoir scientifique illumine la Faculté de Médecine, la Faculté des Sciences Infirmières, la Faculté d’Odontologie, l’Ecole de Physiothérapie, la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques, la Faculté de Génie et d’Architecture, la Faculté des Sciences Economiques et Administratives, la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture, la Faculté d’Education Permanente.
Comme le cerveau consomme 20% de l’énergie du corps, les Unifaristes voudraient consommer 80% de l’énergie cérébrale du Corps professoral. Puissent nos cœurs et nos mains exprimer à nos Profs, notre profonde gratitude ! Nous adressons également un merci particulier aux centres hospitaliers qui accueillent nos étudiants pour les stages pratiques, aux Conseillers juridiques et à vous tous qui contribuez à la croissance de notre communauté universitaire. Donner le goût du bonheur aux enfants, tel est l’un des plus beaux rêves des parents. L’éclosion de ces rêves de bonheur s’accompagne d’une symphonie de gratitude que nous entonnons à l’endroit de tous les parents.



Depi nou ti bebe nan tete, lèt manman n kòmanse ban nou myelin pou ogmante siyal kominikasyon kap fèt nan sèvo n. San myelin, siyal la fè 2 mèt chak segonn. Avèk myelin, li fè 120 mèt chak segonn.
Manman n te fòtifye entèlijans nou ak bon jan lèt. Jodia, nap ponpe lèt rekonesans pou nou ofri yo, Pandan nap felisite tout papa ak tout lòt paran ki sakrifye yo pou edukasyon pitit yo. Bravo pou nou !
L’UNIFA s’unit à vous tous, chers parents, pour donner le goût du bonheur à vos enfants. Ne soyez pas surpris si ce matin, je parlerai de la neuroscience du bonheur. En effet, de l’intelligence humaine à l’intelligence artificielle, les scientifiques nous révèlent un potentiel cognitif remarquable. Nos facultés mentales nous ouvrent un monde nouveau où, jour après jour, nous pouvons acquérir de nouvelles connaissances. Au moment où chez nous, la dictature accélère la descente aux enfers, la neuroscience du bonheur nous interpelle.
Chers Récipiendaires,
Vous rêvez sans doute de bonheur et de plénitude. C’est normal. Il y a relativement peu de temps, vous étiez en première année. Votre intelligence et votre détermination vous ont conduits à ce sommet de gloire. Et oui, voilà, aujourd’hui, vous terminez ce cycle d’études en apothéose. Compliments ! Bravo ! Plus d’un seraient tentés de vous couronner rois et reines de cette célébration. Voyons ce qu’en disent vos parents, vos profs et amis… Etes-vous d’accord ? Pour? Contre? … Alors, nos rois et nos reines, applaudissons-les unifaristement ! Encore une fois, félicitations à nos 397 Récipiendaires dont 32 en Droit, 34 Infirmières, 38 Physiothérapeutes et 293 Médecins.
Chers Unifaristes,
Le bon étudiant qui rêve du bonheur, aime écouter son cerveau lui dire : sois conscient de ton inconscient. Notre cerveau reptilien existe depuis 400 millions d’années. Chaque être humain a en lui un reptile agressif, impulsif, égoïste et sauvage, toujours prêt à s’enfuir ou à se battre pour sa survie. Fight or flight. Les fonctions vitales, telles que respiration, éveil, sommeil sont assurées par cette première structure de notre cerveau. Tandis que la partie centrale, dite cerveau limbique, gère nos émotions depuis environ 65 millions d’années, la partie supérieure ou néocortex, siège de notre intelligence, n’a que 3,6 millions d’années.



Pour être plus clair, permettez-moi de passer de la phylogénétique à cette métaphore :
Sèvo a se tankou yon kay ki gen 3 etaj. Premye etaj la genyen 400 milyon ane. Dezyèm nan genyen 65 milyon ane, Twazyèm nan genyen 3,6 milyon ane.
Au-delà du poids de leur âge, le reptile inconscient, le cerveau limbique et le néocortex exerceront une influence décisive sur chacun de nous. Ces trois composantes cérébrales sont inextricablement liées au secret du bonheur. Nous comprenons mieux cette chimie du bonheur en observant les mécanismes de la neuro-imagerie fonctionnelle. Celle-ci, en effet, met en évidence les changements d’activité cérébrale associés à nos prises de décision. Les choix rationnels ne sont pas toujours déconnectés du circuit cérébral de la récompense incluant le préfrontal, le noyau accumbens et l’aire tegmental ventral. En général, notre cerveau se prépare à déclencher un mouvement avant qu’on prenne la décision de l’accomplir. Votre cerveau décide avant vous et ça se passe en moins de 300 millisecondes. Les décisions sont donc prises subconsciemment mais la conscience peut exercer son droit de veto.
Chers Récipiendaires,
Face à la tentation de placer le dollar au-dessus de l’humain, violant ainsi le serment d’Hippocrate ou l’éthique professionnelle, que votre conscience exerce son droit de véto ! Face à la tentation d’être heureux en rendant l’autre malheureux, reproduisant ainsi le modèle des néocolons, que votre conscience exerce son droit de véto ! Avec fierté, il faut refuser d’obéir à l’inconscient colonial.
Que d’hôpitaux, que d’infrastructures sanitaires on aurait pu construire avec les milliards de Petrocaribe ! Le droit à la santé est inhérent à la dignité humaine. Défendre la dignité haïtienne face à l’inconscience coloniale est un devoir de conscience. Science sans conscience est un axone sans influx nerveux.
Il est temps que la conscience morale aille au-delà des influx de la proprioception inconsciente. Outre les massacres perpétrés à La Saline, Tokyo, Bel-air, Cité Soleil, Grand Ravine, Carrefour Feuille, Mariani, Croix-des-Bouquets, Arcahaie, Savien…, le nombre d’assassinats et de kidnappings enregistrés par jour nous laisse l’impression que la conscience morale des assassins est véhiculée par les tractus spino-cérébelleux vers le cervelet où l’information demeure inconsciente. Kidonk, nivo konsyans moral la tèlman ba, ou ta di :
Enfòmasyon an pase nan mwèl epinyè a, Li mache vi n chita dèyè tèt la, nan sèvelè a. Sèvelè a ou ti sèvo a se tankou yon manadjè Kap dirije, kontwole tout mouvman kap fèt. Là se trouvent des informations inconscientes.



Chers Récipiendaires,
Ce rappel neuro-physiologique nous exhorte à être conscients de notre inconscient. Chaque Unifariste doit maintenir la maîtrise de soi pour le plein épanouissement de ses ressources psychiques. Ceci, bien sûr, favorisera l’équilibre à établir entre le bien-être hédoniste, pôle du plaisir et le bien-être eudémoniste, pôle du bonheur. Dans ce contexte, le plaisir que vous éprouvez en exerçant votre profession peut entrainer une augmentation de l’activation du striatum ventral dont les faisceaux de fibres, vous le savez bien, font partie des ganglions de la base.
Lè w woule balon gradyasyon an sou teren lanmou sa a, ou pa bezwen rele Lionel Messi pou w gen 6 balon dò. Balon dò pa ou yo pap soti nan FIFA men nan UNIFA. Kidonk, sous lanmou Inivèsite w la pap janm sèch pou ou.
Nap toujou avè w chak fwa yon abit sifle w awoutsay Paske ou kanpe twò lontan anndan kare chomaj la. Nap toujou avè w lè wap tann abit la fin verifye nan var.
Bò isit, var ap toujou avèg paske sistèm nan pwograme l pou elimine ekip majorite a.
Pou nou rive depwograme òdinatè sa a, Il faudra, en vérité, une révolution d’amour.



Chers Récipiendaires,
L’Amour de son peuple et l’amour professionnel cristallisent une source de bonheur. Celui ou celle qui souhaite s’épanouir pleinement, éprouvera le désir de donner et de se donner. Générosité et bonheur sont corollaires. L’Unifariste généreux sera heureux. En fait foi l’augmentation de l’activation du striatum au moment d’un don : don d’argent ou don de son temps pour défendre les opprimés ; don de sang ou don de soi pour la prise en charge des malades. Car, chers amis, donner est plus qu’un verbe. C’est un indice de bonheur. Cette vérité est aussi le reflet de la conscience sociale.
En 1804, cette conscience sociale s’était exprimée par la révolution des esclaves. En 2019, le réveil de cette conscience s’est exprimé par le rejet du système néocolonial. Depuis le 7 Février 2021, cette conscience sociale s’oppose diamétralement à la dictature. Toujours debout malheureusement, le tronc cérébral du système néocolonial est rongé par le cancer de la corruption.
Par analogie, je disais que le tronc cérébral du système néocolonial est rongé par le cancer de la corruption. Il ne peut pas produire le taux nécessaire de sérotonine car les noyaux du raphé ont été détruits par le poison du mensonge.



Conséquences : baisse du taux de sérotonine donc augmentation de la criminalité, désinhibition de la violence institutionnelle, irruption des instincts sauvages et des pulsions reptiliennes. Face à la multiplication des gangs et au fléau du kidnapping, l’inconscience coloniale se révèle de plus en plus toxique. D’où la propagation non du coronavirus mais du ‘ coloniavirus.’ Et donc, du 29 Février 2004 à nos jours, la descente aux enfers se poursuit aveuglement.
Rappelons-nous l’histoire des rats cohabitant pacifiquement avec des souris dans une cage. Une fois la sérotonine des rats épuisée, ils ont dévoré toutes les souris. Et ceci, aux yeux des chats dont vous suivrez les regards.
Comment éviter le pire ? Il faut absolument passer du locked in syndrome à une transformation du système néocolonial.
Volonte Toussaint Louverture se pou peyi a
Pat rete tout tan lòk nan sistèm esklavaj la.
Se pou sa nan jounen ki te 22 mas 1801 an,
Li te otorize Borgella òganize yon reyinyon
Pou te kòmanse ekri Konstitisyon 1801 an.



Soti mwa mas 1801 rive jodia, nan mas 2021,
Sa fè 220 lane depi nap chèche kijan pou n pa
Rete lòk anndan zantray sistèm esklavaj sa a.
Atik 3 Konstitisyon 1801 an te deja endike n
Bon direksyon pou nou pran an, lè l di : Isit,
Pa dwe gen esklav, fòk tout moun viv lib.



Lespri Tousen an te klè : li di Tout moun.
Donk, se pa sèlman yon ti minorite zwit
Ki pran pri Nobèl nan kidnape ni leta a,
Ni richès piye a, ni dwa Pèp Ayisyen an
Genyen pou l soti nan lanfè kolonyal sa a.



Majorite moun debyen nan Peyi a admèt
Ke pwason koripsyon an pouri nan tèt.
Majorite entèlektyèl Ayisyen kap viv isit
Ou aletranje montre yo swaf yon lòt Ayiti.



Plizyè milyon sitwayen isit kòm lòt bò dlo
Deja mande pou chodyè koripsyon an chavire.
Jènès ayisyèn ki pap janm bliye petrokaribe a,
Pap janm bouke egzije chanjman sistèm nan.



Plis sewòm patriyotik la kontinye mache
Nan san nou tout Ayisyen ki renmen Ayiti,
Plis nap antann nou pou nou delivre Peyi a.



Le bonheur d’Haïti dépend
Des Héros et non des zéros.
Les zéros adorent la dictature.
Les Héros préfèrent la démocratie.



Aimez-vous les zéros ?
Aimez-vous les zéros barrés ?
Aimez-vous les Héros ?
Alors, ‘EWO BARE ZEWO.’



Oui, après 220 années, il faut cette transition de rupture devant nous conduire au salut public. Salut public pour le bonheur de tous les Haïtiens et de toutes les Haïtiennes. Cette route du bonheur, Toussaint l’a ouverte; d’où son nom Louverture ! Dessalines l’a suivie jusqu’au Pont Rouge où son sang irrigua la voie royale de la liberté. Fièrement, Christophe nous en parle à travers la Citadelle. Au-delà du temps, que l’esprit de ces Héros nous illumine et nous guide vers la nouvelle Haïti ! Que ces Génies de la race revitalisent l’unité des Fils et des Filles de la Patrie commune !

En hommage aux Pères Fondateurs de notre Patrie, A l’UNIFA, le bonheur s’écrit au tableau d’honneur. A l’UNIFA, le bonheur s’écrit toujours au singulier Mais s’épelle : Bonheurs car, il se donne aux autres. A l’UNIFA, le bonheur s’écrit toujours au singulier Mais s’épelle : Bonheurs car, il est amoureux du pluriel.
Cet amour inclut, bien évidemment, la construction de votre hôpital universitaire. Achevé à 90%, votre hôpital de 5040 m2, bientôt, vous ouvrira les portes de son cœur.



Chers Récipiendaires,

Que les ondes de bonheur générées par votre graduation se propagent à travers le pays et la diaspora haïtienne ! Que les cellules gliales de votre Alma Mater demeurent cette source où vous puiserez la myéline du bonheur !

A vous tous que j’aime beaucoup, Succès, Bonheur ET BEAUCOUP D’AMOUR !



Merci.

Dr Jean-Bertrand Aristide






La Polyclinique de la Fondation Dr. Aristide condamne énergiquement l’acte barbare d’assassinat perpétré contre sa collaboratrice Edeline Mentor Louis.




 

Mère de deux enfants, Miss Louis était une infirmière compétente, dynamique et soucieuse.

Elle a été assassinée le mardi 02 Mars 2021 dans l’après-midi, après avoir effectué une transaction dans une banque commerciale de la Route de frère. Polyvalente, chaleureuse et courtoise envers les patients, Miss Louis a laissé de bons souvenirs à ses collaborateurs et collaboratrices. Elle a toujours servi sa communauté consciencieusement.


Au nom de tout son personnel, la Polyclinique de la Fondation Dr Aristide présente ses plus sincères condoléances à la famille de la défunte, à ses amis et tous les proches affectés par ce deuil.


Que son âme repose en paix !!




Polyclinique de la Fondation Dr Aristide

Photos des examens de la première session (2020-2021)

Un groupe d’étudiantes en Médecine entre révisions et rires à l’approche des examens.

Des étudiantes en Sciences Infirmières à fond dans leurs derniers moments d’échanges avant les épreuves.
Cet étudiant révise ses notes en toute tranquillité, près de l’auditorium du campus de l’UNIFA.
Etudiants.es en Médecine s’apprêtant à entrer en salle d’examens.
Durant les examens à l’auditorium de l’UNIFA.

Fin des examens à l’UNIFA

 

 

Ce vendredi 26 février annonce la fin de la période d’examens pour la plupart des étudiants.es de l’UNIFA. Durant toute cette semaine, ils/elles ont eu à tester leurs connaissances, leur niveau de compréhension des cours dispensés, des recherches effectuées et des documents consultés.


Le moment est venu pour eux/elles de fournir un dernier effort et de boucler la boucle. Il ne leur faut que quelques heures supplémentaires afin de reprendre leur souffle.

La semaine prochaine, ils/elles salueront le retour à la normalité des horaires de cours et des activités de l’université.

 

Les examens volent la vedette au Jeudi de l’UNIFA ce jeudi

 

 

Le programme des Jeudis de l’UNIFA n’a pas eu lieu ce 25 février 2021 à cause du déroulement des examens à l’Université.

 



Très tôt ce matin, sept heures sonnées, les étudiants.es déjà éparpillés.es sur le campus se préparent aux examens, allant et venant, les documents comme seuls objets occupant leur champ de vision. L’heure des Mathématiques, de l’Espagnol, de la Physiologie et de la Neurologie s’approchait des étudiants.es de l’Ecole de Physiothérapie ; l’Anglais, l’Anatomie, la Parodontologie et l’Endodontie jaugeraient dans un moment encore ceux/celles de la Faculté d’Odontologie ; les apprenants.es en Faculté de Génie et d’Architecture marchaient droit vers la Chimie, l’Analyse des Structures, les Structures métalliques.

Chacun.e d’entre eux/elles allait, de toute façon, quelque part dans l’une des grandes salles du campus, croiser la route d’examens qui l’évalueraient. A les voir si investis.es dans la révision de leurs documents, on croirait bien qu’ils/elles ont oublié quel nom porte ce jour.

En temps normal, ils/elles ont rendez-vous tous les jeudis à l’auditorium de l’université afin d’assister et de participer au programme des Jeudis de l’UNIFA. Cependant, à cause des examens en cours, cette activité académique n’a pas pu avoir lieu.

Les Jeudis de l’UNIFA sont une série de conférences instaurée par l’Administration de l’université dans le but de susciter la curiosité et l’intérêt de la communauté estudiantine sur des sujets d’intérêt général. C’est également une occasion pour ces etudiants.es d’acquérir des connaissances scientifiques qui ne sont pas toujours de leur ressort : A titre de rappel, l’université héberge en son sein neuf facultés spécifiques. Les sujets d’intervention variés constituent de ce fait, l’ouverture sur un champ scientifique pour les uns.es et pour les autres et une énième visite à ce même champ pour d’autres.

Les intervenants.es aux Jeudis de l’UNIFA sont des figures reconnues et respectées dans leur domaine qui usent de leur savoir et de leur savoir-faire afin d’entretenir les jeunes unifaristes sur des questions d’actualité.

Ainsi, lors de la récente appréciation de notre monnaie locale, la Gourde, le Dr Eddy Labossière, économiste, leur a exposé les mécanismes d’appréciation et de dévaluation des monnaies de façon générale pour mieux les faire comprendre ce qui explique les récurrentes dévaluations et la soudaine appréciation d’alors de la Gourde. La professeure à l’Université, Pharmacienne de formation, Marie Ener Jean-Jacques, a présenté une conférence en décembre dernier, en plein contexte de la covid-19, sur l’importance de la Médecine traditionnelle en Haïti ; et celle pour commémorer la journée du 12 janvier 2010 a été présentée par l’Ingénieur Claude PREPETIT, sur les avancées et les manquements relatifs aux risques sismiques en Haïti.

 

 

 

Troisième journée d’examens à l’UNIFA : A la rencontre des étudiants.es

 

Dans le couloir menant à la bibliothèque de l’Université, Snaïdy SAINTABLE, Keldine CHERY, Abigaïl S. DARIUS et Kimberlyne ST LOUIS, un groupe d’étudiantes en 2ème année a la Faculté des Sciences économiques et administratives (FSEA), se sont réunies. Elles sont rejointes un peu plus tard par leur camarade Fernando Buteau Fils SENATUS. Là, ils se préparent pour les examens de la journée. Ces étudiant.es, quoique entouré.es de cahiers et de documents, attendent de pied ferme les évaluations prévues pour la journée.

Kimberlyne, toute enjouée, ne cache pas son assurance : ‹‹ Je suis prête. Tout à fait prête. J’ai eu un bon intra et là j’espère obtenir un 80 de moyenne générale ››. Dorana GEDEON, étudiante en 3ème année à la Faculté des Sciences infirmières qui profite tranquillement de sa pause, en prenant toutefois soin de garder près d’elle ses documents de révision, se sent tout aussi sécure. Elle confie : ‹‹ C’est un fait qu’un.e étudiant.e en période d’examen stresse toujours un peu, d’une manière ou d’une autre, parce qu’il/elle craint d’avoir peu ou trop fait ; mais je sais que je vais largement dépasser la moyenne exigée ››.

‹‹ Il est vrai que la distance entre Laboule (son domicile) et l’Université est énorme, ce qui fait que j’arrive souvent tard chez moi et que je manque de temps parfois, mais j’arrive à me préparer au mieux afin d’être en état de passer les examens et de réussir au max ››, fait savoir Filencia PIERRE, cette étudiante en 4ème année a la Faculté de Médecine.

Certaines réalités ne s’expliquent pas, dit-on. Si ces trois étudiantes qui arrivent à tenir le cap malgré leurs contraintes se disent stressées, ce n’est ni le cas de Bedjinie SAINTERME de la Faculté de Médecine, ni de Snaiderson THOMAS, futur odontologue, qui pourraient légitimement s’inquiéter, mais bien décidés à prendre le pas sur l’angoisse. C’est ce que fait comprendre ce dernier : ‹‹ Je ne suis pas vraiment stressé. Je ne maitrise pas à la perfection le contenu de tous les documents, parce qu’ils sont nombreux, mais je les ai lus plusieurs fois et j’en ai même présenté quelques-uns en cours. Alors non, je ne stresse pas. Je passerai mon test ››.


Tendus.es ou pas, tous/toutes les étudiants.es interrogés.es reconnaissent que les plus enclins à l’anxiété due aux examens sont ceux/celles en Médecine à cause des colossales théories liées à leur domaine d’étude et les fameux QCM des tests auxquelles ils doivent répondre en un temps record ; les nouveaux/nouvelles arrivants.es, eux/elles, combinent avec cela les exigences faites en vue de passer en deuxième année. Esperancia BERNARD, Junette CHARLES, Spelancia BELIZAIRE et Marie L. CETOUTE, nouvelles apprenantes à la Faculté de Médecine, acceptent de décrire leur représentation de la situation : ‹‹ Au début, on était effrayées par ce qu’on entendait nos ainés dire. On se sentait également submergées par les fortes vagues de taches qui nous enveloppent. On s’est à présent adaptées et on fera de notre mieux pour réussir l’année ››.


On ne peut pas aimer une rose sans en embrasser les épines. Ces paroles, elles les ont apparemment très bien comprises et elles sont déterminées à ne pas laisser les difficultés étouffer leur motivation.

 

Deuxième journée d’examens pour les étudiants.es de l’UNIFA

 

Huit heures avaient sonné. Les étudiants.es de l’UNIFA venaient d’entonner allègrement l’hymne national. L’hymne à l’UNIFA avait suivi immédiatement après, sous la conduite du Père NERE. Une fois terminé, ils/elles se sont répartis.es en groupes sur tout le Campus : certains.es se sont tenus.es dans les portiques des salles de cours, d’autres ont préféré profiter de l’herbe verte sous leurs pieds, de l’ombrage des arbres verts qui se mélangent au décor de toute l’Université, du confort des larges espaces des différentes parties de la cafeteria, en se remplissant le ventre et la tête. Qui a dit que les derniers moments qui précèdent les examens devaient forcément être angoissants pour les étudiants.es ? Détendus.es. Ainsi essayèrent-ils/elles de commencer leur deuxième journée d’examens de première session pour l’année académique 2020-2021 en ce mardi 23 février 2021.


Au cours de la journée, la vaste cour se désemplissait durant les heures d’examens pour reprendre vie lors des moments de pause où elle se convertissait en lieu de de débats, d’échanges sur les épreuves, et de révision par excellence.


Etudiants.es de toutes les facultés ont eu des tests à passer, comme ce fut le cas de la journée de la veille. Ainsi, pour ce deuxième jour d’épreuves, ceux/celles de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture (FSNA) ont eu leur test de Sociologie, ceux/celles de la Faculté des Sciences juridiques et politiques (1ère à 4ème année) ont été evalués.es en Droit constitutionnel, Droit International Public, Introduction à l’Economie politique, Droit des Régimes matrimoniaux, Droit des Obligations, Droit des Sûretés.


Ce fut une journée beaucoup plus chargée pour La Faculté de Médecine. Ses étudiants.es ont été soumis à des tests pour plus d’une dizaine de cours (1ère à 5ème année) : Biologie, Anglais, Sociologie, Biophysique, Initiation à la Physiologie, Anatomopathologie, Physiologie sanguine, Physiologie respiratoire, Sémiologie rénale, Economie de la Santé, Sémiologie obstétricale, Gynécologie, ORL, Parasitologie. Heureusement, l’administration de l’Université leur accorde une pause de soixante minutes entre chaque examen pour se reprendre.


En ce qui concerne la Faculté de Génie et d’Architecture (FGA), ces évaluations de première session ont porté sur l’Analyse, la Statistique (2ème et 3ème années) ; celles de la Faculté des Sciences infirmières (FSI) sur le Français, les soins infirmiers aux personnes handicapées, l’initiation à la Recherche, l’Hygiène générale, la Sante communautaire, l’Anglais et la Diétothérapie (1ère à 4ème année).


Les examens de la Faculté des Sciences économiques et administratives (FSEA) pour leur part, se rapportaient à l’Economie monétaire et à la Finance personnelle ; ceux de la Faculté d’Odontologie aux Mathématiques et à l’Espagnol. La Biologie et les déterminants du Handicap ont été les tests auxquels les étudiants.es de l’Ecole de Physiothérapie ont été soumis.es.

 

 

Examens à l’UNIFA : Première journée réussie

Ce lundi 22 février 2021, aux environs de neuf heures du matin a débuté la période d’examen pour les étudiants.es de l’UNIFA.




Dans une atmosphère sereine et soucieuse des normes et principes anti-covid 19 (le port de masque est obligatoire dans les salles d’examen), la communauté estudiantine de l’UNIFA s’est alignée sous la supervision de quatre-vingt-six médecins pour le bon déroulement de ces évaluations.


Il s’agit d’un moment probatoire général : les étudiants.es des huit facultés et de l’Ecole de Physiothérapie qui forment les différentes parties de l’Université sont soumis.es à des tests qui devraient prendre fin vers quinze heures.


Ainsi, pour cette journée, les étudiants.es en deuxième et troisième années de médecine ont eu un contrôle de Biochimie et d’Anatomie. Près d’une dizaine de salles sont mises à la disposition des étudiants.es en médecine afin d’assurer de l’espace pour tous, nombreux. Même l’auditorium de l’Université a servi de salle d’accueil à ceux/celles de première année qui totalisent un effectif de près de six cents.


Les étudiants.es en Sciences infirmières (2ème année) ont eu un contrôle en Soins médicaux, ceux/celles en Sciences juridiques (2ème et 4ème années de manière respective) : Droit administratif et Méthodologie juridique, en Génie civil et Architecture (2ème, 3ème et 5ème années) : Algèbre, Mécanique de l’Ingénieur statique et Analyse des structures. Ces derniers.es ont été répartis.es en trois salles spacieuses du campus où la distanciation physique a été respectée grâce à la proportionnalité des salles par rapport aux étudiants.


Les étudiants.es de la faculté des Sciences économiques et administratives, peu considérables par rapport à ceux/celles de la Médecine ont été regroupés.es en deux salles (2ème et 3ème années) afin d’être mis.es en examen en Comptabilité et en Gestion des petites et moyennes entreprises.


L’Ecole de Physiothérapie a assigné aux étudiants.es (2ème et 3ème années) un test de Massothérapie et de Biomécanique ; les étudiants.es en Odontologie (2ème et 3ème années) ont eu, pour leur part, une composition en Embryologie, Espagnol et Microbiologie.


Toutes les dispositions sont prises par l’administration et le personnel afin d’assurer la continuité de ce climat pour le reste de cette période que viennent d’entamer les étudiants.es de l’UNIFA.

AVIS

Le Rectorat porte à l’attention des Étudiants des différentes Facultés et École que les
Horaires des examens de la première session académique 2020-2021 sont affichés au
campus. Ils sont priés d’en prendre connaissance.

 

L’Examen sur les « Connaissances générales » se tiendra le Vendredi 19 Février, pour tous les
Étudiants de l’Université, en virtuel, sur la Plateforme numérique de l’Institution. A titre de
rappel, les questions de cette évaluation seront rédigées à partir des différentes
présentations du « Jeudi de l’UNIFA ». L’étudiant est tenu responsable de s’assurer qu’il a
accès à ladite Plateforme ; en cas de difficulté il est prié de prendre contact immédiatement
avec son Décanat.

Les jeudis de l’UNIFA : Une occasion pour transmettre le savoir scientifique aux étudiants qui fréquentent ce centre universitaire.

Le jeudi 21 janvier 2021, les étudiants et étudiantes de l’UNIFA ont eu le privillège de suivre la conférence du Docteur  Francis Saint-Hubert, professeur de physiologie   à  la Faculté de Médecine .Le thème  choisi : La déficience en  iode dans le régime alimentaire Haïtien.

Le Dr Francis Saint-Hubert, professeur  de Physiologie  à la Faculté de Médecine de l’UNIFA au moment de sa présentation.

 

 

Une attention soutenue des étudiantes  à  la conférence du Dr Saint -Hubert. Le thème traité avec  une approche scientifique assez rigoureuse était très apprécié par  les Unifaristes.

 

 

Une étudiante de la première année de  Médecine, à L’ombre du Rév.  Père Wesner Nérée, posant une question au Dr Saint-Hubert afin  de mieux approfondir la thématique débattue par le professeur.

 

 

Une vue partielle de l’assistance, toujours et encore de l’attention, de l’écoute afin de mieux assimiler les informations relative à la carence en iode dans le régime alimentaire haitien.

 

 

 

CEREMONIE DE PRISE DE COIFFE A LA FACULTE DES SCIENCES INFIRMIERES DE L’UNIVERSITE DE LA FONDATION DR ARISTIDE

Le 19 janvier 2021, la Faculté des Sciences Infirmières  (FSI) de l’Université de la Fondation Dr Aristide a organisé la cérémonie de « port d’habit » pour les étudiants-infirmiers et la « prise de coiffe «  pour les étudiantes de la Faculté des Sciences Infirmières.

En présence de la Doyenne de la Faculté de Médecine, la Responsable de la FSI, des professeurs et quelques parents cette cérémonie s’est déroulée dans une ambiance sereine et conviviale. Des infirmières chevronnées et expérimentées ont coiffé leurs étudiantes : Elles leur indiquent ainsi le chemin à suivre pour arriver à exercer ce métier combien noble et nécessaire  i à la vie  humaine.

L’exposition des coiffes,  blanches comme la neige  avant la cérémonie  traditionnelle de  « Port d’habit «  et de « Prise de coiffe « pour les étudiants,  étudiantes en Sciences Infirmières.

 

 

Une allure fière, la tête haute au moment de l’entrée des étudiants et étudiantes en Sciences Infirmières à l’auditorium de l’Université, le 19 janvier 2021.

 

 

Miss Marjorie Gaussaint,  Responsable de la Faculté des Sciences Infirmières, sereine  et coiffant une de ses étudiantes

 

 

Miss Emmanuella  Starck une ancienne de la FSI -UNIFA,  lauréate de sa promotion et travaillant à la Faculté des Sciences Infirmières  coiffant  avec dextérité  cette étudiante de l’UNIFA.

 

 

Miss Jocelyne Jeanty, prend  son temps pour coiffer cette future infirmière : manifestation évidente de tendresse et de patience d’une infirmière expérimentée.

 

 

La sérénité  et le savoir-faire des anciennes  infirmières, professeures à l’Université de la Fondation Dr Aristide étaient au rendez-vous. Il s’agit de transmettre aux jeunes les valeurs à cultiver dans l’exercice du métier.

 

 

Des infirmiers, nous en formons aussi à  l’Université DE LA Fondation Dr Aristide  Nous encourageons les hommes à  entreprendre cette carrière porteuse de soulagement, de réconfort et  de soins aux malades. Les infirmiers ont fait « le Port de l’habit » alors que les femmes ont été coiffées.

 

 

Une vue de la salle après le Port de l’habit pour les infirmiers et la Coiffe pour les infirmières. Une cérémonie remplie d’émotions pour les étudiants, étudiantes et des parents de ces derniers qui ont assisté à cette belle cérémonie.

 

LANCEMENT DU PROGRAMME DE LICENCE EN DROIT EN LIGNE DE L’UNIVERSITE DE LA FONDATION Dr ARISTIDE

Actuellement, à travers le monde l’internet est un outil privilégié qui permet à tout individu ne disposant pas du temps formel  d’ apprendre et  parfaire ses connaissances. C’est dans ce contexte qu’un  cours de Droit en ligne est lancé à l’UNIFA.

L’Université de la Fondation Dr Aristide dans le souci d’offrir plus d’opportunité  aux jeunes haïtiens et haïtiennes désireux de se former  utilise la technologie  non seulement comme outil  d’apprentissage mais aussi  comme  moyen  de   diversification, d’ élargissement et d’accès à  la connaissance et  au  savoir : deux démarches indispensables au développement d’un pays.

Toute personne désireuse de faire des études en Droit sont invités  à s’informer sur les prérequis et les formalités nécessaires afin d’accéder au  programme de formation en Droit à l’UNIFA.

Me Joselaine Mangan,  Doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques Politiques à l’Université de la Fondation Dr Aristide au moment du lancement de la Licence en Droit en ligne.

 

Me Magnan présente le Programme de Licence en Droit en ligne .

 

La Professeure  Erin Daly,  échangeant   avec  l’assistance par  vidéo conférence  au moment du  lancement du  Programme de licence  en  droit en ligne à l’UNIFA.

L’Université de la Fondation Docteur Aristide commémore le 12 janvier 2010

L’Université de la Fondation Dr Aristide dans son souci constant d’agiter les questions d’ordre scientifique, médicale,  intellectuelle  et la recherche accorde une place de choix aux   chercheurs, scientifiques, intellectuels en vue d’offrir à ses  étudiants une formation de  qualité axée  sur la science et la recherche.

Tous les jeudis, la communauté universitaire de l’UNIFA se réunit autour d’un thème  pour commémorer un évènement ou présenter un travail de recherche sur un sujet  bien défini.

C’est dans cette optique que le Campus universitaire de l’UNIFA a accueilli le jeudi 7 janvier 2021,  l’Ingénieur Claude PREPETIT autour du thème : Les risques sismiques en Haïti, avancées et manquements onze ans après. La communauté universitaire de l’UNIFA a eu l’opportunité d’écouter une fois de plus  cette  voix unique et ce spécialiste qui  n’a cessé  bien avant l’année  2010  d’évoquer l’imminence d’un séisme en Haïti

En effet,  le 12 janvier 2010, à 16 heures 53 minutes et 10 secondes, la terre a tremblé en Haïti. Port-au-Prince et ses environs ont été fortement secoués !  Il en résulte des milliers de morts, de blessés et d’estropiés !

Où en sommes-nous aujourd’hui, onze  ans après ?

Ce sont ces informations que l’Ingénieur Claude Prépetit a bien voulu partagé avec un auditoire composé de  responsables académiques, de professeurs et d’étudiants de  l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Nous, Unifaristes,  sommes  avides de savoir et  toujours présents-tes au rendez-vous des « Jeudis de l’UNIFA » pour nous  frotter à la culture  et la recherche scientifique. Nous sommes déterminés pour apporter notre contribution à la reconstruction de notre chère Haïti.

 

 

L’Ingénieur  Evens Toussaint, Doyen de la Faculté de Génie et d’Architecture de l’UNIFA introduisant le conférencier, en l’occurrence,  l’Ingénieur  Claude Prépetit.

 

 

Une vue de l’Auditorium de l’UNIFA  au moment de la présentation du conférencier, le jeudi 7 janvier 2021.

 

 

L’ingénieur Claude Prépetit  au cours de sa présentation à  l’auditorium de l’UNIFA sur les risques sismiques en Haïti, les avancées et  les manquements, onze ans après.

 

 

Une assistance impressionnante, une salle bien remplie composée  de  responsables académiques, de professeurs et d’étudiants  de toutes les facultés.

A l’UNIFA, la  commémoration des évènements  de toutes sortes nous offre l’opportunité de diversifier  et consolider la formation des jeunes qui nous sont confiés.

 

 

Une projection des enregistrements des secousses  sismiques du 12 janvier 2012 est présentée à l’assistance  afin de les aider à matérialiser et  mieux cerner les manifestations d’un  phénomène  sismique.

 

 

La prise de note est de rigueur, question de profiter au maximum des informations scientifiques partagées au cours des jeudis de l’UNIFA. Des étudiants en médecine notent les informations jugées nécessaires  au cours de cette conférence.

BRAVO UNIFARISTES !

 

 

Les unitaristes apprécient toujours les  informations d’ordre techniques et scientifiques. Ils-elles  applaudissent l’Ingénieur Claude Prépetit pour sa présentation, question de lui exprimer leur gratitude.

Clinique mobile du 19 décembre 2020 à la Fondation Dr Aristide

A la veille  des fêtes de Noel, La Fondation Dr Aristide a  offert  à la population venue de tout horizon  des soins de santé à  travers son programme de clinique mobile.

Les patients et patientes  qui fréquentent  la clinique sont servis  avec  respect. Le calme, la patience  étaient  au rendez-vous  ce 19 décembre 2020 au moment de recevoir les soins sollicités par les habitués   de la clinique.

Une fois de plus et ce n’est pas la dernière,  la clinique mobile de la Fondation DR Aristide a servi la population haïtienne, spécifiquement  les plus nécessiteux qui ont du mal à trouver des soins de qualité faute de moyen économique.

Une flotte de médecins haïtiens et  étrangers,  assistée d’étudiants diplômés et finissants de l’Université de la Fondation Dr Aristide ont réalisé cette activité si importante pour une frange de la population haïtienne.

 

Les patients écoutent attentivement les consignes des medecins.

 

Une neurologue cubaine reçoit un enfant accompagné d’un parent.

 

La clinique dentaire de la Fondation Dr Aristide où deux femmes dentistes font une évaluation préliminaire de  la santé buccale du patient. L’installation, les équipements et le niveau de propreté de la clinique dentaire invitent à y revenir.

 

Des patients  et patientes attendent patiemment leur tour.

 

Des soins de qualité….

 

Cette femme médecin reçoit une mère accompagnée de ses deux enfants à la clinique pédiatrique. La posture de cette femme  traduit bien le souci des mères haïtiennes pour le bien-être de leurs enfants..

 

Les jeunes mères en ont profité pour amener leurs enfants à la clinique du 19 décembre 2020.

 

Santé d’abord !

 

Toutes les générations  ont fréquenté  la clinique mobile  du 19 décembre 2020.

 Contrôle des signes vitaux  de cette femme âgée  Quel calme !  Quel regard !  .

 

L’esprit de confiance entre patiente et médecin, la proximité entre patiente et médecin sont  des attitudes normales aux  cliniques mobiles de la Fondation.

 

Hommes et Femmes attendent patiemment leur tour pendant que ce jeune médecin s’attèle à contrôler les signes vitaux de cette jeune dame.

 

Soigner et servir ! Dignement.

Célébration de la Dignité à l’Université de la Fondation Dr Aristide

18 décembre 2020

 

La communauté universitaire de l’UNIFA  pendant  deux heures  d’horloge a célébré  et  prôné la dignité comme valeur  fondamentale inhérente à  la vie humaine.

L’auditorium pouvait  à peine  contenir  étudiants, professeurs  et personnels administratifs, tous réunis pour célébrer  la « Dignité »

Une célébration qui a mis en valeur non seulement la Dignité humaine mais aussi la culture haïtienne à travers ses danses, ses chants, ses écrivains et poètes.

Une danse folklorique époustouflante qui met en scène la transe comme forme de possession du corps humain. Ces jeunes hommes et femmes ont tenu  le public   en émoi  pendant toute la durée de leur prestation. Mise en scène que l’assistance a beaucoup appréciée.

 

Mr Théophile Joseph ,assistant du Doyen de  la Faculté des Sciences Economiques et Administratives a assumé avec brio le double rôle de Maitre de cérémonie.

 

Cette cérémonie doit être sauvegardée et enregistrée.  Des étudiantes sont  en train de la filmer pour la revivre au besoin.

 

Mme Mildred Aristide ne rate jamais les bons moments de convivialité du campus. Accompagnée de ses deux filles, elle participe à la célébration de la dignité.

 

Un petit moment de bonheur, de répit académique. Le sourire éclatant, l’air détendu  de ces étudiantes traduisent  bien l’ambiance qui régnait à la célébration  de la dignité du  18 décembre 2020.

L’heure était à la détente, à  la pause  et au plaisir sain.

L’Université de la Fondation Dr Aristide met en synergie, l’académique, la transmission des valeurs et le loisir.Elle offre aussi une formation équilibrée aux Unifaristes.

 

Le compas et la salsa étaient de la partie avec le groupe Extase. Cynthia Lamy, chanteuse principale du groupe dans un morceau  de Gloria Estefan.

 

Deux étudiants en   médecine dans un duo :  Bili Mésidor, 4e année   et Thélusma Marc Wildens , 5e année. Une prestation au rythme du reggae laissant croire qu’ils sont aussi doués pour la musique comme pour  la médecine.

 

La fête apportait de la détente et offrait une pause bien méritée. Cette étudiante reste ébahie devant la prestation de ses camarades de l’UNIFA.

 

Le temps des bouses de Dignité.

Par tirage au sort, des étudiants et étudiantes ont gagné des bourses pour l’année académique 2020-2021.Les gagnants tressaillent de joie

 

Quelle émotion !  Quelle  agréable surprise  que d’avoir obtenu une bourse de Dignité!

Une heureuse gagnante d’une bourse de   Dignité.  Cette étudiante en 3e année de Médecine a accueilli avec  émotion  le tirage de son nom de la tombola. Elle a doit à une bourse d’étude  à l’Université de la Fondation Dr Aristide  pour l’année académique 2020-21.

 

Une allure fière et rassurante ! Le visage rayonnant. Un autre gagnant des bourses de « Dignité. Il avance  content, joyeux sous le regard  bienveillant   du Père  Wesner Nérée et admirateur de ses camarades de promotion.  Il prend son temps comme un modèle dans un défilé de printemps.

 

Une  photo souvenir  d’étudiants, d’un membre du  personnel administratif, du comité d’accueil  de la célébration de Dignité, de  membres de la Ligue des Jeunes de la Fondation Dr Aristide.

L’Université de la Fondation Dr Aristide leur adresse une fière chandelle pour  leur collaboration à la réussite de cette belle célébration de la Dignité.

 

Journée Mondiale du SIDA

La  pandémie de la COVID 19  et  l’infection au VIH continuent de  défier la communauté scientifique et médicale à travers le monde.  Si la COVID 19 n’arrive toujours pas à être contrôlé, toutefois nous devons admettre que la recherche médicale a fait de grandes avancées  en matière de lutte, de contrôle et de traitement de l’infection au VIH.

A l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le Sida, ,  le Docteur  Erman Robin spécialiste en Maladies infectieuses, a aidé les étudiants de l’UNIFA à  mieux comprendre les modes de transmission du VIH et a mis en evidence les progrès réalisés dans les traitements et les stratégies développées pour enrayer  la propagation du VIH à travers le monde et en Haiti. Le specialiste a fait  le point sur le contrôle,  les modes de transmission et les traitements disponibles pour cette  pathologie  au cours du  Jeudi de l’UNIFA tenu le 3 décembre 2020  à  l’auditorium de l’institution.

Le Docteur Ernam Robin, spécialiste des Maladies Infectieuses au cours de sa présentation sur le VIH /SIDA  à  l’auditorium de l’UNIFA.

 

Une vue partielle de l’assistance à la Conférence du Docteur Robin. Les étudiants et étudiantes sont toujours au rendez-vous aux Conférences du Jeudi de l’UNIFA : Ils s’ouvrent aux connaissances   nécessaires et indispensables à leur formation académique et scientifique.

 

Cette photo témoigne de leur soif du savoir scientifique.

 

La Faculté d’Odontologie de l’UNIFA : Une opportunité pour les jeunes haïtiens et haïtiennes de se former, se développer et se rendre utile à leur communauté.

 Les jeunes désireux de pratiquer la Médecine dentaire  sont invités à s’informer sur les prérequis et les exigences académiques pour intégrer la Faculté d’Odontologie de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

 L’Université de la Fondation Dr Aristide dans le souci d’offrir une formation de qualité aux étudiants et étudiantes a eu l’honneur de recevoir  le jeudi 10 décembre 2020 le Docteur Sophia Nazon, Chirurgien-Dentiste, au cours de sa 8ème Jeudi de l’UNIFA  pour l’année académique 2020-21 sur le thème « Rôle du Dentiste dans la Santé en général ».

Au cours de cette conférence l’accent a été mis sur la place et l’impact de la Médecine dentaire dans notre quotidien. Le Docteur Nazon  a  mis en exergue  l’importance de l’hygiène  bucco-dentaire afin de conscientiser la gente estudiantine de l’UNIFA faisant partie  intégrante  de la société haïtienne et se préparant pour assurer sa reproduction.

La conférence du Docteur Nazon a eu une allure très pédagogique mettant  l’accent surtout sur les bonnes et mauvaises pratiques en matière de santé et hygiène bucco-dentaire.

L’UNIFA à travers la  Faculté d’Odontologie contribue à augmenter le nombre de professionnesl  de  la Médecine dentaire en Haïti et offre à la population haïtienne la possibilité d’avoir accès à court et moyen termes à des soins dentaires de qualité à travers la formation de ses dentistes.

 

Le Docteur Sophia NAZON, Chirurgien-Dentiste au cours de sa conférence devant l’auditoire composé principalement des étudiants et professeurs de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

 

La prise de note et l’attention sont toujours au rendez-vous au cours des conférences des jeudis  de l’UNIFA. Les questions des étudiants de la Faculté d’Odontologie montrent déjà l’intérêt de ces derniers pour la médecine bucco-dentaire.

 

Le calme et l’attention soutenue et remarquable  de cette étudiante  expriment son  intérêt  pour  la conférence du Docteur Nazon sur la santé Bucco-dentaire.

 

La professeure de sociologie à l’UNIFA ,Mme Claudèce Joseph ,reste perplexe par rapport à  l’enthousiasme avec lequel les étudiants confirment à travers leur petit bijou de la technologie les différentes informations sur l’hygiène bucco-dentaire. Ils-elles  se concertent pour formuler et argumenter leurs questions, préoccupations et doutes au cours de la huitième conférence de l’année académique  à l’UNIFA sur la santé bucco-dentaire.

La 5ème Conférence des Jeudis de l’UNIFA pour l’année académique 2020-2021.

La Médecine traditionnelle  tant pratiquée en Haiti est au centre des intérêts de la Faculté des Sciences de la Santé de l’UNIFA. Ses vertus  interpellent la communauté universitaire  surtout au  moment où la  COVID 19 considérée comme une pandémie  mondiale  reste  encore un défit  pour  la médecine moderne.

Il est évident qu’en Haiti  la  COVID 19,  s’est pas manifestée différemment  que dans d’autres pays à travers le monde et que jusqu’ici, la communauté médicale et scientifique  internationale ne s’est toujours pas penchée sur le comportement de la COVID  en Haiti.

En attendant. l’UNIFA  saisit  l’occasion  pour produire des réflexions  non seulement  sur les manifestations de la COVID 19 en Haiti mais  aussi  faire un état des lieux   sur le sujet et ceci  avec  l’aide de spécialistes dans le domaine médicale et pharmaceutique.

C’est dans cette optique que  Mme Marie Ener Jean-Jacques, Pharmacienne, Professeur d’Université, une des figures impliquées dans les réflexions au sein de l’Université, en ce qui a trait à l’importance de la Médecine traditionnelle,  a abordé au cours du  5ème « Jeudi de l’UNIFA »,la  thématique de la Médecine traditionnelle, un sujet fondamental pour la  société haitienne dans la mesure où elle est pratiquée par une grande proportion de la population.

La Conférencière, Prof   Marie Ener Jean Jacques au cours de sa présentation à  l’Auditorium de l’UNIFA sur la Médecine Naturelle.

 

L’attention soutenue des étudiants-tes  de l’UNIFA  témoignent de l’importance qu’ils-elles ont accordé  à la conférence de Madame Ener Jean Jacques sur la Médecine traditionnelle.

Les « Jeudis de l’UNIFA »  demeurent une occasion idéale de  leur transmettre  la culture , le  savoir scientifique et  les  informations relatives aux découvertes scientifiques.

 

Les étudiants de la première année de Médecine savourent déjà les connaissances acquises au cours de cette conférence. Le  regard enchanteur de cet étudiant de la première année A   qui applaudit l’intervention de Madame Ener Jean Jacques en dit long.

 

Les  séries de questions après l’intervention de la conférencière sur la pratique de la Médecine Naturelle en Haïti.

La file  a été longue  et les étudiants-tes  ont fait part  d’un grand intérêt pour le sujet. Des questions pertinentes ont  montré  le niveau de curiosité des étudiants-tes pour la pratique de la Médecine Naturelle.

 

La Conférence du 26 novembre 2020 s’est déroulée autour du lancement  des « ÉDITIONS DE L’UNIFA ».  Un panel constitué du Responsable des affaires académiques et d’Enseignants des différentes entités académiques  ont  fait le point sur la valeur et l’impact de l’écriture dans une société en pleine expansion.

Le Docteur Dodley Sévère, Dr Lucien Maurepas, Dr Ralph Antoine Vital, Dr Jean Wilner Petit  et d’autres responsables académiques de l’UNIFA au moment du lancement des Editions de  l’UNIFA, le jeudi 26 novembre à l’Auditorium de l’Université.

 

Une vue de l’assistance composée de jeunes filles de la Faculté de Médecine. L’attention reste et demeure la règle au cours des différentes  présentations.

 

L’aisance avec laquelle les étudiants participent, interagissent au cours des conférences des « Jeudis de l’UNIFA »  laisse perplexe. Compliments aux Unifaristes!

 

A l’UNIFA, les femmes ne se laissent pas intimider. Avec calme, confiance en soi  et et sérénité, elles  questionnent, critiquent font part de leur préoccupation. Elles  cherchent  à approfondir leur connaissance et ou dissiper les nuages de doute .

 

L’UNIFA reste et demeure préoccupé par une nouvelle propagation de  la COVID 19 quoique la maladie ne soit pas répandue en Haïti  de la même façon que dans d’autres pays de la Caraïbe et du monde. De ce fait, le port du masque reste et demeure obligatoire à l’UNIFA. Les étudiants –tes ne négligent jamais de les porter.

Les Jeudis de l’UNIFA : un espace de partage de connaissance et de transmission de culture scientifique

L’Université de la Fondation Dr Aristide a eu l’honneur d’accueillir le 10 octobre 2020, la Conférencière  Dr Marie Yves CYPRIEN, Psychiatre et Professeur d’Université en marge  de la célébration de la journée mondiale de la Santé Mentale. Le Docteur Cyprien a prononcé   sur le thème :   Santé Mentale,  17 octobre 1804 – 17 octobre 2020. 

Le sujet a coïncidé avec  la commémoration de l’assassinat de l’Empereur Jean- Jacques Dessalines et  a pu  ouvrir  une porte sur les réflexions autour de l’aspect tragique de la  mort  de l’Empereur Dessalines et l’impact psychologique de ce crime  sur les auteurs  en particulier et la nation  haïtienne en général.

Le Docteur Daphnée Benoit  Delsoin, Doyenne de la Faculté des Sciences de la Santé de l’UNIFA introduisant le Jeudi de l’UNIFA du 10 octobre 2020.

 

Le Docteur Marie Yves Cyprien au cours de son intervention

 

La participation aux Jeudis de l’UNIFA est obligatoire  pour tous les étudiants et étudiantes, question de les porter à s’intéresser à  la science et la culture en générale. Leur attention soutenue montre leur intérêt pour le sujet du jour.

A l’UNIFA, nous privilégions le Savoir scientifique.

 

Un étudiant de la Faculté de médecine adressant des remerciements au Docteur Marie Yves Cyprien.

Une fois de plus, nous remercions chaleureusement Dr Marie Yves Cyprien.

En 1806, Défilée, présentée comme une folle, s’est comportée en héroïne.

En 2020,  il nous faut des Défilées, héroïnes et héros pour défendre

L’idéal dessalinien. Rendons hommage au Père de la Patrie en chantant

fièrement la Dessalinienne.

 

Madame Mildred Aristide a toujours payé  de sa présence aux jeudis   de l’UNIFA. Elle s’apprête à regagner l’auditorium où se déroulent généralement les conférences.  Toute la communauté universitaire de l’UNIFA assiste et participe  aux  différentes présentations : travail de recherche, conférence et autres.

Les Jeudis de l’UNIFA restent ouverts à tout scientifique, chercheur, intellectuel, écrivain  désireux de partager leur savoir avec les jeunes en formation  à l’UNIFA.

 

Le Docteur Dodley Sévère, membre du Rectorat et Responsable des affaires académiques, introduisant le conférencier.

 

Le Docteur  Eddy Labossière, Doyen de la Faculté des Sciences Economiques et Administratives) de l’UNIFA  a prononcé  le Jeudi 22 Octobre 2020, une conférence intitulée : La Gourde.

L’Université de la Fondation Dr Aristide s’intéresse aux débats publics et sujets d’actualité dans le monde et particulièrement dans la société haïtienne et ceci dans tous les domaines.  A un moment où la gourde,  notre  monnaie nationale fait l’objet de débat,  la communauté estudiantine de l’UNIFA a eu  l’opportunité d’écouter,  d’échanger et de mieux comprendre la question de l’appréciation de la gourde  avec  l’appui de l’une des plus imposantes et prestigieuses figures du domaine de l’Économie en Haïti en l’occurrence le Dr Eddy Labossière.

Le Doyen de la Faculté des Sciences Economiques et Administratives de l’UNIFA, l’économiste  Eddy Labossière, écoutant attentivement les questions et préoccupations des Unifaristes.

 

A l’UNIFA,  les étudiants de tous les niveaux académiques  sont conviés à participer aux conférences et présentations des jeudis. Le campus accueille avec plaisir des experts, chercheurs, ou intellectuels et scientifiques.

Les Unifaristes  prennent très au sérieux leur formation et ils-elles  participent  toujours avec la même motivation aux conférences des Jeudis de l’UNIFA.

 

Poser des questions est la bonne stratégie utilisée par les Unifaristes pour mieux comprendre le sujet du jour. Leur participation est le reflet d’une pédagogie efficace.

Regarder le calme avec lequel ils posent leurs questions !

Bravo Unifaristes ! Vous participez à la construction de l’Haïti dont nous rêvons  tous et toutes.

 

Les jeudis de l’UNIFA sont un espace de partage de connaissances, de débats scientifiques. Cette activité scientifique et intellectuelle participe à la vie académique et estudiantine   de l’UNIFA. Elle offre aux Unifaristes l’opportunité de développer l’esprit critique.

La tête altière, ils-elles  écoutent avec attention la présentation du Docteur Eddy Labossière sur la gourde, notre monnaie nationale.

Le Village de l’Excellence

Le Village de l’Excellence  est  le prolongement du campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide. Il est réservé aux professeurs et étudiants  qui désirent habiter un espace décent, agréable, loin du trafic lassant et encombrant  qui  conduit  à la commune de Tabarre.

Le Village de l’Excellence offre l’opportunité aux étudiants à travers les appartements qui leur sont réservé  de vivre dans un environnement propice au développement de leur autonomie et  leur sens de responsabilité.

Le calme, la tranquillité du  lieu sont les atouts incontournables qui  font de cet espace l’endroit idéal pour les jeunes venus  d’autres départements  du pays, d’être logés  décemment, en toute sécurité. Le village leur offre aussi la possibilité   de se  retrouver à quelques mètres de leur centre universitaire,  loin des embouteillages monstres  de Port-au-Prince et de la zone métropolitaine.

L’apprentissage nécessite un cadre attrayant, c’est ce que  propose l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) à ses  étudiants à travers ces appartements  décents, bien aérés, construits selon les normes requis dans le domaine de la construction de bâtiments.

 

Une magnifique vue des appartements du Village de l’Excellence. Village qui porte bien son nom car tout a été conçu pour  offrir le maximum de  service, de confort et de  bien-être  aux  étudiants qui y sont logés.

Le Village de l’Excellence reste ouvert à tous étudiants-tes, aux parents des jeunes de la province  ou de l’étranger qui veulent loger leurs enfants en toute quiétude et sécurité,  ce, à  moins de 500 mètres  du centre d’apprentissage de leurs enfants.

Chers parents, vous avez droit à une visite du Village de l’excellence,  pour  évaluer les services, le  confort et le  niveau de sécurité qui sont offerts à vos progénitures.

 

Une vue aérienne des unités de logement  dédiées  aux professeurs de l’Université  de la Fondation Dr Aristide (UNIFA).  Ces maisons bien alignées, uniformes du point de vue architecturale constituent un bel ensemble et  traduisent  bien la qualité de vie et  le confort qu’offre  le Village de l’Excellence de l’UNIFA.

Des professeurs haïtiens et étrangers, des étudiants  se côtoient,  partagent cet espace dans la plus grande convivialité, le respect mutuel, formant ainsi une communauté universitaire  multi culturelle et intergénérationnelle.

 

Un village qui offre  le calme d’esprit, la tranquillité,  l’ambiance et le cadre de vie nécessaire à tous : étudiants-tes, professeurs.  Le milieu ambiant agréable, frais et boisé est  l‘endroit  idéal   pour les membres du corps professoral de même que  les étudiants dûment inscrits et actifs  dans  l’une des facultés de l’UNIFA  qui désirent être logés dans un  environnement   propice à leur activité académique.

 

Une vue  d’un quartier du Village de l’Excellence. La proximité des unités de logement offre  une grande  opportunité pour les échanges interculturels, intellectuels entre le corps professoral de l’UNIFA.

Les infrastructures de l’UNIFA

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) accueille des jeunes haïtiens et haïtiennes de tous horizons, tous milieux de vie et toutes couches sociales désireux d’embrasser une carrière professionnelle.  Les bâtiments sont construits en fonction des normes de construction parasismique ce, pour protéger nos étudiants et étudiantes, nos cadres, personnels administratifs et tous autres usagers du campus de l’UNIFA. A preuve nos bâtiments ont résisté au séisme du 12 janvier 2010 qui a occasionné plus de 300000 pertes en vies humaines et des dégâts matériels considérables.

Dans un espace calme et verdoyant, l’Université de la Fondation Dr Aristide se propose d’offrir à la jeunesse haïtienne une formation académique de qualité qui soit susceptible de doter le pays de cadres et professionnels à travers ses différentes filières.

A l’UNIFA nous nous soucions du bien-être et du confort de tous ceux et celles qui fréquentent notre site.

 

Une vue  magnifique de la Faculté d’Odontologie et l’Ecole de Physiothérapie de l’UNIFA. Ces deux entités s’attèlent à former des professionnels de la santé  en odontologie (dentiste)  et  l’Ecole de physiothérapie forme des physiothérapeutes qui auront à  offrir  la possibilité  à  un individu de retrouver sa mobilité  physique après soit un accident ou une crise liée  à l’hypertension artérielle et autre.

 

La Faculté des Sciences Infirmières qui accueille des jeunes femmes et jeunes hommes qui à l’instar de Florence Nightingale et de Mère Teresa  veulent  se mettre au chevet des malades pour leur apporter  non seulement des soins médicaux  mais aussi un soutien moral et un réconfort.

Avec  des salles de classe spacieuse, bien aérée et dotée de matériel didactique nécessaire,  cette faculté  n’a rien à envier à  d’autres centres universitaires à l’échelle mondiale. La FSI  de l’UNIFA entend encadrer les jeunes qui veulent se consacrer à cette tache si  noble qu’est le métier d’infirmières et infirmiers.

 

La grande allée conduisant aux différentes salles de classe de l’Ecole de Physiothérapie. Bien conçue et bien intégrée au vert des manguiers qui arborent tout le campus de l’UNIFA et qui servent de refuge aux étudiants et étudiantes aux heures chaudes de la journée en attente de la reprise des cours après la pause de midi.

 

La cafétéria de l’UNIFA :   Un joyau architectural mettant en valeur le milieu naturel « sauvage «   du campus.  Un espace agréable conçu pour favoriser l’inter action. Lieu de refuge des   étudiants-tes, professeurs, personnel administratif au moment de la pause en milieu de journée. Lieu de détente pour les unifaristes en fin de session et de dégustation des plats traditionnels haïtiens a des prix plus qu’abordable.

Un espace presque paradisiaque, reposant, apaisant et verdoyant.

 

A l’ombre des manguiers qui entourent  la façade regroupant les   Facultés des Sciences Infirmières, les Sciences Juridiques et Politiques, les Sciences Economiques et Administratives,  nous,  étudiants et étudiantes de la Faculté des Sciences de la Santé, nous trouvons l’endroit idéal pour mieux construire notre apprentissage  à travers la lecture et les discussions entre pairs.

 

L’auditorium de l’UNIFA : un espace de débat, de rencontre,  de construction de la pensée et de la dignité humaine comme le prescrit l’affiche qui invite chaque unitariste, chaque haïtien et haïtienne à sauver et sauvegarder sa dignité en tant qu’être  humain.

L’auditorium de l’UNIFA a une capacité  de mille places assises. Elle  accueille « les Jeudis de l’UNIFA »  ou un expert, un professeur chercheur, un intellectuel, un scientifique ou un juriste  de renom, (haïtien ou étranger) est invité à partager avec la communauté universitaire les résultats  de son travail de recherche.

Que d’intellectuels, de chercheurs, d’artistes ou acteurs, de scientifiques  de haut niveau (haïtien et étranger) ont fréquenté ce haut lieu de partage de connaissance !

L’auditorium de l’UNIFA  reste ouvert à tout intellectuel, savant, chercheur et autres qui veulent transmettre de la  connaissance, de la culture  aux unifaristes  et  à la jeunesse haïtienne en général.

 

Bien ancrée dans un environnement répondant aux conditions   et normes d’apprentissage, la  Faculté d’Odontologie et l’Ecole de Physiothérapie offre une  magnifique vue à travers cet agencement des couleurs  mettant en harmonie le vert des manguiers et  la violacée des «  jolis jolis » qui entourent les allées de cette façade.

 

Une vue de la Faculté de Médecine de l’Université de la Fondation Docteur Aristide. Un bâtiment imposant bien en harmonie avec la nature et qui reçoit plus d’un millier de jeunes en quête de savoir et savoir-faire dans le domaine des Sciences de la Santé.  Sa blancheur rivalise avec celle de cette bouffée de nuage qui la surplombe.

 

Une vue partielle du campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide.

Quelle harmonie !  Un aménagement bien agencé et ordonné, mettant en synergie le bâti et l’environnement naturel.

De loin on remarque les différents bâtiments du site, les tracées reliant les différentes facultés et autres édifices du campus et la végétation luxuriante qui donne un aspect attrayant au campus.

AVIS

Les examens d’admission auront lieu le 27 Octobre à 9 heures am au campus de l’université de la Fondation Dr Aristide.

5 Octobre 2020, ouverture de l’année académique.

La Faculté d’Odontologie et l’Ecole de Physiothérapie de l’UNIFA  face à notre  bicolore et le drapeau de l’UNIFA.

Imposante et  Spacieuse, bien implantée dans le campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide dans la  commune de Tabarre  dans  un décor verdoyant et magnifiquement  agencée avec le bleu constant de notre  ciel.

Toutes les filières de l’UNIFA (Médecine, Odontologie, Sciences Infirmières, Sciences Juridiques et Politiques, Sciences Economiques et Administratives, Physiothérapie, Education Permanente, Agronomie) sont ouvertes  pour recevoir les jeunes hommes et  jeunes filles d’Haïti et ceci sans exclusion.

 

Quelle allure ! Quelle assurance ! Quelle énergie !

Confiants  et déterminés  à  construire leur avenir, les Unifaristes :  jeunes et plein d’ardeur  s’empressent de regagner  leur salle de classe.

 

L’UNIFA face au COVID 19

Nous sommes responsables à l’UNIFA. Des mesures drastiques sont prises pour éviter la propagation du corona virus.

Le port du masque n’a rien soustrait de leur beauté, et leur intérêt pour le savoir. L’attention soutenue  des étudiants-tes  finissants-tes  au cours des séances de rattrapage en dit long.

BRAVO  UNIFARISTES !  Le pays  vous attend !

 

La tête haute et le regard dans la bonne direction. Les  futurs médecins UNIFARISTES  prennent très au sérieux leur formation.

Quelle discipline !  Quelle concentration !

 

Nos études sont notre priorité.  Nous réfléchissons  constamment et nous sommes conscientes de la tâche et des responsabilités qui nous attendent en tant que futur médecin.

 

Nous, étudiantes de l’UNIFA,  nous sommes sereines, fières.  Nous forgeons  notre avenir  par l’effort et le travail bien fait. Nous nous préparons  et nous jurons que nous allons apporter notre pierre à la construction de notre chère Haïti.

AVIS

Le Rectorat porte à l’attention de la Communauté estudiantine et du Corps Professoral que la
nouvelle année académique débutera pour les actuelles promotions des différentes Facultés et
École, le lundi 5 Octobre 2020.
Le concours d’Admission se tiendra à une date ultérieure, en fonction de la période de
proclamation des résultats des examens officiels de fin d’études secondaires, pour les nouvelles
promotions.

L’UNIFA reçoit la visite du directeur régional de l’AUF

L’Université de la Fondation Dr Aristide, est membre titulaire de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF). L’UNIFA a donc eu le plaisir d’acceuillir le Professeur Saulo Neiva, directeur régional de l’AUF, ce lundi 21 septembre 2020.

Prof. Saulo Neiva

« Cela m’a fait vraiment plaisir de venir […] j’ai eu l’impression que l’UNIFA compte sur une équipe qui est engagée, enthousiaste … », affirma le Professeur Neiva.

 

Mme Mildred Aristide, membre du Conseil d’Administration, le Dr Dodley Sévère Responsable des affaires académiques, les Doyens, Doyennes, Directrices et Responsables des différentes Facultés ont accueilli chaleureusement le Professeur Neiva sur le campus à Tabarre. Une visite des bâtiments, des Facultés et le chantier de l’Hôpital ont offert à chacun, chacune l’opportunité de contempler la beauté et l‘importance de ce campus.

 

L’UNIFA et l’expérience du numérique

L’Agence des Universités francophones et l’Université de la Fondation Dr Aristide investissent avec joie dans l’enseignement à distance. Deux-mille-quatre-cents-soixante-sept (2 467) étudiants des huit entités académiques de l’UNIFA ont pu suivre des cours en ligne durant le confinement, et 1 797 Unifaristes, ont subi des examens en ligne. Le Responsable des Affaires Académiques, le Dr Dodley Sevère, est fier de cette expérience unique.

Dr. Dodley Sevère

AVIS

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) annonce le lancement, à compter du lundi
14 septembre, des inscriptions pour son nouveau programme en ligne, de Licence en Droit.

Consciente des obligations professionnelles et/ou convenances personnelles limitant le projet
académique de plus d’uns de faire de solides études en Droit, l’UNIFA offre désormais au
public intéressé, parallèlement au programme de Licence en Sciences juridiques en régime
présentiel au niveau de son campus à Tabarre, une formation de premier cycle complètement
en ligne. L’organisation pédagogique, conçue pour être compatible avec la poursuite d’une
activité professionnelle, permet de progresser à son rythme dans un cursus s’alignant
globalement sur les mêmes enseignements offerts en régime présentiel. Cette formation sera
accessible aux bacheliers des dix départements géographiques du pays.

Les intéressés sont priés de bien vouloir remplir le formulaire d’inscription accessible sur le
portail web de l’Institution (unifa-edu.info).

Pour toutes informations supplémentaires, l’UNIFA vous prie de visiter son site : www.unifa-edu.info ou d’appeler aux : 28110408 – 28170405- 28170411 – 28170412.

AVIS AUX ETUDIANTS (ES)

La Section Comptabilité & Aministration a le plaisir d’inviter les étudiants à recevoir leurs bulletins au campus de l’UNIFA.
Date   : Lundi 7 Septembre 2020
Heure: 9 hres am – 11 hres am
Merci!

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) est en passe de réussir son pari de l’enseignement en ligne. Si ce nouveau défi technologique, imposé par la pandémie du Covid-19, donne du fil à retordre à bon nombre d’institutions d’enseignement supérieur, l’UNIFA a su tirer son épingle du jeu.

 

Plus d’un millier d’étudiants de l’UNIFA  ont pu subir leurs examens de fin de session en ligne. C’est un score titanesque au regard des réticences des apprenants et les pénuries de tout genre auxquelles fait face le pays.

 

 

Le lundi 10 Août 2020, les activités en présentiel ont repris sur le Campus à Tabarre. Ce jeudi 13 Août 2020 c’est dans une atmosphère chaleureuse et conviviale que l’avant dernier jour de la session extraordinaire des examens se déroule.

Dans les salles d’examens, les consignes et gestes barrières contre le Covid-19 sont appliqués : port de masques, distance physique, rotation d’effectifs et autres…

 

Grâce aux examens en ligne et en présentiel, les Unifaristes ont franchi une étape importante et déjà préparent la nouvelle académique 2020-2021.

Inscriptions pour l’Année Académique 2020-2021

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) informe les intéressés et le public en général de l’ouverture des inscriptions de l’année académique 2020-2021 pour les options suivantes :

  • Médecine
  • Odontologie
  • Sciences Infirmières
  • Physiothérapie
  • Génie et Architecture
  • Sciences Juridiques et Politiques
  • Sciences Économiques et Administratives
  • Éducation Permanente
  • Sciences de la Nature et de l’Agriculture

(suite…)

Fonds d'urgence

AVIS AUX ETUDIANTS (ES)

La Section Comptabilité & Administration de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) vous exhorte à vous mettre en règle avec l’économat avant le 7 Août 2020.

Consciente de la situation singulière dont nous faisons face, la dite section vous adresse ses félicitations anticipées.
 

Section Comptabilité & Administration

 

Tabarre le 27 Juillet 2020

Avis

Le RECTORAT porte à l’attention des Étudiants qu’à compter du lundi 10 août 2020 se tiendra une session extraordinaire d’évaluation des connaissances. Cette dernière sera organisée en présentiel, au niveau du campus de l’Université.

 

Les étudiants n’ayant pas obtenu la moyenne de passage pour l’année académique 2019-2020 et ayant répondu aux exigences administratives, seront invités à prendre place dans les locaux préparés en conséquence, ce, suivant un plan de distribution mettant strictement en application les mesures barrières prescrites par les autorités sanitaires nationales.

 

Les différents horaires seront bientôt affichés au niveau du portail web de l’Institution.

Avis

 

La Section Comptabilité & Administration a le plaisir de rappeler aux étudiants/étudiantes que les résultats des évaluations sont prêts.
Unifaristement vôtre!

Avis

AVIS

Le Rectorat porte à l’attention des étudiants que les résultats seront proclamés, une fois le processus de comptabilisation des notes, terminé. Un Avis précisant la date et le dispositif envisagé pour la transmission des dits résultats, sera publié au niveau du Portail web de l’Institution.

 

Une session extraordinaire sera organisée pour ceux n’ayant pas obtenu la note de passage. Les dates pour ladite session seront ultérieurement annoncées.

Le Numérique à l’UNIFA

AVIS

Chères Étudiantes, Chers Étudiants,

Le Rectorat de l’Université vous présente ses félicitations et prend note de votre active participation à la poursuite des activités académiques par l’intermédiaire de l’enseignement numérique au niveau de la Plateforme.

Dans le souci d’une validation de l’année académique en cours, malgré les conditions singulières, une période d’évaluation des connaissances se tiendra conformément au calendrier académique 2019 -2020. Les épreuves prendront en considération les cours réalisés avant l’interruption et les cours enseignés en ligne. Vos différents Décanats/Directions vous feront part, bientôt, des modalités et des formats qui seront utilisés pour la réalisation de cette dite évaluation.

Le Rectorat

Report de la Cérémonie de collation de Diplômes

AVIS

 

Le CONSEIL D’ADMINISTRATION et le RECTORAT de l’Université portent à la connaissance de la communauté estudiantine et du Corps professoral que, tenant compte de la conjoncture et des dispositions qui en découlent, la Cérémonie de collation de Diplômes prévue pour le Dimanche 22 Mars 2020 est reportée à une date ultérieure.

 

Conférence sur le Coronavirus-Dr Boncy

CEREMONIE D’HOMMAGE AU DR HENRY FORD

CEREMONIE D’HOMMAGE AU DR HENRY FORD

Le vendredi 31 Janvier 2020, l’Université de la Fondation Aristide a eu le plaisir d’accueillir le Dr Henry Ford. Un hommage spécial lui a été rendu. En témoignent les photos suivantes.

Soutenance de Mémoire

Soutenance de Mémoire
Faculté des Sciences Juridiques et Politiques
Jeudi 16 Janvier 2020

        Le fonctionnement de la société anonyme, domaine par excellence des innovations les plus importantes et les plus modernes, est dominé par la règle de la majorité dans les organes de gestion et délibérants, selon laquelle toutes les décisions sont prises à la majorité simple ou qualifiée. Dans ce contexte, les intérêts des actionnaires minoritaires, c’est-à-dire ceux qui ne détiennent pas une fraction de capital suffisante pour contre balancer le pouvoir des majoritaires se trouvent parfois sacrifiés.

       Face à cet état de fait, Mlle Island GOUIN, Graduée de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques a soutenu ce Jeudi 16 Janvier 2020,  La protection des droits des Actionnaires dans les sociétés anonymes en Haïti. Face à un Jury composé de Me Emmanuel Delva, Me Camille Fièvre et Me David Lafortune, Mlle Gouin a présenté avec passion et assurance, son travail. (suite…)

Requiem In Pace

Requiem In Pace

12 Janvier 2010 – 12 Janvier 2020

 

 A l’Université de la Fondation Dr Aristide, la journée du Vendredi 10 Janvier 2020 a marqué la commémoration du séisme du 12 Janvier 2010. Dix ans déjà que cette catastrophe a frappé nos murs emportant parents, proches, amis, camarades de classes et collègues de travail. Cette journée de recueillement nous a offert l’opportunité de nous rappeler nos chers disparus et nous inciter à prendre conscience de l’importance de la vie humaine.

Après la montée du Bicolore Haïtien et du Drapeau de l’UNIFA, une procession de plusieurs étudiants portant une banderole avec les inscriptions « Requiem In Pace», a débuté ce moment combien douloureux pour certains.

La Croix-Rouge Haïtienne était sur les lieux pour une collecte de sang symbolique en mémoire des disparus. Ont suivi des témoignages émouvants de certains étudiants qui, envahis par l’émotion et le chagrin, ont partagé leurs expériences en ce jour fatidique du 12 Janvier 2010. Puis, au tour d’une cinquantaine d’étudiants de déposer des fleurs blanches devant les cierges allumés en souvenir de chaque Haïtien disparu.

Puisse ces flammes raviver notre détermination de reconstruire Haïti.