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Troisième journée d’examens à l’UNIFA : A la rencontre des étudiants.es

 

Dans le couloir menant à la bibliothèque de l’Université, Snaïdy SAINTABLE, Keldine CHERY, Abigaïl S. DARIUS et Kimberlyne ST LOUIS, un groupe d’étudiantes en 2ème année a la Faculté des Sciences économiques et administratives (FSEA), se sont réunies. Elles sont rejointes un peu plus tard par leur camarade Fernando Buteau Fils SENATUS. Là, ils se préparent pour les examens de la journée. Ces étudiant.es, quoique entouré.es de cahiers et de documents, attendent de pied ferme les évaluations prévues pour la journée.

Kimberlyne, toute enjouée, ne cache pas son assurance : ‹‹ Je suis prête. Tout à fait prête. J’ai eu un bon intra et là j’espère obtenir un 80 de moyenne générale ››. Dorana GEDEON, étudiante en 3ème année à la Faculté des Sciences infirmières qui profite tranquillement de sa pause, en prenant toutefois soin de garder près d’elle ses documents de révision, se sent tout aussi sécure. Elle confie : ‹‹ C’est un fait qu’un.e étudiant.e en période d’examen stresse toujours un peu, d’une manière ou d’une autre, parce qu’il/elle craint d’avoir peu ou trop fait ; mais je sais que je vais largement dépasser la moyenne exigée ››.

‹‹ Il est vrai que la distance entre Laboule (son domicile) et l’Université est énorme, ce qui fait que j’arrive souvent tard chez moi et que je manque de temps parfois, mais j’arrive à me préparer au mieux afin d’être en état de passer les examens et de réussir au max ››, fait savoir Filencia PIERRE, cette étudiante en 4ème année a la Faculté de Médecine.

Certaines réalités ne s’expliquent pas, dit-on. Si ces trois étudiantes qui arrivent à tenir le cap malgré leurs contraintes se disent stressées, ce n’est ni le cas de Bedjinie SAINTERME de la Faculté de Médecine, ni de Snaiderson THOMAS, futur odontologue, qui pourraient légitimement s’inquiéter, mais bien décidés à prendre le pas sur l’angoisse. C’est ce que fait comprendre ce dernier : ‹‹ Je ne suis pas vraiment stressé. Je ne maitrise pas à la perfection le contenu de tous les documents, parce qu’ils sont nombreux, mais je les ai lus plusieurs fois et j’en ai même présenté quelques-uns en cours. Alors non, je ne stresse pas. Je passerai mon test ››.


Tendus.es ou pas, tous/toutes les étudiants.es interrogés.es reconnaissent que les plus enclins à l’anxiété due aux examens sont ceux/celles en Médecine à cause des colossales théories liées à leur domaine d’étude et les fameux QCM des tests auxquelles ils doivent répondre en un temps record ; les nouveaux/nouvelles arrivants.es, eux/elles, combinent avec cela les exigences faites en vue de passer en deuxième année. Esperancia BERNARD, Junette CHARLES, Spelancia BELIZAIRE et Marie L. CETOUTE, nouvelles apprenantes à la Faculté de Médecine, acceptent de décrire leur représentation de la situation : ‹‹ Au début, on était effrayées par ce qu’on entendait nos ainés dire. On se sentait également submergées par les fortes vagues de taches qui nous enveloppent. On s’est à présent adaptées et on fera de notre mieux pour réussir l’année ››.


On ne peut pas aimer une rose sans en embrasser les épines. Ces paroles, elles les ont apparemment très bien comprises et elles sont déterminées à ne pas laisser les difficultés étouffer leur motivation.

 

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