Soutenances de thèse
Soutenances de thèse
L’UNIFA célèbre la dignité humaine dans une ambiance artistique et engagée
L’Université de la Fondation Dr Aristide a célébré la fête de la dignité, une activité d’envergure marquée par un message fort sur la valeur intrinsèque de la personne humaine, conjugué à des prestations artistiques variées qui ont tenu le public en haleine tout au long de la cérémonie.
Dans son discours d’ouverture, Mme Mildred Aristide a rappelé que la dignité humaine est une valeur fondamentale qui ne dépend ni des conditions sociales ni du regard d’autrui. « La dignité ne dépend ni de la richesse, ni du statut, ni du regard d’autrui. Elle naît avec l’être humain et l’accompagne jusqu’à son dernier soupir », a-t-elle souligné, appelant à une société fondée sur le respect, la justice et l’inclusion.
S’adressant particulièrement aux étudiants, Mme Aristide a insisté sur l’engagement de l’Université en faveur d’une éducation sans exclusion. « Chers Unifaristes, célébrer la dignité, c’est affirmer que chaque personne mérite respect, considération et justice. C’est refuser l’humiliation, le mépris, la violence et l’exclusion. Une éducation sans exclusion, voilà notre option à l’UNIFA », a-t-elle déclaré, avant d’adresser ses vœux pour l’année 2026.
Après cette intervention solennelle, la cérémonie a pris une tournure festive avec l’entrée en scène de l’orchestre de l’UNIFA. Les interprétations musicales ont mis l’ambiance à l’auditorium, rapidement gagnée par l’enthousiasme du public. Deux étudiants ont ensuite enflammé la salle, provoquant une vague de cris et d’applaudissements.
Le Club de l’Excellence a marqué l’un des temps forts de la journée avec la présentation d’un sketch intitulé « Divize pou donte », extrait du livre Haïti Haïtii (article 16). une performance à la fois engagée et appréciée, qui a porté l’ambiance à son apogée. Dans la même dynamique, une étudiante de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP), accompagnée de la Chorale de l’UNIFA, a offert une prestation singulière, très applaudie par l’assistance.
La créativité estudiantine s’est poursuivie avec un hommage musical rendu à la sélection nationale de football pour ses performances lors des éliminatoires, un moment salué par une ovation prolongée. Une danse folklorique intitulée « Restitution », portée par plusieurs étudiants, a également retenu l’attention par la force de son message. Les prestations artistiques se sont ensuite enchaînées, allant de la musique à la danse, sous les ovations d’un public conquis.
Moment de reconnaissance et de fierté académique, l’Université de la Fondation Dr Aristide a profité de cette célébration pour honorer quatre anciens étudiants de la FSJP ayant brillamment réussi le concours d’admission à l’École de la Magistrature.
Mme Mildred Aristide a conclu la cérémonie en félicitant les étudiants pour leur engagement et leur créativité. Pour prolonger l’esprit de partage et d’espoir, elle a procédé à l’attribution, par tirage au sort, d’une bourse d’études par faculté, avec deux bourses accordées à la Faculté de Médecine, scellant ainsi une célébration placée sous le signe de la dignité, de l’excellence et de l’espoir.
À travers cette fête de la Dignité, l’Université de la Fondation Dr Aristide réaffirme sa vocation d’institution engagée, où la formation académique va de pair avec la promotion des valeurs humaines, de la justice sociale et de l’inclusion. En plaçant la dignité au cœur de son projet éducatif, elle confirme son rôle de creuset de citoyens responsables, conscients de leur valeur et appelés à contribuer activement à la transformation positive de la société haïtienne.









Jeudi de l’UNIFA : Une soutenance qui met en lumière les défis de l’effectivité de la déclaration de patrimoine en Haïti
Le jeudi de l’UNIFA du 20 novembre 2025 s’est distingué par une ambiance inhabituelle au sein de la communauté unifariste. Au cours de cette séance, l’Université la Fondation Dr Aristide a vibré au rythme d’une soutenance de mémoire qui a mis en lumière l’un des grands défis de la gouvernance haïtienne : la lutte contre la corruption. L’étudiant en Sciences juridiques, Salomon Charles, a présenté un travail percutant en vue de l’obtention du grade de Licencié en Sciences juridiques. Intitulée « Analyse de l’effectivité de la Loi du 12 février 2008 portant déclaration de patrimoine par certaines catégories de personnalités politiques, de fonctionnaires et autres agents publics », sa recherche révèle un large fossé entre la volonté affichée par la loi et la réalité de son application, dressant le constat d’un outil essentiel paralysé par l’impunité.

Dès l’introduction, l’impétrant souligne la pertinence de son sujet : la déclaration de patrimoine, un outil essentiel de bonne gouvernance, demeure peu appliquée en Haïti. Alors que cette obligation vise à favoriser la transparence, prévenir l’enrichissement illicite et renforcer la confiance dans les institutions, elle se heurte à un sérieux problème d’effectivité.
Pour mieux comprendre ce décalage entre la norme et sa mise en œuvre, Salomon Charles a formulé une question centrale: Dans quelle mesure la loi du 12 février 2008 est-elle appliquée de manière effective en Haïti ? Son hypothèse principale avance que l’application partielle de cette loi, combinée au manque de sanctions effectives, compromet sérieusement son rôle dans la lutte contre la corruption.
Son travail vise à évaluer le niveau d’application de cet outil dans le contexte haïtien et poursuit trois objectifs spécifiques :
- évaluer le niveau réel de respect de la déclaration de patrimoine par les catégories concernées ;
- analyser les impacts liés à son application;
- examiner l’efficacité des sanctions et comparer les dispositifs haïtiens avec ceux de la France.
Pour étayer son analyse, l’étudiant s’est appuyé sur deux grandes théories : le positivisme juridique, selon lequel le droit doit être appliqué de manière objective et impersonnelle, et la théorie de la puissance publique, qui rappelle le devoir de l’État de faire respecter les normes, même face aux résistances individuelles. Ces deux cadres renforcent l’idée que l’État haïtien a non seulement le pouvoir, mais aussi l’obligation d’assurer l’application stricte de la déclaration de patrimoine et de sanctionner les manquements.
Sur le plan méthodologique, Salomon a combiné approche qualitative et quantitative. L’analyse documentaire lui a permis d’examiner les normes, rapports et textes pertinents, tandis que les données chiffrées fournies par l’Unité de Lutte Contre la Corruption (ULCC) ont servi à mesurer le niveau de conformité. Cependant, il reconnaît plusieurs contraintes : manque d’accès aux acteurs institutionnels, absence de données récentes, et rareté des documents de déclaration de patrimoine, limitant ainsi certaines analyses plus poussées, notamment le croisement des informations.

Son mémoire est structuré en deux grandes parties: la première explore le cadre normatif et institutionnel entourant la déclaration de patrimoine en Haïti ; la seconde évalue l’application concrète de cette norme, avec une attention particulière aux sanctions prévues.
Les résultats sont sans équivoque :
- le non-respect de la loi est massif. Les chiffres disponibles révèlent un taux de conformité alarmant : seulement 9,8 % des personnes visées ont respecté la loi entre 2008 et 2022, laissant ainsi plus de 90 % des responsables publics en totale violation d’une obligation constitutionnelle, conventionnelle et légale.
- les sanctions sont inadaptées et rarement mises en œuvre ;
- en comparaison, la France mise davantage sur la force dissuasive des sanctions pénales, ce qui renforce l’application de l’obligation.
Pour remédier à cette situation, le jeune chercheur formule plusieurs recommandations : clarifier l’article 18 de la loi de 2008, particulièrement en lien avec l’éventuelle entrée en vigueur du nouveau code pénal ; appliquer réellement les sanctions existantes ; instaurer un système de sanctions graduées ; autoriser la publication des déclarations de patrimoine ; et établir un rapport annuel d’évaluation de cet outil.
En somme, ce mémoire met en lumière un enjeu crucial pour la gouvernance en Haïti : une loi, même bien conçue, demeure symbolique si elle n’est ni appliquée ni renforcée par des mécanismes de contrôle efficaces. Le travail de Salomon Charles apporte ainsi une contribution importante à la réflexion nationale sur la transparence et la lutte contre la corruption.

Échange fructueux entre le Président de l’UNIFA, les représentants de classes et les membres du Club de l’Excellence
Le Président de l’Université de la Fondation Dr Aristide, Dr Jean-Bertrand Aristide, a rencontré, le vendredi 7 novembre 2025, les représentants de classes et les membres du Club de l’Excellence pour une séance de réflexion centrée sur l’éducation inclusive. Educare sine exclusione. L’échange a porté sur la nécessité, pour chaque étudiant, d’observer, de comprendre et de documenter la réalité de sa communauté.
Pour illustrer cette idée, le Président a introduit deux notions clés : l’« homunculus-cortical » et « l’organisation somatotopique du cerveau ». Il a souligné que le terme homunculus en latin signifie « petit homme ». L’adjectif « cortical », en revanche, est dérivé du mot « cortex ». Il a distingué cet usage scientifique de l’« homunculus » des alchimistes, qui, plusieurs siècles auparavant, tentaient d’imaginer la création d’un être humain artificiel. Ces deux concepts, bien que portant le même nom, renvoient à des réalités totalement différentes.
S’agissant de l’organisation somatotopique du cerveau, Dr Aristide a expliqué qu’elle correspond à la représentation des différentes parties du corps sur la surface corticale. En manipulant un modèle anatomique, il a rappelé que le cerveau est divisé en deux hémisphères et que toutes les parties du corps sont représentées sur la carte corticale. « Ce qu’il faut retenir, ce ne sont pas les détails, mais le pourcentage du corps représenté sur cette carte corticale. Par exemple, les mains occupent 20 à 25 % de la surface corticale », a-t-il indiqué, pour montrer la place disproportionnée accordée à certaines parties du corps.
Sur cette base, le fondateur de l’Université a proposé une analogie destinée à renforcer la vision éducative de l’institution. De même que chaque partie du corps est représentée dans le cerveau, chaque étudiant doit être capable de représenter dans sa pensée non seulement ses propres intérêts ou ceux de sa famille, mais aussi ceux de son quartier, de ses amis, de sa zone et de son pays. Cette perspective, a-t-il précisé, reflète les principes d’une éducation inclusive: développer son potentiel cognitif tout en restant ouvert à son environnement social. Educare sine exclusione. Selon lui, cette ouverture nourrit une intelligence citoyenne, capable d’observer, de comprendre et d’agir sur le réel.
Dans cette logique, le Président a insisté sur l’importance du formulaire distribué aux représentants de classe. Ce document permet d’identifier les infrastructures communautaires essentielles — services publics, établissements scolaires, structures sanitaires, entre autres — afin de mieux comprendre les conditions sociales, économiques et sanitaires propres à chaque localité. En collectant ces informations, chaque étudiant contribue à une cartographie actualisée du territoire et à un renforcement des liens entre savoir, solidarité et engagement communautaire.
Cette rencontre a ainsi permis de mettre en évidence la mission centrale de l’Université de la Fondation Dr Aristide: former des citoyens conscients, responsables et impliqués dans l’amélioration de leur environnement.

Avis de décès
L’Université de la Fondation Dr Aristide salue la mémoire de l’ingénieur en informatique et professeur, M. Carl Friedrich Lacrête, décédé le 04 Septembre 2025.
La disparition de M. Lacrête constitue une perte énorme pour notre université et notre pays. Esprit brillant, libre, passionné de science et de technologie, M. Lacrête était un cadre international avec une Maîtrise en Bases de Données et Intégration de Systèmes.
Il avait prêté ses services en Haïti, en Amérique du Nord et en Afrique.
Le Conseil d’Administration, le Rectorat, les Décanats et le Corps Professoral adressent leurs plus sincères condoléances à sa famille, ses proches, ses collègues professeurs et ses étudiants.
Déroulement des examens d’admission

L’Université de la Fondation Dr Aristide a organisé, ce mardi 2 septembre, ses examens d’admission, offrant l’opportunité à des candidats de poursuivre leurs études supérieures dans des filières prestigieuses telles que la médecine, l’odontologie, les sciences infirmières, la pharmacie, le laboratoire, la physiothérapie, le génie, l’architecture, les sciences juridiques et politiques, les sciences économiques et administratives, l’agronomie, et l’éducation permanente.
Dès les premières heures de la matinée, l’ambiance était particulière sur le campus. Une multitude de postulants s’est rassemblée dans la cour, certains plongés dans leurs dernières révisions, d’autres échangeant dans un calme relatif, tous animés par un même espoir : rejoindre les rangs de l’Université de la Fondation Dr Aristide. Pourtant, lorsque l’heure d’entrée a sonné, le silence s’est imposé, laissant place au bruissement des feuilles et au froissement des stylos sur les copies d’examen.
Les épreuves, marquées par une atmosphère de concentration et de tension, se sont déroulées sous la supervision attentive des surveillants. Ces derniers n’ont cessé de rappeler les consignes aux candidats. « Nom et prénom sur les feuilles. Si vous donnez une bonne réponse à un camarade, vous réduisez automatiquement votre chance d’être avec nous », a lancé l’un d’eux, soulignant le caractère compétitif de cette journée.
Si le stress était omniprésent, il était contrebalancé par une ferveur et une conviction remarquables. Interrogés sur leur motivation à choisir l’Université de la Fondation Dr Aristide, les réponses des candidats Accilien, Nicolas et Jean Gardy ont fusé, unanimes : « C’est par amour pour cette grande université que nous sommes ici. » Une déclaration simple, mais lourde de sens, qui résume un sentiment partagé par beaucoup.
À la sortie des épreuves, jugées « entre facile et difficile », deux candidates sont revenues sur ce qui a guidé leur choix. « J’aime la façon dont l’institution forme ses étudiants, leur offre la liberté de s’exprimer et leur permet de vivre une expérience enrichissante sur le campus », a confié Naïchekha, une postulante en médecine âgée d’environ 18 ans.
Lange, au regard brillant, a quant à elle exprimé son admiration pour le fondateur : « Mon choix est un choix de cœur et de conviction. Je suis de celles qui croient en la vision du Président Aristide. S’il a su diriger le pays avec passion, je suis convaincue qu’il dirigera cette université avec la même ferveur pour en faire l’une des meilleures au monde. »
Cette journée d’examens, aussi intense qu’émouvante, marque le début d’un processus de sélection exigeant, mais aussi porteur d’espoir pour des centaines de futurs étudiants qui rêvent de rejoindre une institution prestigieuse tournée vers l’excellence et guidée par une vision humaniste.
Reste à savoir qui franchira la prochaine étape : l’administration de l’Université annoncera bientôt les résultats.

AVIS

AVIS
Les examens d’admission auront lieu le mardi 2 Septembre à 9 hres au Campus de l’Université de la Fondation Dr Aristide. Si vous souhaitez vous inscrire en présentiel, veuillez vous présenter à la Fondation Dr Aristide.
Violence conjugale en Haïti : Soutenance de mémoire
C’est autour du sujet « L’appréhension de la violence conjugale par le Droit haïtien » que l’étudiante en sciences juridiques à l’Université de la Fondation Dr Aristide, Shedna CAMBLARD, a soutenu ce vendredi 27 juin 2025 son mémoire de fin d’études. À travers ce travail, elle a livré une analyse lucide et engagée des limites du système juridique haïtien face à un fléau qui touche de nombreuses femmes en silence : les violences conjugales.
Dès l’introduction, la jeune juriste a rappelé que les droits des femmes en Haïti restent précaires, bien que le pays se soit engagé sur le plan international à lutter contre toutes formes de discriminations basées sur le genre. Or, constate-t-elle, entre les textes ratifiés et la réalité du terrain, un gouffre persiste. Selon elle, l’État haïtien, par sa passivité ou son inaction, contribue indirectement à la perpétuation de ces violences.
Sa question de recherche est sans détour : « Comment la législation haïtienne et les institutions étatiques contribuent-elles à maintenir un climat de perpétuation des violences conjugales et de violation des droits des femmes ? » À cette question, Shedna propose une hypothèse forte : « La récurrence de la violence conjugale est favorisée par la faiblesse législative et l’inefficacité des institutions de protection des droits humains. »
Adoptant une approche qualitative et un plan binaire articulé autour du problème et des solutions, elle explore d’abord les failles de la législation nationale. De la Constitution au Code pénal, en passant par le Code civil et le Code du travail, l’étudiante dresse un tableau critique d’un arsenal juridique peu protecteur, voire obsolète, face aux réalités de la violence domestique. Elle élargit également son analyse en comparant la situation d’Haïti à celle de pays comme la France ou le Royaume-Uni, où la violence conjugale est reconnue comme une infraction clairement définie, avec des dispositifs de prévention et de sanction.
Dans la seconde partie de son mémoire, Shedna se penche sur l’efficacité des institutions. Elle passe en revue les institutions étatiques et les organisations féministes engagées dans la lutte pour le respect des droits des femmes face aux violences conjugales. Pour approfondir son analyse, elle s’est appuyée sur des entretiens semi-directifs menés auprès de 200 femmes vivant à Pétion-Ville et à Kenscoff. Ces témoignages mettent en évidence l’impuissance des victimes face à un système défaillant et le manque cruel d’accompagnement institutionnel.
En conclusion, l’étudiante formule des pistes de solutions concrètes en vue d’une meilleure prise en charge des victimes et d’une refonte des mécanismes de prévention et de répression.
En mettant ainsi en lumière les lacunes du Droit haïtien et des structures de l’État, Shedna CAMBLARD interpelle autant les décideurs que la société toute entière. Son mémoire sonne comme un appel à l’action dans un pays où, trop souvent, la douleur des femmes reste confinée au silence des foyers.
AVIS : Publication en ligne des Résultats des épreuves de connaissances de la 2ème session
Le RECTORAT de l’Université porte à la connaissance des étudiants de la Faculté des Sciences de la Nature et de l’Agriculture (FSNA) que les résultats de l’année académique 2024-2025, sont disponibles sur le site web de l’Institution (https://unifa-edu.info/contenu/).
Les étudiants ayant répondu aux exigences d’ordre administratif peuvent y accéder à partir de l’adresse suivante : (https://unifa-edu.info/contenu/bulletin/
AVIS : Publication en ligne des Résultats des épreuves de connaissances de la 2ème session
Le RECTORAT de l’Université porte à la connaissance des étudiants de la Faculté des Sciences Économiques et Administratives (FSEA) et de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP) que les résultats de l’année académique 2024-2025, sont disponibles sur le site web de l’Institution (https://unifa-edu.info/contenu/).
Les étudiants ayant répondu aux exigences d’ordre administratif peuvent y accéder à partir de l’adresse suivante : (https://unifa-edu.info/contenu/bulletin/
AVIS : Publication en ligne des Résultats des épreuves de connaissances de la 2ème session
Le RECTORAT de l’Université porte à la connaissance des étudiants de la Faculté d’Odontologie (FDO), de la Faculté de Génie et d’Architecture (FGA), et de la Faculté de Pharmacie et des Sciences Biomédicales (FPSB) que les résultats de l’année académique 2024-2025, sont disponibles sur le site web de l’Institution (https://unifa-edu.info/contenu/).
Les étudiants ayant répondu aux exigences d’ordre administratif peuvent y accéder à partir de l’adresse suivante : (https://unifa-edu.info/contenu/bulletin/
