Actualités de l’UNIFA (Page 4)
Actualités de l’UNIFA
Le Droit de vote
Le 16 décembre 2021, l’Université de la Fondation Dr Aristide a consacré sa conférence hedomadaire sur le thème « Le Droit de vote » à la date symbolique du 16 décembre qui représente pour le peuple haïtien, les progressistes en particulier, le symbole de l’expression de la volonté populaire à travers son vote du 16 décembre 1990 et son choix pour vivre dans une société démocratique et choisir librement ses dirigeants.
Un panel a expliqué aux jeunes en quoi consiste le droit de vote mais aussi leur a décrit la situation sociopolitique d’alors qui avait conduit aux élections du 16 décembre 1990 considérées comme la première élection libre et démocratique réalisée en Haiti.Le Docteur Dodley Sévère, Responsable des Affaires Académiques, présentant la thématique de la conférence du jeudi 16 décembre 2021.
Le Père Wesner Nérée, Professeur et responsable de discipline à l’UNIFA, lance l’ouverture de la conférence du 16 décembre 2021 sur le Droit de vote.
Les panélistes, de gauche à droite : Madame Laura Vorbe, Architecte Leslie Voltaire, responsable de la section Architecture et Marie Claudèce Joseph, Professeure de Sciences Sociales et Humaines.
Une vue de l’assistance composée de Doyens et Doyennes des différentes Facultés et de Mme Mildred T. Aristide qui paie toujours de sa présence aux conférences des jeudis de l’UNIFA.
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« Nous avons déjà dix-huit ans » en réponse à la question de l’Architecte Leslie Voltaire pour voir le nombre d’étudiants ayant déjà atteint l’âge les habilitant à exercer leur droit de vote.
Attentifs-ves à la présentation des aînés et professeurs sur non seulement le thème « Le Droit de vote » mais aussi à leurs témoignages sur l’exercice de ce droit, le 16 décembre 1990, pour la première fois.
Toujours avides de questions, de préoccupations, les Unifaristes questionnent leurs aînés et cherchent à comprendre cette page de la vie politique haïtienne.
JEUDI DE L’UNIFA DU 9 DECEMBRE 2021
Le jeudi de l’UNIFA du 9 décembre 2021 a eu une touche bien particulière. Des étudiants et étudiantes de toutes les facultés ont analysé et interprété l’hymne de l’UNIFA, leur université. Hymne dont les paroles et la musique sont composées par le Docteur Jean Bertrand Aristide, Président de l’UNIFA.
Le panel composé des représentants de l’Ecole de Physiothérapie, des Facultés de Médecine, d’Odontologie, des Sciences Infirmières, de Génie et d’Architecture, des Sciences de la Nature et d’Agriculture, des Sciences Politiques et Juridiques ont ébloui l’assistance par la qualité de leur intervention.
La maitresse de cérémonie pour la circonstance.
Avec brio, ils, elles ont tous et toutes interprété-es un couplet de l’hymne de l’UNIFA, (leur trait d’union) au sein de leur université. Leur insistance et analyse pointue sur des concepts et/ou affirmations comme « UNIFA, Notre Alma Mater », institution d’offre de formation sans Exclusion ou « Sin pa Sove Diyite n, Diyite n ap Sove kite n » pour ne citer que ceux-là ont charmé le public composé de professeurs mais surtout d’étudiant-es.
Quel Plaisir d’écouter ses camarades ! Cette attention, cet intérêt pour l’activité du jour et ce petit sourire complice traduit bien le niveau de satisfaction et de fierté des participant-tes pour la qualité de la présentation des panélistes.
L’attention est soutenue au moment de la présentation des étudiant-es panélistes. Quelle joie d’apprendre de ses pairs, de ses camarades de classe !
L’insécurité
La famille haïtienne peine, depuis bon nombre années, sous le poids de multiples situations, tantôt sous forme de catastrophes naturelles, tantôt à caractère socio-économique et/ou politique. Cependant, à l’instar des autres nations, elle espère pouvoir continuer à s’adonner aux activités du quotidien. Aujourd’hui, plus que jamais, toile de fond de toutes ces situations vécues, un fléau occupe l’espace et bouleverse la quiétude d’esprit : l’insécurité.
Me James Boyard, éminent avocat du Barreau de Port-au-Prince, auteur et Professeur d’Université, se penche sur ce sujet poignant, qui angoisse la famille haïtienne.
Me Jean Baptiste Blanchard, Décanat de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques /UNIFA
Me James Broyard, Professeur à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques /UNIFA
« La sécurité est la fonction première de l’État. Un État légitime et souverain doit accorder une importance capitale à la sécurité de la nation, car un peuple qui n’est pas en sécurité sur sa propre terre ne peut contribuer à la croissance de son pays »
Les ophtalmologues se font de plus en plus rares en Haïti
Dans le cadre du rendez-vous hebdomadaire baptisé « les Jeudis de l’UNIFA », une conférence débat s’est tenue à l’auditorium de l’Université de la Fondation Dr Aristide le jeudi 25 novembre 2021 autour de l’ophtalmologie. C’est le Dr Réginald Réjouis, ophtalmologue et professeur d’université qui a animé cette conférence à laquelle des centaines d’étudiants, dont ceux en ophtalmologie, en odontologie, en médecine et en sciences infirmières ont pris part.
D’entrée de jeu, le spécialiste en faisant la genèse de cette branche médicale qui s’occupe des problèmes de la vue « Ophtalmologie », a permis à l’auditoire de mieux cerner la définition d’ophtalmologie, l’évolution de cette science et la mission de quelqu’un qui a étudié cette discipline et la situation du pays à ce niveau.
L’ophtalmologie, dit-il, est une discipline qui s’occupe de la maladie des yeux. « Ces derniers font partie des organes de l’homme et contiennent des milieux transparents permettant de voir », a fait valoir le médecin, ajoutant que pour pouvoir voir normalement, il faut avoir des yeux avec des milieux bien transparents.
Cependant, à l’ombre de l’ophtalmologie qui s’occupe des yeux, Dr Réginald Réjouis soutient qu’il y a d’autres sciences connexes qui prennent en compte certains problèmes oculaires. Parmi ces sciences, il cite, entre autres, optométrie, une discipline qui, explique-t-il, étudie la réfraction de l’œil. Cette discipline, souligne le spécialiste, s’occupe uniquement de la prescription des verres. Il a aussi mentionné l’opticien qui se spécialise dans la fabrication et la vente des verres. « Ces deux spécialisations peuvent travailler de concert avec un ophtalmologue », a-t-il précisé.
L’ophtalmologie en tant que science est divisée en plusieurs sous spécialités. Après une spécialisation de 4 ans en résidence hospitalière en ophtalmologie, quelqu’un peut s’orienter vers une sous-spécialité pour acquérir des connaissances approfondies en matière de santé visuelle, a renchéri le professeur d’universités, indiquant qu’il y a également la chirurgie-olfactive comme sous-spécialités qui s’occupent de la défaillance visuelle.
Les dates importantes de cette science
Au cours de son exposé, Dr Réginald Réjouis a cité quelques dates qui ont marqué cette discipline qui s’occupe de la vue. Selon le médecin, le premier livre d’ophtalmologie a été rédigé en 1583 par un médecin Allemand.
Le docteur en a profité pour présenter la situation du pays dans le domaine médical. Ainsi, les informations rapportées laissent croire qu’Haïti ne dispose rien que 3 354 médecins pour 11 millions d’habitants. Le pire, déplore le professeur, est qu’il n’y a même pas 100 ophtalmologues. Pourtant, cette science est apparue en Haïti au cours de la période de l’occupation américaine, période à laquelle ce service a été débuté à l’hôpital de l’Université d’État d’Haïti, d’après Dr Réjouis.
Faisant l’état des lieux de la situation, le conférencier se dit consterné de voir la dégradation du système de santé haïtien. Pour lui, le système est traité en parent pauvre par les autorités haïtiennes. Le professeur a mis un accent particulier sur le nombre de médecins dont des ophtalmologues qui fuient le pays. Cette situation, de l’avis du médecin, est préoccupante. Ce qui pousse le spécialiste, à encourager les autorités concernées à prendre les décisions qui s’imposent afin de créer un climat sécuritaire dans le pays dans l’optique de pallier ce problème.
Les étudiants font des « les jeudis de l’UNIFA », un rendez-vous à ne pas manquer. Les thématiques choisies sont d’intérêt général. Les conférenciers sont parmi les plus chevronnés sur le marché. La conférence du 25 novembre traduit encore une fois la volonté des responsables de ce centre universitaires de permettre aux étudiants d’avoir une meilleure compréhension des sciences médicales et leur évolution dans le pays.
Depuis Aristote, philosophe grecque de l’antiquité, il est admis que l’être humain possède cinq sens représentés par leurs organes sensoriels inhérents : les oreilles, les yeux, le nez, la langue et la peau. Pendant longtemps en Haïti, une spécialité médicale a regroupé les trois premiers : l’ORL-O (l’otho-rino-laryngologie-ophtalmologie). Depuis déjà une bonne vingtaine d’années, l’Ophtalmologie s’est singularisée chez nous : Nos premiers Ophtalmologues ont été formés à l’unique centre hospitalier universitaire de l’époque.
Le Jeudi 25 novembre, à l’auditorium du campus, le « Jeudi de l’UNIFA » a accueillit le Dr Réginald Réjouis, Ophtalmologue, Professeur d’Université.
Dr Réjouis, le conférencier.
De droite à gauche : Prof Claudèce Joseph, Dr Daniel Gabriel, Doyen de la Faculté d’Odontologie, Mme Mildred Aristide, Dr Francis St Hubert.
CLINIQUE MOBILE DES MEDECINS DIPLOMES DE L’UNIFA A CAMP-PERRIN
Les photos parlent d’elles-mêmes et montrent comment des médecins, infirmières de l’Université de la Fondation Dr Aristide sont dynamiques, dévoués et se mettent au service de la population du Grand Sud, spécifiquement, celle de Trouillard dans la commune de Camp-Perrin.
Bien équipé en matériel médical, la jeune médecin de l’Université de la Fondation Dr Aristide mesure le niveau d’oxygénation, contrôle le rythme cardiaque de cette patiente du troisième âge.
Les médecins de l’Université de la Fondation Aristide innovent, s’adaptent aux réalités de l’heure : N’importe quel espace est rapidement aménagé et transformé en lieu de consultation.
Le plus important est de Servir !
Nous, médecins diplômés de l’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA), mettons notre compétence au service des plus vulnérables et nécessiteux, victimes du séisme du 14 août 2021. Nous parcourons les départements du Sud, de la Grande Anse et des Nippes pour offrir des soins, des médicaments, de la formation et des conseils.
Une tonnelle transforme en centre de consultation. Les médecins de l’UNIFA pratiquent une médecine de proximité et vont plutôt vers les patients.
Nous médecins, sommes soudés les uns aux autres par le sceau de notre Alma Mater, notre Amour : « UNIFA. »
CLINIQUE MOBILE AUX ANGLAIS (DEPARTEMENT DU SUD) DES MEDECINS ET INFIRMIERES DIPLOMES DE L’UNIVERSITE DE LA FONDATION DR ARISTIDE (UNIFA)
Les médecins diplômés de l’UNIFA n’abandonnent pas à leur sort les victimes du séisme du 14 août 2021 dans les Départements du Sud, des Nippes et de la Grande Anse.
Les cliniques mobiles sont le fruit de réflexions et d’actions concertées de médecins, professeurs et responsables de l’Université de la Fondation Dr Aristide.
Le Docteur Jean Marie Aubourg qui était dans la ville des Cayes le 14 août 2021 au moment du séisme affirme que » L’idée m’est venue pendant que j’étais sur place et j’ai tout de suite suggéré à l’UNIFA d’utiliser les internes et les étudiants en service social pour organiser des cliniques mobiles afin de venir au secours des victimes du séisme »
Le Docteur Edmond Pierre, Directeur Médical de l’Hôpital Universitaire de la Fondation Dr Aristide confie pour sa part « j’ai participé à une rencontre après le séisme du 14 août 2021 devant conduire à un plan de travail et une coordination avec les unifaristes dans le Sud pour organiser des cliniques mobiles. Dès lors un stock de médicaments est disponible pour les cliniques mobiles ».
Des médecins et infirmières plus expérimentés ont accompagné les médecins à la clinique mobile aux Anglais. Les médecins et infirmières : Docteur Lucette Séide, Docteur Wyclive Jean Pierre, Miss Marie Loondya Misère et Miss Evelyne Eugène ont contribué à fournir des soins à la population des Anglais.
Enfants et adultes en ont profité pour recevoir des soins au cours de la clinique mobile réalisée aux Anglais par les médecins de l’UNIFA.
Deux anciennes de l’UNIFA mettent toute leur attention pour écouter les patientes en consultation.
Des femmes (jeunes et âgées) attendent patiemment leur tour.
A part les soins médicaux, une séance de formation pour des conseils en termes de prévention et autres avant de commencer avec les consultations.
La demande en soins médicaux est très élevée aux Anglais tenant compte du nombre de personnes en attente. En attendant, les médecins unifaristes offrent leur compétence en vue de combler ce vide.
Une foule en attente de soins. La demande est importante dans cette communauté
Des patients debout, en majorité des femmes attendent leur tour.
Bien équipé en matériel avec le support de l’Université de la Fondation Dr Aristide, les médecins font une première évaluation des patients à travers un contrôle de leurs signes vitaux.
Les enfants sont pris en charge sous le regard attentif de leur parent.
Une concentration hors pair de ce médecin au moment de la prise en charge de cette fillette.
La neurologie, un acteur incontournable du bien-être
La neurologie a été au centre des débats à l’auditorium du campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide au cours de l’édition du 11 novembre des Jeudis de l’UNIFA. Dans une salle archicomble composée en grande partie d’étudiants en médecine, odontologie, Sciences infirmières physiothérapie, le neurologue et chef de service de Médecine interne à l’Hôpital de l’Université Dr Aristide, Dr Quénold Désiré a exposé, dans une ambiance de débat intense, l’importance de la neurologie dans une société.
Avoir des connaissances en neurologie, soutient le docteur Quénold Désiré, permet à des êtres humains de savoir quand il y a des signes d’alarmes au niveau du système nerveux, quand il faut s’inquiéter à cause d’un problème neurologique. Tenue autour du thème « La neurologie
est un acteur incontournable pour le bien-être de plus d’un », cette conférence-débat a permis à l’assistance de mieux comprendre pour certains et connaitre pour d’autres, certains signes et symptômes liés à des maladies neuro-vasculaires.
Professeur de son état, le spécialiste a utilisé un langage basique et clair pour transmettre le message. Ce qui a facilité la participation des étudiants des différentes disciplines. La neurologie, fait-il savoir, est l’étude des maladies du système nerveux. Ces dernières peuvent être de natures diverses. Dr Désiré parle des maladies vasculaires comme l’hypertension qui peut déboucher sur une atteinte au système nerveux, entrainant ainsi des complications graves avec l’obstruction d’une artère par un caillot de sang.
Ces complications, poursuit le neurologue, suivant la partie touchée, peuvent affecter la parole, l’audition, la vue, le mouvement, la sensibilité (…). Dans tous les cas précise-t-il, il faut une prise en charge par un neurologue dans les 270 minutes qui suivent cette atteinte. Passé ce délai, on ne pourra pas déboucher le vaisseau en question.
Mise à part des complications neuro-vasculaires, le professeur a mis l’accent sur des maladies infectieuses telles la méningite, l’encéphalite, la névrite ; les maladies tumorale qui sont liées à la prolifération de cellules désordonnées pouvant entrainer la mort du patient et les maladies neuro-dégénératives qui affectent le système nerveux, entraînant la mort des cellules nerveuses. Les plus fréquentes sont la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson mais il en existe bien d’autres.
Tout au long de son intervention, le docteur a tenu à expliquer l’importance de la neurologie. C’est le système nerveux, insiste-t-il, qui coordonne les actions de tous les autres systèmes du corps. La mémoire, la compréhension, l’apprentissage dépendent tous du cerveau. Si la faiblesse musculaire, la perte de la sensibilité, les troubles du langage, les problèmes de vision, les problèmes d’audition et d’équilibre, apparaissent brusquement, il y a une forte possibilité qu’il s’agisse d’un caillot pouvant conduire un infarctus cérébral.
Le stress a été également abordé au cours de cette riche conférence-débat. À bien comprendre le chef de service de Médecine Interne à l’Hôpital Universitaire Dr Aristide, le stress affecte à la fois le système cardiovasculaire et le système nerveux central. Aussi poursuit-il qu’il a un effet direct sur le système nerveux en stimulant la sécrétion d’adrénaline qui entrainera une augmentation de la fréquence cardiaque et une augmentation de la tension au niveau des artères susceptibles d’aboutir à un accident vasculaire cérébral (AVC).
Tout compte fait, cette édition de Jeudis de l’UNIFA a été succès. L’interaction qui existait entre les étudiants et l’intervenant témoigne l’intérêt que ces derniers accordent à la recherche et au sujet qui a y été amplement débattu. Ils ont compris qu’il y a un lien direct entre la productivité, le bien-être et la neurologie.
Dr Graciela Limonta Vidal, membre du Décanat de la faculté de Médecine, introduisant l’intervenant du jour, le Dr Quénold Désiré.
Dr Quénold Désiré, le conférencier.
Près d’un millier d’étudiants ont pris part à l’édition des Jeudis de l’UNIFA du 11 Novembre 2021.
Vue partielle de la salle.
Remarquable participation des étudiants_es à la Conférence.
Beaucoup d’étudiants veulent interagir et poser des questions au neurologue.
Regard sur la dentisterie du futur
Les Sciences de la santé regroupent différentes disciplines. L’importance de leur articulation de même qu’une vraie connaissance de leur interaction, devraient permettre de mieux appréhender la place de ces dites disciplines dans la vie quotidienne de l’être humain. Le bien-être de ce dernier est la finalité de cette harmonisation.
À l’Université de la Fondation Dr Aristide, l’une de ces disciplines est l’Odontologie. Ainsi, dans le cadre des « Jeudis de l’UNIFA », le 21 octobre 2021, le Dr Daniel Gabriel, Doyen de la Faculté d’Odontologie a prononcé une conférence.
Dr Daphnée Benoît Delsoin, Doyenne de la Faculté de Médecine, introduit le Dr Daniel Gabriel.
Dr Daniel Gabriel, Doyen de la Faculté d’Odontologie.
Une vue de l’assistance.
Dorveline Georges, étudiante en troisième année des Sciences Infirmières, préocupée par le lien existant entre l’Odontologie et les Sciences de la Santé.
Woodny Sildeas, étudiant en 1ère année d’Odontologie.
L’UNIFA À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE
Dr Dodley Sévère, Responsable des Affaires Académiques dans son allocution d’ouverture du premier Jeudi de l’UNIFA, le 14 Octobre 2021 :« L’UNIFA À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE ».
L’élaboration des cursus implique : Innovation pédagogique et praxis des étudiants.
De la gauche vers la droite : Ing. Rony Bien Aimé, professeur à l’UNIFA, Me Joselaine Mangnan, Doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques et l’Ing. Jean Philippe Moyse.
Les étudiants prêtent une attention soutenue à l’exposé de la Doyenne de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques. Elle profite de cette occasion pour rappeler le programme de Droit en ligne de cette dite Faculté.
Une visite du site de l’Université offre à tous l’opportunité de mieux connaître l’UNIFA.
A l’Université de la Fondation Dr Aristide, le numérique est perçu comme un levier pouvant contribuer à la rénovation des pratiques d’enseignement supérieur.
L’UNIFA au secours des victimes et rescapés du séisme du 14 août 2021
L’Université de la Fondation Dr Aristide apporte sa contribution et vole au secours des victimes et rescapés du séisme du 14 août 2021 survenu dans les départements des Nippes, du Sud et de la GrandeAnse.
L’Université de la Fondation Dr Aristide (UNIFA) à travers les Facultés de Médecine, des Sciences Infirmières et son Ecole de Physiothérapie ne reste pas indifférente aux victimes du séisme du 14 août 2021 qui a ravagé les départements desNippes, du Sud et de la Grande Anse.
A travers une solide équipe médicale composée de médecins hautement qualifiés, de cadres en santé, de diplomés en médecine, en Sciences Infirmières et enPhysiothérapie, l’UNIFA participe à la réponse d’urgence en santé dans les départements touchés par le séisme du 14 Août 2021. L’usage de la télémedecine est au cœur de cette activité et s’avère très efficace au moment de cet élan de solidarité avec les victimes des départements des Nippes, du Sud et de la GrandeAnse.
Disposant d’équipements, de matériels sanitaires suffisants, ajouté à une technologie appropriée, l’équipe médicale de l’UNIFA est bien présente au chevet des victimes du séisme dévastateur du Grand Sud. Des diplomés de l’UNIFA qui étaient déjà sur place dans le sud ont rejoint l’équipe médicale et tous sont à pied d’œuvre apportant leur pierre et réconfort aux victimes du Grand Sud.
Un médecin de l’équipe médicale de l’UNIFA donnant des soins à un adolescent gravement blessé au pied gauche au cours du séisme du 14 août 2021.
Une infirmière, membre de l’équipe médicale de l’UNIFA en train de réaliser un pansement pour cet homme victime du séisme.
Une consultation pour cette femme fracturée au visage.
Un jeune rescapé fracturé au genou recevant les premiers soins d’un membre de l’équipe médicale de l’UNIFA.
Un médecin de l’équipe parlant à une victime afin de mieux poser son diagnostic.
Une prise de vue des fiers médecins diplômés de l’UNIFA, prêtant leur service aux populations du Grand Sud, victimes du séisme du 14 août 2021.
L’équipe dispose de matériel nécessaire et des médicaments qui sont offerts par l’ancien Président Jean Bertrand Aristide pour répondre aux besoins des victimes
Une équipe polyvalente avec des compétences diversifiées. Avec calme et patience, ces deux femmes de l’équipe médicale prennent le temps pour soulager la douleurde ce jeune garçon dont les deux jambes sont fracturées.
Un travail d’équipe! Les médecins unitaristes se concertent pour poser le bon diagnostic et accorder le meilleur soin aux blessés.
Des médecins et infirmières alertes! des diplômés de l’UNIFA, une équipe bien soudée. Des professionnels de la santé pleins d’énergie et sans aucun signe de fatigue malgré les nombreuses tâches qui les attendent.
Bravo Unifaristes!
L’équipe médicale de l’UNIFA, sous la supervision de spécialistes étrangers partenaires de l’institution, les jeunes médecins apportent des soins d’urgence aux survivants du séisme du 14 août 2021.
Prêts, comme des scouts, les médecins diplômés de l’UNIFA sont debout pour apporter des soins aux rescapés et blessés.
L’équipe médicale fait le porte à porte, visite les rescapés pour leur fournir des soins sur place.
Des rescapés s’approchent de ce médecin de l’équipe médicale de l’UNIFA.
Les membres de l’équipe bougent, sillonnent les espaces où sont logés les victimes pour leur apporter des soins d’urgence.
Enfin, un petit moment de répit, un casse-croute, pas dans des conditions idéales, pour reprendre des forces et recommencer à nouveau.
La prise en charge d’une fillette fracturée au genou.
Les enfants ne sont pas négligés par l’équipe médicale de l’UNIFA.