AVIS

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Les examens d’admission auront lieu le mardi 2 Septembre à 9 hres au Campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide. Si vous souhaitez vous inscrire en présentiel, veuillez vous présenter à la Fondation Dr Aristide.

 

Violence conjugale en Haïti : Soutenance de mémoire

C’est autour du sujet « L’appréhension de la violence conjugale par le Droit haïtien » que l’étudiante en sciences juridiques à l’Université de la Fondation Dr Aristide, Shedna CAMBLARD, a soutenu ce vendredi 27 juin 2025 son mémoire de fin d’études. À travers ce travail, elle a livré une analyse lucide et engagée des limites du système juridique haïtien face à un fléau qui touche de nombreuses femmes en silence : les violences conjugales.

Dès l’introduction, la jeune juriste a rappelé que les droits des femmes en Haïti restent précaires, bien que le pays se soit engagé sur le plan international à lutter contre toutes formes de discriminations basées sur le genre. Or, constate-t-elle, entre les textes ratifiés et la réalité du terrain, un gouffre persiste. Selon elle, l’État haïtien, par sa passivité ou son inaction, contribue indirectement à la perpétuation de ces violences.

Sa question de recherche est sans détour : « Comment la législation haïtienne et les institutions étatiques contribuent-elles à maintenir un climat de perpétuation des violences conjugales et de violation des droits des femmes ? » À cette question, Shedna propose une hypothèse forte : « La récurrence de la violence conjugale est favorisée par la faiblesse législative et l’inefficacité des institutions de protection des droits humains. »

Adoptant une approche qualitative et un plan binaire articulé autour du problème et des solutions, elle explore d’abord les failles de la législation nationale. De la Constitution au Code pénal, en passant par le Code civil et le Code du travail, l’étudiante dresse un tableau critique d’un arsenal juridique peu protecteur, voire obsolète, face aux réalités de la violence domestique. Elle élargit également son analyse en comparant la situation d’Haïti à celle de pays comme la France ou le Royaume-Uni, où la violence conjugale est reconnue comme une infraction clairement définie, avec des dispositifs de prévention et de sanction.

Dans la seconde partie de son mémoire, Shedna se penche sur l’efficacité des institutions. Elle passe en revue les institutions étatiques et les organisations féministes engagées dans la lutte pour le respect des droits des femmes face aux violences conjugales. Pour approfondir son analyse, elle s’est appuyée sur des entretiens semi-directifs menés auprès de 200 femmes vivant à Pétion-Ville et à Kenscoff. Ces témoignages mettent en évidence l’impuissance des victimes face à un système défaillant et le manque cruel d’accompagnement institutionnel.

En conclusion, l’étudiante formule des pistes de solutions concrètes en vue d’une meilleure prise en charge des victimes et d’une refonte des mécanismes de prévention et de répression.

En mettant ainsi en lumière les lacunes du Droit haïtien et des structures de l’État, Shedna CAMBLARD interpelle autant les décideurs que la société toute entière. Son mémoire sonne comme un appel à l’action dans un pays où, trop souvent, la douleur des femmes reste confinée au silence des foyers.

Début des inscriptions en ligne pour la nouvelle année académique 2025-2026

 

L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) informe les intéressés.es et le public en général de l’ouverture des inscriptions de l’année académique 2025-2026 pour les options suivantes :

– MÉDECINE
– ODONTOLOGIE
– SCIENCES INFIRMIÈRES
– PHARMACIE
– LABORATOIRE
– PHYSIOTHÉRAPIE
– GÉNIE
– ARCHITECTURE
– SCIENCES JURIDIQUES ET POLITIQUES
– SCIENCES ÉCONOMIQUES ET ADMINISTRATIVES
– AGRONOMIE
ÉDUCATION PERMANENTE

 

PIÈCES À PRÉSENTER

  • Deux (2) photos d’identité récentes
  • Extrait d’Archives récent ou Acte de naissance (Original et Copie)
  • Relevés de notes ou Certificat du Baccalauréat IIème partie (Original et Copie)
  • Une pièce d’identité : CIN ou NIF (Original et Copie)

 

N.B.  Pour les postulants qui souhaitent s’inscrire sous réserve, l’UNIFA leur fait obligation de présenter au moment opportun la fiche indiquant leur participation aux examens du Baccalauréat IIème partie de l’année académique 2025-2026 (Original et Copie).

FRAIS D’INSCRIPTIONS
Les frais d’inscriptions sont de cinq mille  (5.000.00) Gourdes pour la Médecine et deux mille  (2,000.00) Gourdes pour les autres disciplines.

 

Les intéressés sont priés de cliquer sur le lien qui suit, pour de plus amples informations.

(https://unifa-edu.info/contenu/conditions-et-demarches-a-suivre-pour-les-inscriptions-pour-la-nouvelle-annee-academique-2024-202)

 

DATE DES EXAMENS
La date des examens sera annoncée ultérieurement.
Pour toutes informations supplémentaires, l’UNIFA vous prie de visiter son site : www.unifa-edu.info ou d’appeler aux : 28110408 – 28170405 – 28170411 – 28170412.

Des Bourses seront accordées aux lauréats  sous forme de Scolarité ou de logement gratuit !

AVIS : Publication en ligne des Résultats des épreuves de connaissances de la 2ème session

Le RECTORAT de l’Université porte à la connaissance des étudiants de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture (FSNA) que les résultats de l’année académique 2024-2025, sont disponibles sur le site web de l’Institution (https://unifa-edu.info/contenu/).  

Les étudiants ayant répondu aux exigences d’ordre administratif peuvent y accéder à partir de l’adresse suivante : (https://unifa-edu.info/contenu/bulletin/

AVIS : Publication en ligne des Résultats des épreuves de connaissances de la 2ème session

Le RECTORAT de l’Université porte à la connaissance des étudiants de la Faculté des Sciences Économiques et Administratives (FSEA) et de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP) que les résultats de l’année académique 2024-2025, sont disponibles sur le site web de l’Institution (https://unifa-edu.info/contenu/).  

 

Les étudiants ayant répondu aux exigences d’ordre administratif peuvent y accéder à partir de l’adresse suivante : (https://unifa-edu.info/contenu/bulletin/

AVIS : Publication en ligne des Résultats des épreuves de connaissances de la 2ème session

Le RECTORAT de l’Université porte à la connaissance des étudiants de la Faculté d’Odontologie (FDO), de la Faculté de Génie et d’Architecture (FGA), et de la Faculté de Pharmacie et des Sciences Biomédicales (FPSB) que les résultats de l’année académique 2024-2025, sont disponibles sur le site web de l’Institution (https://unifa-edu.info/contenu/).  

 

Les étudiants ayant répondu aux exigences d’ordre administratif peuvent y accéder à partir de l’adresse suivante : (https://unifa-edu.info/contenu/bulletin/

AVIS : Publication en ligne des Résultats des épreuves de connaissances de la 2ème session

Le RECTORAT de l’Université porte à la connaissance des étudiants de la Faculté de Médecine (FM), de la Faculté des sciences de réhabilitation (FSR), et de la Faculté des sciences infirmières que les résultats de l’année académique 2024-2025, sont disponibles sur le site web de l’Institution (https://unifa-edu.info/contenu/).  

 

Les étudiants ayant répondu aux exigences d’ordre administratif peuvent y accéder à partir de l’adresse suivante : (https://unifa-edu.info/contenu/bulletin/

Évaluation de l’année académique 2024-2025 : Quand la science, la conscience et Haïti se rencontrent

C’est dans une ambiance conviviale que s’est tenue, ce lundi 2 juin, à l’auditorium de l’Université de la Fondation Dr Aristide, la traditionnelle séance d’évaluation de l’année académique. Animée par le Président de l’institution, Dr Jean-Bertrand Aristide, cette rencontre a permis aux représentants des différentes classes d’échanger sur les points positifs et les défis de l’année 2024-2025. Fidèle à son style unique, l’ancien Chef d’Etat a proposé une réflexion profonde, mêlant éducation, science et société, à travers le prisme du coefficient de corrélation de Pearson.

Une approche statistique… puis trigonométrique

D’entrée de jeu, Président Aristide a surpris l’auditoire en posant une question inattendue : « Le coefficient de corrélation de Pearson (r), comme le cosinus, varie entre -1 et +1. Sachant que plus r se rapproche de +1 et -1, plus la relation entre deux variables est forte. Calculez le coefficient ‘r’ entre les variables C (classe) et U (université), U (université) et H (Haïti) ? » Loin d’une simple formalité, cette interrogation a servi de prélude à une démonstration pédagogique mêlant statistique, neuroanatomie et conscience.

D’abord, il a évoqué la formule classique de Pearson — covariance divisée par le produit des écarts-types — avant d’opter pour une illustration plus visuelle : un triangle rectangle où C, U et H forment les angles. « Comme le cosinus, ‘r’ varie entre -1 et +1. Plus il s’approche de ces extrêmes, plus la relation est forte », a-t-il souligné, comparant le calcul à celui d’un angle en trigonométrie.

Dans une troisième approche, plus subjective, Dr Aristide a invité les participants à attribuer eux-mêmes une valeur numérique à la relation entre leur classe et leur université, entre l’université et Haïti. « Donc, je peux dire si je veux calculer le coefficient ‘r’ des deux variables ‘C’ (classe) et ‘U’ (université), à moi maintenant de voir quelle est la relation qui existe entre ma classe et mon université pour placer le coefficient. Par exemple, j’aurais pu dire que ma classe et mon université vivent, sont sur la même longueur d’onde, partagent les mêmes valeurs, développent des activités issues de ma classe. Donc, il y a une proximité entre mon université et ma classe.»

Plongée dans l’inconscient : dopamine et valeurs humaines

La seconde partie de l’intervention a basculé vers une dimension neuroscientifique. Brandissant un modèle de cerveau, le Président a expliqué de manière accessible les interactions entre l’aire tegmentale ventrale et le nucleus accumbens, deux zones liées à la dopamine et à la notion de récompense. « Pearson en particulier, l’un des pionniers de ces recherches scientifiques, a pu démontrer qu’ils ont calculé le coefficient de relation existant entre l’aire tegmentale ventrale et le nucleus accumbens quand il s’agit de recevoir de l’argent. Ce que les scientifiques appellent la récompense monétaire », a-t-il révélé.

Mais au-delà du mécanisme biologique, c’est l’éthique qui a été au cœur du message. « Un médecin avare, un ingénieur avare, un physiothérapeute avare, une infirmière avare, …nous n’en voulons pas.

« Nous à l’UNIFA, nous formons des professionnels qui développent leur conscience. C’est consciemment que nous devons cultiver les belles valeurs qui permettent à notre inconscient de nous guider vers un monde meilleur. », a martelé Dr Aristide avec conviction, clôturant ainsi une prise de parole aussi dense que mémorable.

Échanges et clôture en harmonie

La discussion qui a suivi a permis aux étudiants de s’exprimer librement, de poser des questions et de partager leurs impressions. L’échange, riche en idées, a ouvert de nouvelles perspectives pour aborder avec sérénité et enthousiasme l’année académique à venir.

En guise de conclusion, deux Unifaristes ont interprété une magnifique pièce musicale, ponctuant la rencontre d’une touche artistique. Deux photos de groupe ont été prises — l’une dans l’auditorium, l’autre dans la cour — marquant ce moment de partage et de dialogue. La journée s’est achevée par une collation chaleureusement partagée à la salle Polyvalente.

Cette journée, à la croisée des statistiques, des neurosciences et de la conscience, a confirmé la singularité de l’Université de la Fondation Dr Aristide : une institution où l’excellence académique se conjugue avec une vision humaniste, pour Haïti et par Haïti.

 

Inaccessibilité du service d’État Civil en milieu rural

Dans un pays où près d’un enfant sur trois n’est pas enregistré à l’état civil, obtenir un simple acte de naissance relève souvent de l’impossible, surtout en milieu rural. L’étudiante en Sciences juridiques à l’Université de la Fondation Dr Aristide, Sancarah Merveille, a passé des mois à étudier ce phénomène méconnu mais aux conséquences dramatiques. Elle a soutenu avec succès, le lundi 19 mai 2025, son mémoire intitulé : « L’inaccessibilité du service d’État Civil dans les milieux ruraux en Haïti, face au droit à l’identité : cas du Département du Centre d’Haïti », une étude qui jette une lumière crue sur un système à bout de souffle.

Dans ce travail, Sancarah s’intéresse au lien fondamental entre l’accès au service d’État Civil et l’exercice du droit à l’identité. Selon elle, ce droit, inhérent à toute personne humaine, se concrétise à travers l’État Civil qui est un service Public capable d’enregistrer la naissance de toute personne par le biais d’un fonctionnaire dit Officier de l’État Civil (OEC).

La future professionnelle du droit constate pourtant que dans les zones rurales du pays, ce service n’est pas accessible, compromettant ainsi l’un des droits humains les plus élémentaires. Ce constat l’a amenée à poser une question centrale : « En quoi l’inaccessibilité du service d’État Civil a-t-elle des conséquences néfastes sur le droit à l’identité ? »

Elle émet l’hypothèse selon laquelle « L’inaccessibilité du service d’État Civil constitue une entrave au droit à l’identité dans la mesure où il entraîne l’absence d’une jouissance de l’exercice des droits civils; l’absence d’une protection émanant de l’État qui pourrait déboucher sur l’inexistence même de la personne en raison de l’indivisibilité des droits humains. »

L’objectif de sa recherche est clair : « identifier les causes de la violation du droit à l’identité liées à l’inaccessibilité du service d’État Civil, notamment dans le département du Centre ». Pour y parvenir, Sancarah a adopté une méthodologie qualitative, combinant recherche documentaire et entretiens semi-dirigés. Elle a ainsi pu interroger sept des treize Officiers d’État Civil présents dans le département. Ces témoignages lui ont permis de dresser un état des lieux alarmant.

Parmi les principaux constats :

  • Les OEC manquent cruellement de moyens matériels (bureaux, registres, formulaires). Ce déficit les pousse à exiger des cotisations, dont les montants varient selon les communes ;
  • De nombreux enfants de plus de dix ans ne possèdent toujours pas d’acte de naissance ;
  • L’éloignement géographique entre les bureaux d’État Civil et les sections communales complique ou empêche les parents de déclarer la naissance de leurs enfants.

Certaines communes sont confrontées à des situations particulièrement critiques :

  • À Boucan-Carré, les registres sont rongés peu à peu par les poutres en bois d’un local inadapté ;
  • À Savanette, l’OEC officie depuis la cour de son frère, faute de bureau ;
  • À Saut-d’Eau, il n’y a plus d’OEC depuis 2020 ; c’est un clerc qui reçoit les déclarations, signées ensuite par l’OEC de Mirebalais ;
  • Dans des sections comme Montagnes Terribles, Rivières Cadeau, Destinvil ou Lassègue, les habitants délèguent un “bon samaritain” pour déposer et récupérer les déclarations de naissance.

Face à ce désastre, Sancarah propose des pistes concrètes :

  • Augmenter le budget de fonctionnement du service d’État Civil afin d’assurer un approvisionnement régulier en matériel ;
  • Moderniser le système en le rendant informatisé et universel.
  • Mettre en place un programme de recyclage semestriel pour les OEC.
  • Adopter une nouvelle loi pour corriger le manque de proximité entre les bureaux d’État Civil et les sections communales, la législation actuelle datant de 1974.

À travers ce travail rigoureux, Sancarah MERVEILLE attire l’attention sur une problématique souvent négligée, mais pourtant au cœur de la citoyenneté et des droits humains. Son mémoire constitue une contribution significative à la réflexion sur l’accès à l’identité légale en Haïti, particulièrement pour les populations rurales. Son mémoire, salué par le jury, pourrait servir de base à une future réforme.

 

Clôture de la Semaine Scientifique 2025 : un pas de plus vers la justice réparatrice

La Semaine Scientifique s’est achevée, ce vendredi 16 mai, sur une note à la fois festive et engagée, marquée par des allocutions inspirantes, des hommages symboliques et des initiatives solidaires. Durant cinq jours, étudiants, professeurs et invités ont exploré les dimensions historiques, économiques, politiques et morales de la dette imposée à Haïti après son indépendance, en 1825.

La journée a débuté par l’intervention du Responsable des Affaires Académiques, Dr Dodley Sévère, qui a rappelé aux étudiants leur rôle crucial dans la pérennisation des connaissances partagées durant l’événement. Evoquant la demande officielle de restitution formulée par le Président Aristide le 7 avril 2003, il les a exhortés à porter le flambeau de cette revendication. « Il vous revient aujourd’hui, étudiants et étudiantes de l’UNIFA, de garder allumée la flamme de ce qui s’est exprimé tout au long de cette semaine. À vous désormais de pérenniser le cri lancé le 7 avril 2003, lorsque le Président de l’Université, le Dr Jean-Bertrand Aristide, a revendiqué avec force ce qui, depuis longtemps, aurait dû faire l’objet d’une exigence de justice », a-t-il déclaré.

De son côté, la Doyenne de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé, Dr Daphnée Benoît Delsoin, a exprimé sa satisfaction quant au déroulement de la semaine. Elle a souligné le rôle essentiel joué par le Président de l’Université et Mme Mildred Aristide, sans oublier Dr Blondine Innocent, ancienne étudiante engagée qui a accompagné les jeunes tout au long de l’événement. Fidèle à l’esprit de solidarité qui anime l’institution, elle a également encouragé les étudiants à faire don de leur sang, une tradition symbolique et citoyenne de la Semaine Scientifique. La journée a aussi coïncidé avec l’anniversaire de Dr Benoît, célébrée avec chaleur par la communauté universitaire.

Le Révérend Père Wesner Nérée a rendu un vibrant hommage au drapeau national. A travers une chorégraphie exceptionnelle préparée par le Président Aristide, des étudiants ont défilé avec, avec une banderole portant l’inscription « 17 avril 1825 » – date symbolique du tribut imposé à Haïti après son indépendance – avant de la déchirer pour laisser place au bicolore haïtien. La foule, debout, a entonné « Hymne à la jeunesse : Nous te voulons chère patrie ! », unissant voix et émotions. Un hommage solennel qui a ému l’assistance et ravivé les consciences.

Comme à l’accoutumée, l’Université de la Fondation Dr Aristide a clôturé l’événement en offrant des bourses ainsi qu’une collation aux étudiants. 58 bourses et13 demi-bourses ont été distribuées. Une manière concrète pour l’université de soutenir la jeunesse haïtienne et d’investir dans l’avenir.

À travers cette édition de la Semaine Scientifique, l’Université affirme son rôle de pionnière dans la réflexion et la mobilisation autour de la justice réparatrice. Elle démontre qu’elle ne forme pas seulement des professionnels, mais aussi des citoyens conscients, critiques et porteurs d’espoir pour la nation. La semaine s’est achevée, mais le débat sur la justice réparatrice reste plus que jamais ouvert.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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